Sur un sujet en or, la capture de femmes du Sentier Lumineux par des militaires qui, en représailles contre les atrocités de la guérilla et pour se soulager des maux de la guerre, les violent à tour de bras (?!) avant de leur mettre une balle dans la tête, sujet tiré d'un fait divers réel, l'auteur se perd dans des digressions sans intérêt et commet des répétitions, transformant le sujet en drame familial pour le fils du responsable de la caserne où eurent lieu les exactions, transformant l'évènement en une manière de roman policier de gare. Dommage (simple opinion)
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Chef d'oeuvre ! Cela fait fort longtemps que j'ai lu cette heure bleue et que j'ai découvert cet auteur péruvien, auteur majeur en Amérique latine. L'histoire ce cet homme qui recherche le passé de son père, militaire engagé dans la lutte contre le Sentier Lumineux, permet de retracer les marques profondes, les plaies encore béantes, les traces vivantes qu'à laissé cette guerre douloureuse contre la guerilla maoïste.
A lire -- malheureusement non traduit en français.
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El color que toman los ojos de una persona que esta agonizando es él unico que no tiene nombre.
Traduction du contributeur:
La couleur que prennent les yeux d'une personne qui agonise est la seule chose qui n'a pas de nom.
p. 97
No hay mejor compania que la de Dios. Cuando uno esta sola, habla con Dios.(...) La soledad te lleva a Dios.(...) Hay un verso de Machado. Quien habla solo espera hablar a Dios un dia.
Traduction du contributeur:
Il n'y a pas de meilleure compagnie que celle de Dieu. Lorsqu'on est seul on parle à Dieu. (...)La solitude te conduit à Dieu. (...)Il y a un vers de Machado (*). Celui qui parle seul espère parler un jour à Dieu.
* antonio Machado, ndt
p.95
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