Citations sur Les soeurs Beaudry, tome 2 : Les violons se sont tus (18)
Quand les malades se croient guéris, ils n’écoutent plus personne, ni le spécialiste ni les internes. Ils s’en vont, reprennent leur besogne et ils reviennent six mois plus tard, plus malades qu’au début.
Les chercheurs sont souvent pressés de crier victoire pour mousser les ventes d’un nouveau médicament. Pour chaque nouvelle découverte, c’est beaucoup d’argent en jeu.
Quand on touche le fond du baril, on n’a de choix que de le remonter.
Un homme qu’a pas eu d’enfants peut pas comprendre l’attachement d’un père à sa famille.
Les journalistes sont toujours en quête de nouvelles à sensations.
Quand le seau est trop plein, il déborde !
Vous êtes mes petites filles et quand on a des enfants, c’est pour la vie.
Les journalistes sont toujours en quête de nouvelles à sensations.
Les tuberculeux n’ont pas le droit de vivre en société avec cette maladie. Vous risquez de contaminer les gens autour de vous.
Les amoureux ont besoin de vivre cachés, porte close. Même si vous vous entendez bien, ta sœur et toi, vous avez besoin de tranquillité et d’intimité pour commencer votre vie à deux.