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Critique de Arthemyce
Honnêtement, je ressors (plus que) mitigé de cette succincte lecture.
Si les textes choisis de Kropotkine délivrent la fougue et l'optimisme qu'on connait à l'auteur, ils manquent largement de contextualisation. Et ce malgré les "Notes liminaires" signées par Élisée RECLUS.
De fougue et d'optimisme les textes ne manquent pas, je l'ai déjà dit ; en revanche on trouvera à redire sur la rhétorique dichotomique qui émaille l'ensemble et dont le simplisme nuit particulièrement au message. Brûlot oui, mais à quoi bon s'il ne s'agit de prêcher que des convertis ?
Concernant la postface de Dadoun, j'admets parfaitement ma totale absence de culture en matière de Poésie et j'ai été particulièrement insensible à sa prose, qui a eu pour effet d'ailleurs, d'achever mes derniers espoirs concernant ce court opus ; opus à mon sens parfaitement dispensable en conclusion.
Si les textes choisis de Kropotkine délivrent la fougue et l'optimisme qu'on connait à l'auteur, ils manquent largement de contextualisation. Et ce malgré les "Notes liminaires" signées par Élisée RECLUS.
De fougue et d'optimisme les textes ne manquent pas, je l'ai déjà dit ; en revanche on trouvera à redire sur la rhétorique dichotomique qui émaille l'ensemble et dont le simplisme nuit particulièrement au message. Brûlot oui, mais à quoi bon s'il ne s'agit de prêcher que des convertis ?
Concernant la postface de Dadoun, j'admets parfaitement ma totale absence de culture en matière de Poésie et j'ai été particulièrement insensible à sa prose, qui a eu pour effet d'ailleurs, d'achever mes derniers espoirs concernant ce court opus ; opus à mon sens parfaitement dispensable en conclusion.
