J'arrive ici pour voir mourir les roses
Le Ciel pleurer et les roseaux gémir.
Funeste augure...Ah! Quelles autres choses
Verrai-je encor et pleurer et mourir
En ce lieu morne où je tâche à panser
L'inguérissable et si chère blessure
Qu'on n'aurait su, dans une âme ,tracer,
D'une main plus ferme et plus sure?