Oh que cette lecture était noire…. J'ai un peu de mal à en dire autre chose. Un temps j'ai cru à une vraie enquête policière, mais finalement non…. c'était juste un jeu d'illusions qui ne m'ont laissé aucun espoir.
Par contre, il manque un peu d'informations sur la chronologie des évènements, et surtout, la scène du début reste totalement mystérieuse jusqu'à la fin de la lecture… à tel point que je l'avais bien oublié.
Mais c'était une histoire de la fin des années 40. C'est donc une totale fiction… on ne pourrait pas voir ce genre de chose aujourd'hui…. non !?
Mais je verrais cette histoire racontée avec des images animées….
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C'est une horrible histoire au service de la raison d'état. On se demande si les faits sont réels tant l'authenticité semble crédible. Il est vrai que la période qui a suivi l'Occupation en France a été un peu spéciale. Certains ont commencé à réécrire l'histoire qui les arrangeait. Il n'est pas difficile de croire qu'il y a eu des crimes pour cacher des choses à la moralité douteuse.
Le début de cette enquête est assez conventionnel mais le déroulement par la suite réserve quelques surprises qui relance l'intérêt de la lecture. Il s'en ai fallu cependant de peu pour tomber dans l'ennui.
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Petite étincelle luit en ténèbres.
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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