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EAN : 9782070417056
464 pages
Gallimard (25/04/2001)
3.42/5   691 notes
Résumé :
«Jane ne recevait jamais de paquet chez elle. Elle le prit. Solide, rectangulaire et plutôt lourd : sans doute un livre. Elle se battit contre l'enveloppe rembourrée, agrafée et collée. Elle en sortit une chemise en carton jaune. Une disquette tomba sur le sol carrelé avec un bruit sec. La chemise contenait un manuscrit en feuilles détachées. Sur la première page, elle lut :

LE PROBLÈME AVEC JANE
roman

Pas de nom d'auteur. Elle r... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (73) Voir plus Ajouter une critique
3,42

sur 691 notes
S'il y a dans l'assemblée des fans de Catherine Cusset, je vous demanderai de sortir parce que bon Dieu, ça va saigner!

Je passais en revue il y a quelques jours les citations que j'ai cochées sur le site, et il y en a une qui disait qu'on savait pertinemment avant d'ouvrir un livre si on allait l'aimer ou pas! FAUX! Ce petit livre bleu m'a aguichée avec sa belle couleur et sa quatrième de couverture, j'étais sûre de l'adorer, mais quelle déception!
On s'attend effectivement à du suspense, des réflexions fouillées, et rien de tout cela. Cette universitaire trouve un matin devant sa porte un manuscrit qui raconte sa vie... elle décide de le lire pour trouver qui en est l'auteur. Mais tout au long du bouquin, à part quelques spéculations, rien de bien recherché, on n'assiste qu'au récit de la vie sociale et sentimentale de cette ingrate qui n'affectionne les gens que quand elle peut être mise en valeur parmi eux (certains passages concernant sa pseudo-amitié avec sa voisine Lynn l'assistante sociale - autant dire une rien du tout de son point de vue d'intellectuelle - m'ont absolument révoltée) et surtout, la fin du livre et la découverte de l'auteur ne soulagent pas. Parce qu'on ne s'attendait pas forcément à ça, mais qu'en plus ça n'en fait pas quelque chose d'intéressant.

Le personnage, Jane, est insupportable, une sale petite égoïste pleurnicharde qui croit que le monde tourne autour d'elle. Vu sa force de caractère, on se demande comment elle en est arrivée là (bien que connaissant le personnage, j'ai bien ma petite idée...). Je ne dévoilerais pas l'intrigue, mais la fin du bouquin la rend encore plus répugnante.
On est ravis d'en apprendre des tonnes sur sa vie sexuelle. Ah, le puritanisme américain qui cache des pratiques totalement dissolues! Parlons-en, du sexe, parce qu'il est vraiment omniprésent dans ce bouquin, les scènes sont tellement explicites qu'elles m'en ont donné la nausée. Bon, on est loin des onze mille verges, mais en achetant ce livre, je ne m'attendais pas à y trouver ce que j'y ai trouvé. Nouvelle déception.

Et la plus grosse de toutes, le CV sans faute de Mme Cusset est affiché en quatrième de couverture. Normalienne, agrégée de lettres classiques, professeur à l'Université de Yale... bla, bla, bla... je devais sûrement me faire des idées mais du coup j'attendais de prendre mon pied en lisant des phrases comme on n'en fait plus aujourd'hui. Et paf, je me retrouve devant un style qui s'apparenterait à du Musso en version trash. Sans compter le fait qu'elle a vécu bien trop longtemps à l'étranger pour que son français soit irréprochable. Entre pléonasmes à répétitions et phrases américanisées complètement bancales, il serait temps de revenir en vacances en France!
La quatrième de couverture (encore cette traîtresse) vante aussi le roman le plus abouti de l'auteur... Bon, et bien je ne tenterai pas les autres, désolée.

Un bon point tout de même... malgré le fait que ces scènes dégueulasses m'aient mis en tête plusieurs fois l'idée d'abandonner, les pages se tournent toutes seules, et même si Jane est une tête à claques, on reste, juste pour savoir qui a écrit ce bouquin.


Enfin bref, je ne suis pas contente, je suis même très en colère. J'ai vraiment l'impression d'avoir été arnaquée.

En me relisant, je me trouve vraiment dure... j'étais en train de penser à la chouette mise en abyme qu'était ce bouquin et j'en n'ai même pas parlé! Voilà qui est réparé!
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Mon problème avec Jane, c'est que J'ai eu la très mauvaise idée de relire ce roman qui m'avait enchantée lors de sa sortie en 2000.
Je n'ai rien retrouvé de ce qui m'avait tellement plu mis à part l'écriture fluide et agréable de l'auteur.
Je suis allée au bout de cette lecture malgré le profond ennui que j'ai ressenti.
Alors, pourquoi 3 étoiles me direz-vous ? Tout simplement en souvenir d'une époque où je lui en aurais mis 5... !
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Le problème avec Jane, c'est qu'elle n'a pas de vrais problèmes ! Alors elle s'invente des motifs de gémir, de pleurer, de cogiter, de se faire peur....
Bref, Jane est une prof américaine petite bourgeoise qui se donne des allures de bobo en fréquentant une foule de gens aux personnalités très différentes mais principalement issus du giron universitaire. Ne mélangeons pas les torchons avec les serviettes. Il y a bien quelques gays et lesbiennes, pervers sexuel (français comme par hasard) et marginaux pour faire couleur locale New York Manhattan façon Woody Allen, histoire de montrer qu'on vit avec son temps et qu'on a les idées assez larges pour s'affranchir d'un puritanisme américain de bon ton mais bon bon...
En quête perpétuelle de reconnaissance (intellectuelle, professionnelle, littéraire), elle collectionne les amants, sans rien nous dissimuler de ses ébats amoureux ainsi que les ami(e)s de tous poils dont la fidélité est constamment mise à l'épreuve...de ses caprices et de son quant à soi.
Mariée un temps à Éric, un homme « beau comme un Dieu » et gentil comme tout, elle se débrouille pour lui en faire voir de toutes les couleurs (jusqu'à lui faire croire qu'elle l'a trompé avec le pervers -français !- pour le faire bisquer) si bien qu'Eric finit par demander le divorce et je le comprends.
Enfin, malgré sa fragilité émotionnelle et ses remises en question permanentes, Jane m'a laissée de marbre. On l'a compris, je n'en ferai pas ma meilleure amie !
Vie insipide, nombrilisme effarant, crises existentielles à répétition,doutes permanents, déprime pour un pull en cachemire rétréci, whisky à gogo pour avaler ses couleuvres, un pas en avant trois pas en arrière...et bien entendu, ce n'est jamais sa faute si elle fait les mauvais choix.
Ah oui ! Il y a bien cependant une énigme qui revêt une importance capitale : Jane trouve, dans sa boîte aux lettres, un manuscrit anonyme....Mais qui donc la connaît si bien pour raconter sa vie dans ses moindres détails et ses secrets les plus intimes ???? Josh, Eyal, Norman, Eric, Francisco, David, Xavier ? Vous le saurez si vous parvenez à la page 350
Ceci dit, lecture et écriture ne sont pas désagréables. ...A lire si on du temps.
Mais n'est pas Auster, Oates ou Roth qui veut...
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« C'est exactement ça le problème avec toi Jane. Si ça ne marche pas c'est à cause de toi.
-De moi?
-Tu es tellement passive. C'est toujours moi qui dois tout faire. Et quand une fois je te demande de faire un truc, un seul, tu sens que je n'en ai pas envie. Super.
-Tu veux dire, demanda lentement Jane en le regardant, que je suis toujours trop passive?
-Oui
-Tu veux dire qu'on n'a jamais bien fait l'amour?
-Exactement
-…si c'est vrai, tu sais quoi? Paie une pute! »

Il paraît que t'as un problème, Jane. Pourtant, je viens de terminer ton histoire et je me dis que qu'à ce compte, on a tous un sacré problème! À l'amour comme à la guerre, que celui ou celle qui ne s'est jamais trompé jette la première pierre… Plutôt, je te trouve extrêmement courageuse. Déjà, tu as eu la force de nous parler de ces hommes qui ont marqué ta vie. Et tu l'as fait avec la franchise de quelqu'un qui n'a plus rien à prouver ni à perdre, et dont le temps lui a permis de reconnaître sa propre valeur.

Le problème avec toi, Jane, c'est que tu es une femme comme toutes les autres. Authentiquement imparfaite, tu rayonnes de tes qualités et tu grandis de tes limites. le chemin que tu empruntes t'est unique, il t'appartient pour autant que tu ne laisses personne le tracer à ta place…

Eh oui, on se cherche, on se trouve et puis un jour, le coeur fourmille de sentiments doux. On se touche, on se découvre et on s'abandonne. Plus fort que tout, on se sent libre de cet amour assez vrai pour nous permettre de rester soi-même. Mais t'as raison, Jane, parfois il peut aussi nous faire tellement mal. C'est peut-être alors le temps de se demander ce que l'on cherche vraiment…

Alex t'a laissé sans nouvelles depuis des jours. Et si c'était lui le problème? Et ton étudiant et ex petit ami, Josh, rien à faire de mieux celui-là que de se mettre à te psychanalyser! C'est lourdaud, tu ne trouves pas?

« le problème avec toi, c'est que tu n'aimes pas ton corps. Tu refuses d'être une femme : c'est pour ça que tu n'as jamais eu d'orgasmes. Tu ne sais pas te détendre »

Effectivement, celui-là, il ne donne pas très envie d'avoir un orgasme! Bon, après il y a eu Norman, qui lui t'a demandé 20$ pour l'aider à payer l'addition au premier rendez-vous, quelle classe! D'autant plus qu'il croule sous l'argent à ne plus savoir quoi en faire. Il paraît que sa femme lui coûte cher, le pauvre. Ah oui, sa femme, le détail qui tue… On parlait de « faire des erreurs », mais ça, comment aurais-tu pu te douter qu'il était tellement égoïste? Enfin, il y a eu aussi Eyal, quelle brute! Puis Francisco, ton confident le plus intime, celui qui embrasse comme un Dieu.

« Elle repassait dans sa tête les images de la veille, leurs corps sur le tapis, la bouche d'Éric, sa poitrine large avec le duvet châtain, ses épaules musclées. Ses fesses rondes et fermes, ses cuisses, ses mollets parfaits et, au bas de son ventre, le sexe doux et brun tout petit quand il reposait sur l'oreiller des couilles et qui se gonflait sous les doigts de Jane jusqu'à se dresser, si grand qu'elle avait chaque fois l'impression d'être vierge. Juste la bonne taille. Elle aimait tout de lui. Sa langue rentrant entre les lèvres de son sexe, la fouillant ou l'effleurant avec délicatesse… »

Jusqu'au jour J d'Éric. Éric est celui de l'Amour avec un grand A. Pour lui, tu étais prête à renoncer à bien des choses, même à ce projet qui te tenait tant à coeur, avoir des enfants. Un jour, n'en pouvant plus, tu as aussi touché le fond et connu le désespoir d'un amour en chute libre. En venant enseigner le français à Old Newport, en banlieue de New-York, tu pensais refaire ta vie. Tu as vécu bien des peines, mais tu es restée celle que tu avais toujours été, une femme complexe et libre, sauvage, belle, indépendante, douteuse et insécure. En ce sens tu y as gagné tout ce qu'il y a de plus important au monde, le respect de toi-même. Et moi je t'admire…

Mais un mystère demeure. Qui peut bien être cette personne qui t'a envoyé anonymement un manuscrit portant le titre « le problème avec Jane »? Et qui te connaisse assez pour raconter des détails intimes de ta vie, de la relation avec ton père à tes orgasmes?

Une lecture toute en tendresse et désespoir, de l'amour à l'acharnement, de la passion à la révolte. À travers une écriture parfois crue parfois douce, mais toujours émouvante...

Lien : http://www.lamarreedesmots.c..
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Une lecture très agréable pour commencer ce dernier mois d'hiver: le grand prix des lectrices de Elle 2000, "Le problème avec Jane", paru en 1999.
C'est le second livre de Catherine Cusset que je découvre après «Confession d'une radine» qui m'avait plu également mais pas autant que celui-ci.
Le problème avec Jane selon ses amis, amoureux, amants ou mari c'est que… ceci ou cela! Chacun a toujours une bonne raison de lui reprocher un défaut quelconque avant de se détacher d'elle. Elle est belle pourtant, intelligente et cultivée. Spécialiste de Flaubert, elle enseigne la littérature française dans une grande université américaine (l'auteur, elle, a enseigné à Yale), mais elle se sent seule trop souvent.
Le récit commence lorsqu'elle reçoit un paquet contenant des feuilles manuscrites avec pour titre: «Le problème avec Jane». Elle se rend compte très vite, avec effroi, que chaque chapitre raconte un aspect de sa propre vie, jusque dans ses moments les plus intimes. Elle s'en trouve bouleversée et verse dans une sorte de paranoïa qui consiste à soupçonner chacun de ses proches tour à tour. Qui peut la connaître aussi précisément jusqu'au moindre de ses actes et de ses pensées? Quel est le but de celui qui écrit ainsi sa vie? Jusqu'où ira-t-il? Sa vie est-elle menacée. Elle se sent épiée, jalousée, bref plus rien n'est pareil pour elle désormais.
Jusque là, j'ai cru à une sorte de récit policier et pourquoi pas même à un thriller mais pas du tout... Je me suis bien trompée. Est-ce tant mieux ou tant pis?
La fin n'est-elle pas un peu fade? Jane n'est-elle pas un peu incompréhensible et agaçante parfois? Dans bien des circonstances, je n'aurais sûrement pas réagi comme elle: je l'ai trouvée souvent très inconsciente, frivole, capricieuse, parfois trop froide et souvent trop confiante. Si quelqu'un connaît aussi bien sa vie, c'est qu'elle parle un peu à tout le monde, à tort et à travers. Elle se livre trop facilement aux premiers venus.
Ceci mis à part, c'était une lecture très agréable.
Inutile de mettre des liens: il me semble que presque tous les blogs que je connais ont déjà écrit des billets sur ce livre!
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Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Jane ne recevait jamais de paquet chez elle. Elle le prit. Solide, rectangulaire et plutôt lourd : sans doute un livre. Elle se battit contre l'enveloppe rembourrée, agrafée et collée. Elle en sortit une chemise en carton jaune. Une disquette tomba sur le sol carrelé avec un bruit sec. La chemise contenait un manuscrit en feuilles détachées. Sur la première page, elle lut :

LE PROBLÈME AVEC JANE - roman

Pas de nom d'auteur. Elle regarda l'enveloppe marron : pas de nom d'expéditeur. Le paquet avait été posté à New York cinq jours plus tôt. Elle parcourut rapidement les premières pages. Il s'agissait d'elle. Quelqu'un de bien informé. Le manuscrit comptait trois cent soixante pages et s'achevait sur cette phrase : "En bas elle trouva le paquet avec le manuscrit."
A travers ce thriller psychologique, dans un style simple et tendu, c'est une radiographie des rapports amoureux et sociaux dans l'Amérique contemporaine que nous propose l'auteur.
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« Tu ne veux toujours rien boire ?
— Non merci. »
Elle sentit ses lèvres et ses joues palpiter sous le regard de Bronzino et baissa les yeux.
« Dis-moi : pourquoi Flaubert ? »
Elle releva la tête, soulagée.
« À cause de mon père.
— De ton père ? Il est prof de lettres ?
— Non, dentiste. Il n’a jamais compris ce qu’on pouvait bien chercher en littérature. Il était furieux quand je me suis inscrite en thèse de lettres. Il voulait que je fasse du droit.
— Mais alors ?
— Je l’ai toujours déçu. Il aurait voulu un garçon pour jouer avec lui au base-ball le dimanche. Il a essayé de m’apprendre. Je ne rattrapais pas une balle. Il me traitait d’idiote parce que je fermais les yeux quand la balle arrivait. Plus il criait, plus je fermais les yeux. »
Bronzino, qui avait sans doute passé de nombreux dimanches à jouer au base-ball avec ses enfants, hocha la tête avec un sourire. Pendant son séjour à Paris en troisième année d’université, continua Jane, elle s’était rendu compte qu’elle haïssait les banlieues vertes où elle avait grandi et s’était ennuyée à mourir.
Flaubert, donc, pour son ironie à l’égard de la province ennuyeuse, hypocrite et bourgeoise. M. Homais, c’était son père.
Norman rit.
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On tombait amoureux d'un corps et d'un visage, oui, mais d'un corps qui bougeait, qui avait une grâce et une allure, et d'un visage qui vous regardait, qui vous souriait : on tombait amoureux d'une énergie ou d'un esprit qui irradiait par ces gestes, ces yeux ou ce sourire.
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« Tous les hommes sont pareils, ma chérie. Qu’est-ce que tu crois qu’ils veulent ? Une femme dans leur lit, qui leur donne des enfants et cuisine pour eux. Tu vas avoir trente six ans, l’horloge tourne. Dans un couple, il faut parfois que l’un des deux sache sacrifier à l’autre son intérêt professionnel. » inutile de demander lequel. Sa mère qui n’avait jamais travaillé que comme assistante de son mari, ne voyait pas de meilleur destin pour la femme que celui d’une planète tournant sur orbite autour d’un homme-soleil.
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Jane souriait en elle-même. Les douze momies autour de la table ne savaient pas. Elle aurait voulu leur crier ses tables de la Loi:
Il n'y a qu'une sorte d'amour.
Il faut partir s'il y a l'ombre d'un doute.
On n'a qu'une moitié.
Ne pas s'arrêter avant de l'avoir trouvée.
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Vidéo de Catherine Cusset
Avec Catherine Cusset, Lydie Salvayre, Grégory le Floch & Jakuta Alikavazovic Animé par Olivia Gesbert, rédactrice en chef de la NRF
Quatre critiques de la Nouvelle Revue Française, la prestigieuse revue littéraire de Gallimard, discutent ensemble de livres récemment parus. Libres de les avoir aimés ou pas aimés, ces écrivains, que vous connaissez à travers leurs livres, se retrouvent sur la scène de la Maison de la Poésie pour partager avec vous une expérience de lecteurs, leurs enthousiasmes ou leurs réserves, mais aussi un point de vue sur la littérature d'aujourd'hui. Comment un livre rencontre-t-il son époque ? Dans quelle histoire littéraire s'inscrit-il ? Cette lecture les a-t-elle transformés ? Ont-ils été touchés, convaincus par le style et les partis pris esthétiques de l'auteur ? Et vous ?
Au cours de cette soirée il devrait être question de Triste tigre de Neige Sinno (P.O.L.) ; American Mother de Colum McCann (Belfond), le murmure de Christian Bobin (Gallimard) ; le banquet des Empouses de Olga Tokarczuk (Noir sur Blanc).
À lire – Catherine Cusset, La définition du bonheur, Gallimard, 2021. Lydie Salvayre, Depuis toujours nous aimons les dimanches, le Seuil, 2024. Grégory le Floch, Éloge de la plage, Payot et Rivages, 2023. Jakuta Alikavazovic, Comme un ciel en nous, Coll. « Ma nuit au musée », Stock 2021.
Lumière par Valérie Allouche Son par Adrien Vicherat Direction technique par Guillaume Parra Captation par Claire Jarlan
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