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4,17

sur 625 notes
Un père et sa petite fille, seuls au fin fond d'une forêt, que fuient-ils, de quoi, de qui ont-ils peur ?

Le ton est donné dés le premier chapitre. Une cabane isolée, quelques poules, le froid, ils sont tous les deux, Cooper et sa fille Finch de huit ans. Heureux ainsi d'être ensemble dans la plus petite simplicité. Il y a des règles, très peu de liberté, un cellier où Finch doit courir se cacher au moindre ordre de son père.
Puis il y a le seul voisin, Scotland dont Cooper se méfie plus que jamais mais que la petite apprécie tellement.

Tout dans ce roman est juste et percutant. L'atmosphère est palpable, les personnages sont attachants, l'empathie bat son plein, la peur guette, l'émotion surgit sans prévenir tant l'écriture joue sur la corde sensible. Malgré la tension qui est a son paroxysme, on ressent tout l'amour que Cooper et Finch se portent mutuellement. On est plongé en immersion totale dans ce huit-clos au coeur de la forêt, de la nature qui se montre tantôt amie tantôt dangereuse.

Une parenthèse dans un autre monde où plus rien ne compte que s'aimer et protéger coûte que coûte ceux qu'on aime.

#Lesilencedesrepentis #NetGalleyFrance
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Voilà un bon petit roman où se mêlent diverses thématiques, celle de la famille -- monoparentale en l'espèce --, celle de la guerre d'Afghanistan, celle de l'isolement dans la forêt -- donc nature writing --, celle de rapports humains complexes, l'ensemble complété d'une brève enquête policière qui va faciliter le dénouement, sans oublier une histoire d'amour davantage romance que véritable passion.

L'ensemble se lit très aisément, les personnages sont attachants, surtout la jeune Finch, enfant de huit ans qui n'a jamais vécu que dans les bois et voudrait bien découvrir le monde, même si sa connaissance de la forêt, de ses habitants, de ses drailles perdues, son sens inné de l'orientation lui donnent bien plus que ce peuvent recevoir les enfants dits civilisés.

Son père, Cooper, n'est pas un héros, sa vie n'a été que maladresses diverses et le bonheur lui a échappé par les aléas du destin qui a fait disparaître prématurément la mère de Finch, il n'est pas un héros mais il assume son passé, le présent et redoute sans cesse un avenir incertain.

Les nombreux rappels de la guerre d'Afghanistan avec les différentes atrocités communes à tous les conflits sont au coeur de l'existence de Cooper qui a été brisé par cette fatalité. Cependant, ce thème m'a paru plutôt mal traité par Kimi Cunningham Grant qui, malgré les informations qu'elle a pu recueillir, ne produit pas un texte profond et lyrique sur le sujet. On est très loin du niveau exceptionnel du roman de Ben Fountain : Fin de mi-temps pour le soldat Billy Lynn, mais celui-ci est entièrement consacré au retour d'Irak de ce jeune soldat.

La partie nature writing s'insère tant bien que mal dans le texte avec quelques belles descriptions, mais la partie "romance" -- je n'aime pas du tout ce terme -- tombe plus tôt à plat et sombre dans le mélo. Dommage, car il y avait matière à illustrer le roman avec une véritable passion lors de la rencontre entre Cooper et Marie.

Un personnage haut en couleurs, Scotland, est très bien exploré et décortiqué par Kimi Cunningham Grant. Lui, c'est un homme, un vrai de vrai, un héros sacrifié qui trompe Cooper sur sa véritable personnalité, il est l'archétype du véritable acteur de nature writing et sauve, à bien des moments, l'ensemble du roman.

La fin est, comme trop souvent dans ce genre d'histoire, liquidée au terme d'un peu de suspense et elle ôte une bonne part de sa crédibilité à cette oeuvre flirtant avec le roman noir mais dans laquelle l'eau de rose le décolore trop.
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Doux, sauvage et émouvant ce roman. A l'image de son personnage principal.


« - Finch !
Elle m'ignore et poursuit sa lecture.
- Finch !
Elle s'interrompt et me regarde.
- Terrier !
Sa fourchette heurte son assiette avec fracas et elle se précipite vers le cellier. Pendant qu'elle soulève la trape, je débarrasse les assiettes et les empile sur le plan de travail, puis je récupère mon canif sur l'étagère au-dessus de la cuisinière. le tout en quelques secondes. »


Un père, ancien militaire revenu d'Afghanistan ressemblant désormais à Robinson Crusoé, et sa fille de huit ans vivent seuls dans une cabane au fond des bois… depuis à peu près huit ans. Sont-ils là par choix de vie original, ou bien contraints ? Où est la mère ? Se cachent-ils ? Fuient-ils quelque chose ? Ou bien quelqu'un ? Si Finch ne sait pas tout de leur situation, Cooper lui a néanmoins appris certains réflexes qui en disent long sur le caractère secret de leur présence ici. Se déplacer silencieusement, se débrouiller seule en forêt ; Filer se cacher dans le cellier dès que Coop crie « Terrier ! ».


Ils ne prennent jamais le risque de réaliser un ravitaillement en ville, grâce à un ami militaire qui leur amène des provisions une fois par an. Pour le reste, ils se débrouillent avec Dame Nature entre chasse, poulailler et potager. Et même si un étrange voisin trop curieux et intrusif, dont on ne sait pas s'il est bienveillant ou dangereux, semble désormais avoir leur secret entre ses mains, père et fille se sont adaptés à cette vie clandestine et angoissante… Jusqu'au jour où tout dérape, à commencer par le ravitaillement qui n'arrive pas, tandis que d'autres ennuis se profilent à l'horizon.


Pour chaque récit d'un événement présent, Cooper nous raconte un événement du passé cousant, souvenir par souvenir et mêlant les causes et les conséquences, le patchwork de leur existence. On comprend très vite que la nature est tout autant leur refuge que leur prison. Car si Cooper est un homme droit, il a commis des actes dont il n'est pas fier. Pour autant, sa volonté de bien faire, son amour pour sa fille, son humanité et ses failles le rendent terriblement attachant. le genre de personnage qu'on aurait peut-être peur de croiser dans la vraie vie sans le connaître mais que, bien à l'abri des frontières de cet imaginaire littéraire, on a envie de soutenir et d'aimer. Alors on ressent sa tension lorsqu'il décrit les événements qui le poussent dans ses retranchements, le contraignent à agir, et à faire des choix pour lui et sa fille. Je ne vous cacherai pas que la fin m'a beaucoup émue. le titre est si bien trouvé !


Un moment de lecture intense et agréable, fait de tension, de bons moments et d'amour. Un grand merci à Spleen pour la découverte, et à Magielivre pour ce très beau et gentil cadeau.
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Une cabane au milieu de nulle part.
Un père et sa fille, seuls.
Un voisin, un corbeau à l'épaule, inquiétant.
Le ravitaillement qui n'arrive pas cette année.
Une jeune fille photographe un jour, dans la foret
Une photo dans le journal
Et tout dérape.

Cooper était soldat en Afghanistan.Il en est revenu changé.
Et un enchainement d'évènements qui nous seront révélés petit à petit, l'a obligé à quitter le monde et se réfugier dans la cabane de son ami Jake, qui une fois par an lui apporte le ravitaillement. Sauf que cette année, Jake ne vient pas.
Et à nouveau les évènements s'enchainent. Rien ne sera comme avant.

Cooper, dont on découvre peu à peu le passé, pièce par pièce, comme cette couverture en patchwork qu'il coud pour sa fille, est un homme secret, un homme des bois, un homme rude, qui dégaine plus vite que son ombre, mais un homme attachant par l'amour infini qu'il porte à sa fille. Et cette relation entre le père et sa fille est un des points forts de ce roman, pleine d'amour de complicité et de respect. Beaucoup d'émotion dans ce roman aux personnages attachants, à la nature omniprésente. J'ai beaucoup aimé ces deux personnages.
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Une cabane au coeur de cinquante mille hectares de forêt, c'est ici que se sont réfugiés, il y a maintenant presque 8 ans, Cooper et sa fille, Finch. Isolés de tout, père et fille vivent coupés du monde. Seul Jake, un ami, vient leur rendre visite une fois par an, le 14 décembre, passant quelques jours en leur compagnie et surtout venant apporter tout un stock de ravitaillement. Quant à Scotland, leur voisin le plus proche, un brin bizarre, parfois perturbant, sa venue, le plus souvent inattendue et silencieuse, est, le moins que l'on puisse dire, attendue. Ce dernier n'ayant pas manqué, peu de temps après leur arrivée, de venir les saluer en apportant à Cooper un lapin mort mais aussi des journaux dans lesquels il était question de Cooper. Pour autant, Cooper n'a jamais eu l'envie ni même l'idée de fuir cet endroit, protecteur et rassurant. Mais, cette année, il va devoir s'aventurer en ville, Jake n'ayant pas pu honorer sa venue...

Celui qui se fait dorénavant appeler Cooper a fui les hommes et la civilisation, suite à un acte dont il n'est pas fier et dont il tient à garder le secret aux yeux de sa fille mais qu'il révèle par bribes au fil des pages. Vivant reclus, se débrouillant avec ce que la nature a à leur offrir, en plus de tout ce que lui apporte Jake, un ami lui aussi ancien soldat. Dès les premières pages, l'on ressent cette atmosphère tendue, parfois angoissante, tant Cooper se tient toujours sur ses gardes et à l'affût du moindre événement inhabituel, l'absence de son ami cet hiver-là n'étant malheureusement pas le seul. S'il y est question de survie, d'enquête policière, ce roman met avant tout en lumière cette magnifique et tendre relation entre un père et sa fille, ce dernier ayant tout fait pour la garder près de lui, quitte à se mettre en danger et en dépit des lois. Une relation très forte, indéfectible, pure, touchante, bâtie sur la confiance, le respect mais aussi des secrets. Au coeur de cette nature sauvage parfaitement dépeinte, Kimi Cunningham Grant tisse, tout en finesse, un roman subtil et émouvant, se jouant parfois des apparences.
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Un bon coup de vent glacé, une grosse dose de suspense avec une tension qui monte crescendo, une relation touchante père-fille, un étrange voisin nommé Scotland avec un corbeau sur l'épaule qui rôde et vous épie en permanence à la longue-vue, ça vous dit cet été pour profiter du transat sur la plage, au bord de la piscine ou à l'ombre dans le jardin ?
Cooper, ancien militaire en Afghanistan, est en fuite, planqué depuis huit ans dans une cabane sans électricité au milieu des bois, au nord des Appalaches. Cette fuite, il la doit à un certain nombre d'erreurs commises par le passé, qu'il dévoile au lecteur à l'aide de flash-backs. Dans sa fuite, il a emmené sa fille, bébé à l'époque, en décidant de la soustraire au monde et de s'enfermer avec elle dans cette cabane perdue en pleine nature, nature qui peut se révéler protectrice et nourricière ou menaçante et dangereuse.
La réunion de tous ces ingrédients, qui n'a pas été sans me rappeler Sidérations pour la relation père-enfant dans un cadre sauvage, permet à la romancière américaine Kimi Cunningham Grant un troisième roman assez réussi. Cooper et sa fille de 8 ans, surnommée Finch, sont attachants, et le personnage de Scotland donne tout le sel à la première partie du livre. On ne sait sur quel pied danser avec lui, entre la méfiance de Cooper à son égard ou la tendresse confiante que lui accorde Finch. La lecture est facile, l'émotion gagne par moments.
Quelques gros bémols cependant, la totalité de l'histoire n'est pas très crédible (j'ai eu envie de dire tout ça pour ça), et finit par pencher vers la romance feel-good (pas vraiment ma tasse de thé). Les propos tenus par Finch ne sont pas toujours cohérents avec son âge.
Le personnage du père est présenté comme un héros, ce qui m'a agacé. Je l'ai trouvé plutôt irresponsable puisqu'il ne donne pas à sa fille d'éducation alors qu'il la prive d'école.
La fin tirée par les cheveux m'a déçue, trop sucrée, facile, et vite expédiée sans explications tangibles.
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Dans le nord des Appalaches, un homme, un vétéran de guerre, et sa fille de huit ans, vivent dans une petite cabane, au fond d'un "jardin" de cinquante mille hectares de forêt.
Tous les 14 décembre, un ami, vient leur déposer des courses pour l'année. En dehors de ce Jake, seul un voisin, un peu inquiétant, connait leur existence.
Mais un jour, Jake ne vient pas et s'en suivra toutes une série de petites choses, qui changeront la vie de tous les personnages.


Nature writting, roman à suspens léger et surtout : roman d'ambiance.

Des choses que le père a fait et qu'il tait à sa fille. Un lien très fort entre eux.
Une certitude que tout cela ne pourra pas durer, que c'est déjà un miracle qu'ils aient pu tenir la-haut, cachés si longtemps. Une envie qu'ils s'en sortent, parce que ce sont , malgré ce que ce père a fait, de belles personnes. Un homme que l'on comprend avec ses tripes de lecteur. Une gamine attachante.
Un silence sidéral que ne vient troubler que le bruit d'un oiseau, le cri d'un animal, le crissement des pas sur la neige.
Une nature préservée de la souillure des hommes.
Une solitude abyssale. Et en bas, une ville avec ses supermarchés, ces curieux, son shériff, ses dangers.
Un voisin un peu trop attentionné.
Des visiteurs.


Kimi Cunningham Grant signe un premier roman qui laisse présager de beaux lendemains.
Une très jolie histoire, un peu moins noire , un peu moins "intense " que celles racontées, d'habitude, par ses confrères (nature writting) qui aiment à raconter des personnages acculés dans des lieux reculés et sauvages...
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Cooper et sa fille Finch vivent depuis plusieurs années dans une cabane en bois appartenant à Jake, un ami fidèle qui vient, chaque année, le 14 décembre, leur apporter le ravitaillement. Cette année, pas de Jake, qui avait précisé l'année précédente que s'il ne venait pas cela signifierait qu'il lui arrivé quelque chose de grave…

On découvre peut à peu ce qui a conduit Cooper et sa fille à venir vivre, cachés, en autarcie, se contentant de peu, chassant pêchant… Un seul voisin, aux alentours : Scotland qui les surveille avec sa longue-vue et qui sait très bien pourquoi Cooper a fui le monde normal. Traître ? Ami ?

Cooper est un héros de guerre qui a combattu notamment en Afghanistan, a traversé des évènements difficiles qui ont laissé de graves séquelles, notamment un syndrome de Stress Post Traumatique. Et visiblement l'Amérique oublie très vite les services rendus au pays par ces héros, ne les prend absolument pas en charge et au moindre incident les condamne sommairement…

J'ai beaucoup aimé la relation profonde qui unit Cooper et Finch, l'amour parent-enfant est prodigieux, leur complicité aussi même si en prenant de l'âge, elle se rebelle un peu plus.

Les attaques de panique qui jette Cooper à terre sont très bien décrites, la manière dont Finch gère lesdites crises, les codes : quand Cooper crie « Terrier », Finch fonce aux abris en un temps record.

Leur relation avec la Nature, pleine de respect, car on ne prend que le strict nécessaire, on respecte tout même les ours qui rôdent.

J'ai aimé aussi la manière dont Finch s'imprègne des livres de l'immense bibliothèque de Jake, notamment les recueils de poésie. Avec les moments de rébellion, on note aussi la solitude qui commence à peser sur la petite fille, qui n'a que huit ans, n'est jamais entrée dans un magasin car on pourrait les reconnaître, donc la socialisation ne fait pas bon ménage avec la nécessité de se cacher : elle n'a rencontré que des adultes, tout au long de sa vie, et des hommes.

En découvrant peu à peu le drame familial qu'a vécu Cooper, on ne peut pas être dans une posture de jugement à son égard. Mais, entre Jake qui n'est pas venu cette année, une jeune fille qui arpente la forêt, avec son appareil photo et qui disparaît soudain on sent que cela va se compliquer.

Malgré le résumé, qui nous promet une enquête policière, ce roman parle de tout autre chose, de sujets sociétaux profonds, de ce qui peut pousser un homme à se mettre dans une telle situation et bien évidemment, se pose la question : jusqu'où peut-on aller pour sauver son enfant, ne pas en être séparé arbitrairement.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Buchet Chastel qui m'ont permis de découvrir ce roman et son auteure dont j'ai beaucoup apprécié la plume.

#Lesilencedesrepentis #NetGalleyFrance !
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Roman d'atmosphère dans lequel on fait connaissance avec Cooper et sa fille Finch. Tous deux réfugiés au fond des bois non loin de Scotland, un voisin indésirable qui semble les épier.
S'ils sont dans les bois, isolés c'est parce qu'ils se cachent et n'ont donc guère d'autres alternatives. On se sent bien avec eux deux, on s'attache à ce père et sa fille. Leur relation est belle et attendrissante. Même si on sent un poids sur les épaules du père et que l'on craint pour eux, que l'on redoute une séparation, on se sent bien avec eux. Je me suis glissé, en toute discrétion, et avec plaisir dans leur relation privilégiée.
L'écriture est douce, invite à observer, à contempler tout en ayant un regard vif, une écoute fine. Je me suis sentie comme un poisson dans l'eau et pourtant pour ceux qui me connaissent, vous admettrez ce n'était pas gagné, moi, perdue au fin fond d'une forêt!...
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Un ami m'a prêté ce livre, me disant qu'il était excellent. Il a bien raison, bravo à l'auteure, qui est aussi poète, ce qui ne m'étonne pas.

Prenant et plein d'émotion, son thriller m'a emmenée au Nord des Appalaches, auprès d'un père, Cooper, le narrateur, et de sa fille, Finch, huit ans. Coupés du monde, vivant dans une cabane, ils ne sont ravitaillés qu'une fois par an par Jake, un ami de Cooper, et se débrouillent en autonomie. le thème de la survie en milieu plutôt hostile a déjà été traité souvent, mais ici, ce sont les pensées, les sentiments, le lien puissant de deux êtres qui sont au centre de tout.

Pourquoi cet isolement? Pour quelle raison Cooper est-il toujours sur le qui-vive? Et ce voisin étrange, Scotland, quelles sont ses intentions? On le découvre peu à peu.

le monde extérieur va brutalement confronter Cooper à des choix difficiles, ce monde extérieur qui commence à éveiller la curiosité de Finch...

J'ai aimé cette relation fusionnelle, si particulière, entre père et fille. J'ai été sensible aux tourments, aux remords de Cooper. J'ai accompagné leur vie sauvage, au plus près des arbres, des oiseaux, j'ai savouré les références poétiques du livre. Et j'ai été happée par cet étau qui se resserre autour des deux personnages en danger.

J'ai vu qu'un autre livre de Kimi Cunnningham Grant va être publié bientôt en France, je suis impatiente de poursuivre l'aventure avec elle! Je vous conseille cette lecture.
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