Citations sur Vivez mieux et plus longtemps (10)
Je connais vos défauts, ce sont aussi les miens...
Et ce livre, c'est l'ami qui nous veut du bien, le pote qui nous connaît par cœur, qui nous prend par m'épaule et nous explique que si l'on fait les choses comme on les a toujours faites, il ne faudra pas s'étonner d'avoir toujours les mêmes résultats. Vous verrez, on s'habitue plus rapidement qu'on le croit au changement, parce que tout ce qui est du ressort du mode de vie s'inscrit dans les gènes et produit des résultats. Je vous le dis parce que j'en suis convaincu, parce que je l'ai expérimenté, parce que j'ai confiance en vous et, sans doute aussi, parce que je vous aime.
« Nous avons tendance à croire que la santé est un dû, une chose acquise pour l’éternité. Mais ça, c’est la version bisounours de la vie. En réalité, la santé est un capital qu’il importe de faire fructifier ou, soyons réalistes, qu’il convient de chérir en permanence pour qu’il ne se dilapide pas. En tout cas pas trop vite… Car ce capital a tendance à s’éroder, sournoisement, de jour en jour. Si l’on ne le respecte pas, il se venge en silence. »
Un jour, un enfant m'a posé la question : Pourquoi tout ce qui est bon est mauvais pour la santé ?
« corps est un peu un enfant. Bien traité, il vous remboursera au centuple. Mal traité, il vous présentera la facture. En matière de santé comme dans la vie, on finit toujours par récolter ce que l’on sème. »
"Les carottes sont cuites" : vous connaissez sans doute l'expression...Quand on la prononce, ce n'est en général pas bon signe. Eh bien, je le réécris ici en échos à la couverture de ce livre: "Les carottes ne sont jamais complètement cuites"! Il ne faut désespérer de rien, tout est question de contexte. Par exemple au moment de passer à table, le fait que les carottes soient cuites sonne plutôt comme une bonne nouvelle. Car à la cuisson les carottes perdent leur paroi cellulaire, facilitant ainsi l’absorption par l'organisme des antioxydants caroténoïdes qu'elles contiennent.
Je le dis sans ambages : la notion de produits allégés constitue l'un des attrape-gogos alimentaires les plus aboutis de l'ère contemporaine.
"le trésor le plus précieux, le plus facile à perdre et, paradoxalement, le plus mal gardé"
Un jour, je suis tombé sur une citation anglaise qui disait en substance que le plus pauvre des pauvres n'échangerait pour rien au monde sa bonne santé pour de l'argent mais qu'en revanche, le plus riche des riches abandonnerait volontiers son magot contre une santé retrouvée. Je suis assez d'accord avec ça. Rien ne saurait mieux nous convaincre que la santé est un don d'une valeur inestimable. C'est pour plagier la jolie formule de Pierre Chauvot de Beauchêne, le médecin du roi Charles X, "le trésor le plus précieux, le plus facile à perdre et, paradoxalement, le plus mal gardé."
"Sauvakavely" ça vous dit quelque chose ? Non ? Normal. Ou alors, vous êtes agrégé de finnois. "Sauvakavely", ce n'est pas le nom d'un volcan mais le nom finnois de la marche nordique...
Pour faire simple, la marche nordique, c'est un peu comme le ski de fond mais sans les skis, sans la neige, sans le forfait hebdomadaire et sans la tartiflette à 50 euros la portion. En gros, il reste les bâtons dont on s'aide pour marcher.
Ces "bonnes" bactéries, on les appelle les probiotiques (terme apparu en 1965, notez-le pour crâner ).