l'amitié
Une très belle histoire d'une bande d'amis qui se divise en deux groupes Avec beaucoup de suspense et de rebondissements, vous n'aurez pas le temps de vous ennuyer. J'attends la suite avec beaucoup d'impatience Un très bon moment à passer à lire pour tout le monde
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Une très belle histoire qui mêle amours et amitié de plus elle vous fait voyager dans les iles et vous fera rêver je le conseil a tous jaunes et moins jeunes
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La vie de rêve beaucoup trop romancée et téléguidé un roman a l'eau de rose seul le cadre et le paysage vous fait envie
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Un très beau voyage troublant émouvant avec des rebondissements auquel on ne s'y attends pas
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Une très belle histoire d'humour d'amour touchante émouvante avec en prime un beau voyage
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Plus on vieillit, moins les choses paraissent certaines. Évidemment quand on a dix - huit ans, on dévore la vie. Égocentrique et insolent, on est plein de certitudes sur tout « moi je ne ferai jamais ça », « moi j’agirai comme ça dans telle situation » … Et quelques années plus tard, en fait, tout a l’air beaucoup moins sûr. Nos pieds s’enfoncent parfois dans un sable mouvant et on se raccroche à ce que l’on peut. On gagne généralement en tolérance et en ouverture d’esprit, ce qui n’est pas négligeable, car à force de vivre ou de voir des trucs bizarres, on finit par se dire que rien n’est acquis, que nous ne décidons pas toujours, hélas, de la tournure que prend notre vie. En l’espace de quelques secondes, tout peut changer. Un mauvais choix, un accident, une parole maladroite, une absence, une rencontre … On peut tout perdre, la vie, la santé, l’amour, l’argent, la foi, la mémoire, le temps, le travail … tout, absolument tout. Sauf la mort.
Mariés depuis de nombreuses années avec une petite fille de dix ans, ils représentent à nos yeux le couple idéal. Celui dont tout le monde rêve (enfin surtout les filles). Attentionnés l’un envers l’autre, complices, compréhensifs, respectueux … on aurait presque cru une adaptation de « la petite maison dans la prairie » version 2010. Et merde, le modèle « famille Hingalls » est vraiment has been, dépassé ! Pourquoi, enfants, nous remplit - on la tête de ces conneries de princesses et de princes alors que la réalité n’a en fait absolument rien à voir avec un conte de fées … Les réalisateurs auraient plutôt dû mettre en scène un scénario du type « pendant que Charles allait couper du bois, Caroline s’éclatait avec son voisin ou même pire, sa voisine ! » Là, nous aurions été plus aptes à encaisser et à nous accommoder des aléas de la vie sentimentale. À mort Cendrillon et la Belle au bois dormant, racontez à nos jeunes bambins des histoires plus trash ! Au placard les vieux scénarii remplis de niaiseries hypocrites ! Cela permettra peut - être d’éviter quelques désillusions à ces futures victimes de l’amour.
Dans cette maison de vacances, nous avons un panel intéressant de gens différents. Mariés, divorcés, parents, noirs, blancs, célibataires endurcis, déjantés, intellectuels, musiciens, hétéros, homos, bisexuels, croyants, athées … Voilà, c’est exactement ce que j’aime. Et la cohabitation se fait naturellement, sans heurts, dans le plus grand des respects. Les différences nous rapprochent, nous nourrissent, nous rendent beaux. J’aimerais que cette maison soit le reflet du monde. Vous pouvez être sûrs que les anges nous jalouseraient ! Pourquoi ne pas tirer profit de toutes ces différences ? Au lieu d’imposer ses idées, ses idéaux … personne ne détient La vérité. Tout est subjectif, tout est relatif. La vie n’est qu’incertitudes, la seule certitude que nous puissions avoir, c’est notre sort final : la mort. Alors, en attendant qu’elle vienne nous chercher, profitons de tout ce qui nous est offert, chaque minute compte
Dans cette maison de vacances, nous avons un panel intéressant de gens différents. Mariés, divorcés, parents, noirs, blancs, célibataires endurcis, déjantés, intellectuels, musiciens, hétéros, homos, bisexuels, croyants, athées … Voilà, c’est exactement ce que j’aime. Et la cohabitation se fait naturellement, sans heurts, dans le plus grand des respects. Les différences nous rapprochent, nous nourrissent, nous rendent beaux. J’aimerais que cette maison soit le reflet du monde.
Les filles, intimidées, le dévisagent avec des yeux ronds comme des billes, presque exorbités, sans ciller, sans prononcer un seul mot. Je pense qu’elles sont en train d’halluciner. Elles auraient probablement eu le même regard et la même attitude si elles avaient croisé un extraterrestre en train de faire du shopping sur les Champs Elysées. Je suis morte de rire intérieurement.
Cette scène est drôle, la rencontre de deux mondes totalement différents, voire opposés, de deux cultures. Je souris. Cet homme respire le bonheur. Il est vêtu simplement, les pieds nus. La corne qui recouvre sa voûte plantaire lui sert de semelle. Son visage est lumineux malgré ses rides prononcées, sa peau noire est desséchée par les puissants rayons du soleil qui la caressent quotidiennement depuis sa naissance. Son regard est doux, profond, sincère. Un charisme imposant, authentique, une force naturelle que je n’avais jamais perçue chez quiconque auparavant.