« Dimanche 30 août 1914.
Je me décide à consigner ici quelques notes
sans importance, pensant qu’elles pourront plus tard avoir quelque intérêt
et que, quoiqu’il arrive, mon petit Maurice les lira (peut-être !) avec plaisir. Je commence un peu tard : mais je ne pouvais pas croire, pas plus que les
autres, que nous étions si près de l’invasion ennemie. Et cependant il en est ainsi. Les Anglais refoulés de Compiègne, occupent la ville. Cami...
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