AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Martha ou la plus grande joie (15)

C'est terrible d'être vieux et seul quand on a encore tant d'amour à donner...
Commenter  J’apprécie          150
On dit que l'argent et le pouvoir font tourner le monde, pas l'amour. Peut-être..., mais c'est l'amour qui l'empêche de tourner fou.
Commenter  J’apprécie          90
Ce qui m'avait vraiment touché, c'est ce qu'il disait des mots : "Les mots signifient tout, n'importe quoi et le contraire. C'est le ton qui compte. C'est la lumière dans les yeux de la personne qui parle et dans ceux de celle qui écoute. Le grain de la voix. Une vibration dans l'aire. La courbe qui dessine la main pendant que les mots filent. Allez faire passer ça dans un texte...! Ecrire est un métier affreusement compliqué. (Rire.) Je crois que j'aurais préféré jouer de la cornemuse. Mais c'est très difficile de raconter une histoire en jouant de la cornemuse. Comme c'est ça que j'aime, raconter des histoires, alors je continue à les écrire
Commenter  J’apprécie          50
Je suis partie en songeant que dans son monde parfait, votre père n’avait pas de place pour moi, pas une ‘vraie’ place. J’étais la pièce à laquelle on tient et qu’on n’a pas envie de perdre mais qu’on ne sait où mettre… J’étais une annexe, une parenthèse, une note en bas de page. Une souris, oui, une toute petite souris.
p. 87
Commenter  J’apprécie          40
Les mots signifient tout, n'importe quoi et le contraire. C'est le ton qui compte. C'est la lumière dans les yeux de la personne qui parle et dans ceux de celle qui écoute. Le grain de la voix. Une vibration dans l'aire. La courbe qui dessine la main pendant que les mots filent. Allez faire passer ça dans un texte...! Ecrire est un métier affreusement compliqué.
Commenter  J’apprécie          30
L’idée m’était passée par la tête qu’un type qui connaissait le nom latin des plantes n’avait aucune raison de laisser ma sœur se perdre dans les bois. Dans le pire des cas, il s’y perdrait avec elle et me téléphonerait.
p. 68
Commenter  J’apprécie          20
« J’ai peur des trop belles phrases. L’important, c’est qu’une phrase soit si juste qu’on en oublie qu’elle est belle. (Silence. Puis un grand rire.) L’ennui, c’est que je n’y arrive pas souvent ! »
p. 53
Commenter  J’apprécie          10
- Traducteur de quelle langue ?
- L’anglais. Surtout celui des romans.
- Ce n’est pas trop difficile d’être l’écrivain des autres ?
J’ai trouvé que la formule était belle et me suis promis de la retenir. Je lui ai répondu que non : j’avais la joie d’écrire sans les affres de la création.
p. 25
Commenter  J’apprécie          10
Parce que j'ai pensé qu'on est tout seul mais que si quelqu'un vous aime et qu'on l'aime de tout son coeur, on n'est plus seul, et ça, c'est merveilleux.
Commenter  J’apprécie          00
Tu ne verras ce côté-ci de la rivière que lorsque tu l'auras traversée et que tu seras de l'autre côté.
Commenter  J’apprécie          00






    Lecteurs (36) Voir plus



    Quiz Voir plus

    La littérature belge

    Quel roman Nicolas Ancion n'a-t-il pas écrit?

    Les ours n'ont pas de problèmes de parking
    Nous sommes tous des playmobiles
    Les Ménapiens dévalent la pente
    Quatrième étage

    15 questions
    63 lecteurs ont répondu
    Thèmes : roman , littérature belgeCréer un quiz sur ce livre

    {* *}