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Citations sur Votre cerveau (15)

C'est l'histoire d'un militaire qui tape à la porte d'une maison close. Le vasistas s'ouvre sur le visage de la tenancière des lieux.
Elle : "C'est pour quoi ?"
Lui : "Bonjour madame, accepteriez-vous ma compagnie pour une heure ?"
Elle : "Avec grand plaisir, entrez."
Lui : "Compagnie ! En avant, marche !"

Si vous n'avez pas souri, je ne peux rien faire pour vous.
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Il est une source de stress répandue qu’on a tendance à ignorer et qui, à force, peut faire des ravages : l’incapacité à dire « Non ». Or savoir dire « Non » est essentiel pour votre mental, votre physique et la gestion de vos émotions. Si vous dites oui à tout, quelle est la valeur de votre « Oui » ? Peanuts ! Et votre entourage en abusera… Vous devez donc apprendre à respecter votre capacité à accomplir une chose ou à la supporter. Un refus témoigne d’une forme d’intelligence quand il traduit la connaissance de vos limites et de vos priorités. Connais-toi toi-même… Désormais, ne dites « Oui » qu’après avoir réfléchi et si vous estimez que ce qui vous est proposé est réalisable, que vous avez la capacité de l’accomplir dans le temps imparti, que vous en avez envie. Si ce n’est pas le cas, refusez.
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Le cerveau et l’organisme ont aussi besoin, pour éviter la déshydratation, de cette bonne vieille eau 100 % liquide, qu’elle coule du robinet ou provienne d’une bouteille. Sans elle, point d’optimisation de nos performances intellectuelles et mentales… Sans elle, nous altérons nos capacités de raisonnement, nous mémorisons moins bien. Sans elle, notre vigilance s’émousse, notre concentration flétrit. Le manque d’eau entraîne un effet domino où la fatigue conduit à la somnolence, où la somnolence précède la nervosité, où la nervosité débouche sur l’anxiété, laquelle laisse bientôt place à l’énervement et à son chapelet d’émotions négatives : on finit par avoir peur de tout, s’agacer d’un rien et trimballer sa tristesse un peu partout. Point n’est besoin d’être thésard sur le sujet pour entrevoir le cercle vicieux qui se met alors en place et vous pourrit le quotidien tout en vous éloignant de vos amis, pour lesquels vous devenez le parasite à éviter. Tout ça parce qu’on n’a pas bu ! Ou oublié de le faire ! J’insiste sur cette notion d’oubli. Car la vie n’étant pas si mal faite, nous avons tous tendance à boire quand notre organisme nous le réclame. Le problème, c’est que quand la soif se fait sentir, c’est, d’une certaine manière, déjà trop tard. Les capacités du cerveau sont déjà amoindries. L’idée, c’est donc de boire avant d’avoir soif. D’anticiper.
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Au Moyen Âge, à une époque où j’étais tellement petit que je n’étais même pas né, la sardine était d’ailleurs une bonne source d’énergie et de protéines pour les plus pauvres. Le temps a passé et les choses se sont inversées. Le saumon s’est démocratisé, son prix est devenu plus abordable, on le retrouve désormais dans toutes les assiettes familiales et au menu des restaurants les moins tapageurs. Parallèlement, on a un peu oublié la sardine. À tort. Car ce petit poisson apparu au XIIIe siècle et dont l’appellation latine signifie « poisson de Sardaigne » est tout aussi riche en oméga-3 et mérite qu’on lui accorde un peu plus d’attention.
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Le stress n’est pas une maladie, mais un phénomène naturel. Il n’est donc pas mauvais par nature. Ce sont ses conséquences qui peuvent esquinter la santé. Une chose est sûre : personne ne peut y échapper, nous sommes génétiquement programmés pour stresser. Car le stress est une réaction physiologique de l’organisme en réponse à une stimulation extérieure, physique, psychique ou sensorielle, perçue comme une menace.
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Le cerveau est glouton. Et impoli. Il a tendance à se servir en premier et en abondance. Il s’approprie un cinquième des calories que nous ingurgitons et s’empare de 40 % de l’oxygène que nous inspirons. C’est à ce prix qu’il prétend rester en forme. Et qui alimente le cerveau ? Le sang. Il joue son rôle de transporteur en empruntant les artères. Autant vous dire qu’il vaut mieux qu’elles soient bien dégagées et que la circulation y soit fluide. Protéger ses artères, c’est donc œuvrer au bon fonctionnement du cerveau. Tout ce qui est susceptible de les encrasser ou de les encombrer doit, à défaut d’être proscrit, être consommé avec la plus grande des parcimonies. Les ennemis, on les connaît : le sucre raffiné, les aliments chargés en sel, les mauvaises graisses, dites saturées… Les amis aussi, on les connaît : les fruits, les légumes, les noix, les légumineuses, l’ail, l’huile d’olive et une palanquée d’autres parmi lesquels les poissons, notamment ceux dits gras, truffés d’oméga-3.
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Le bonheur, c’est simple comme une assiette bien pensée. Si je sacrifie volontiers au détournement du slogan publicitaire, c’est parce que la joie de vivre, le sentiment que nous éprouvons d’avoir ou pas la pêche, la capacité à nous sentir d’attaque de bon matin, d’affronter les épreuves de la vie ou d’envisager les choses avec optimisme sont aussi fonction de la manière dont nous nous nourrissons.
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Mauvais pour le cœur, mauvais pour les reins, mauvais pour les vaisseaux, le sel l’est également pour le cerveau. Je ne voudrais pas me mettre les producteurs à dos mais il faut admettre que ce condiment cumule les tares, non pas pour ce qu’il est mais pour la consommation excessive qu’on en fait, souvent à l’insu de notre plein gré, comme dirait l’autre. Car le sel que l’on avale n’est pas seulement celui de la salière : on le trouve dans tout un tas de choses, du fromage au pain en passant par les laitages, la charcuterie et les plats cuisinés, pour ne citer que les plus voyantes… Donc, point n’est besoin d’en rajouter.
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Au pays des légumineuses, le pois chiche jouit du titre officieux de champion du monde. Cet aliment, trop souvent snobé, cumule les médailles : bon pour le transit, utile pour lutter contre les radicaux libres, rassasiant à souhait et consommable sous différentes formes (houmous, falafel, couscous, salade, chaud ou froid…).
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Les sucres simples, cela correspond au sucre blanc, encore appelé saccharose. C’est le sucre naturel des fruits (le fructose) ou encore le sucre naturel du lait (le lactose). Ces sucres, nous en avons besoin pour booster rapidement notre activité cérébrale et musculaire. Il ne faut pas non plus en abuser, car le corps est capable de les transformer en mauvaises graisses avant de les stocker. Vous aurez vite fait de vous retrouver avec un petit bidon… Idéalement, il ne faudrait pas consommer plus de 50 g de sucre par jour, soit l’équivalent de 12,5 cuillerées à café. Quand on sait qu’une canette de soda contient déjà 40 g de sucre, on a vite fait de se rendre compte des pièges qui menacent notre ligne.
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