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EAN : 9782330081737
336 pages
Actes Sud (16/08/2017)
3.22/5   191 notes
Résumé :
Orphelin de mère, mis à l’écart par son père, il a grandi dans la compagnie des livres qui lui ont offert une nouvelle langue. Depuis toujours, il est convaincu d’avoir un don : s’il écrit, il repousse la mort ; celui qu’il enferme dans les phrases de ses cahiers gagne du temps de vie. Telle une Shéhérazade sauvant ses semblables, il expérimente nuit après nuit la folle puissance de l’imaginaire. Ce soir, c’est auprès de son père moribond qu’il est appelé p... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (56) Voir plus Ajouter une critique
3,22

sur 191 notes
Meursault, contre-enquête était un livre formidable. Impossible de ne pas poursuivre avec Kamel Daoud et ce Zabor qui s'annonçait comme une fable, une parabole, une confession vertigineuse (dixit la quatrième de couverture). le sous-titre du roman, Les psaumes, aurait pu pourtant alerter. D'emblée, le personnage dont on va lire le monologue est parfaitement identifié et son don révélé : par l'écriture, il réussit à repousser la mort du corps de villageois dont la dernière heure avait pourtant sonné. Et un grand défi l'attend : faire de même avec son père avec lequel les relations ont toujours été tendues. Pendant plus de 300 pages, d'une écriture ciselée et très belle, d'autant plus que sa langue maternelle n'est pas le français, Zabor raconte ou plutôt s'épanche sur son cas, clamant son amour des mots, de la littérature et de l'écriture. Un roman, vraiment ? Certes, le livre narre la vie de Zabor, au gré des chapitres, de ci, de là, dans le désordre; mais ne serait-ce pas plutôt un essai déguisé en conte, sur une thématique certes passionnante mais étirée en longueur et redondante au fil de pages qui semblent de plus en plus lourdes à tourner. Ce personnage de Zabor, comme celui de sa tante et de son père ou encore de la veuve qu'il aimerait aimer, sont tout à fait dignes d'intérêt mais les péripéties de leurs existences sont noyées par de longs passages aux frontières de l'hermétisme qui suscitent une lassitude certaine, tout du moins chez ceux qui, dans un roman, privilégient le récit pur et dur. Un rendez-vous manqué qui n'enlève rien au talent certain de Kamel Daoud mais qui fait s'interroger. Brillant journaliste, l'oranais est également un très bon écrivain mais est-ce bien le roman, le genre dans lequel il trouve sa meilleure expression ?
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En ouvrant le dernier roman de Kamel Daoud, Zabor ou les Psaumes, j'ignorais que je partais en voyage, initiatique parfois, mémorielle, souvent.
Je partais avec lui comme guide. Lui, Zabor, ou Daoud. Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse.
Dès les premières pages, le décor est posé, les personnages aussi. Les héros de ce roman seront incontestablement, les mots.
Kamel Daoud a le don de nous surprendre à chaque fois, en posant des questions simples, pertinentes, presque évidentes mais que personne ne pose, du moins aussi clairement. «  le premier mot du livre sacré est « Lis »- mais personne ne s'interroge sur le dernier… Je me demandais aussi pourquoi l'injonction était faite au lecteur, et pas à l'écrivant. Pourquoi le premier mot de l'ange n'était- il pas « Ecris ».
Mon accompagnateur, Zabor, « Robinson arabe d'une ile sans langue », qui a le «  don d'écrire pour faire reculer la mort », se révéla à lui-même en découvrant et maitrisant son prénom… . «  Je venais de découvrir que l'écriture d'un prénom est une fenêtre mais ne faisait pas disparaitre le mur »…
Nommer les choses, c'est les faire exister, mais aussi les perpétuer. de là, est née la passion de l'inventaire, pour contrer l'oubli et repousser la mort des hommes, des choses.. de l'univers en somme… « Je ne connaissais pas le mot « sommaire » mais je pense que c'est l'essence première de la langue, la comptabilité du possible ».
Une volonté d'inventorier les choses qui se mua en mission secrète et devoir absolu.
« Je voulais tenter une sorte de rapport sur les nuances »
Cette phrase résume parfaitement à elle seule toute la poésie tapie, cachée, dans ce roman. Contre toute attente, Daoud nous livre ici, une écriture baignée de douceur, avec un amour sans fin aux mots. Et les mots, il y en a dans ce livre. Zabor ou les psaumes, au-delà du récit de l'enfance et pérégrinations de ce prodige Zabor, est une invitation au jeu. Jouez à compter, évaluer le nombre de mots différents dans les 330 pages que compte ce livre. Vous serez surpris de découvrir un éventail de descriptions, allant des iles désertes au Désert, en passant par l'océan, les collines, les montagnes…. Ce que Zabor aspirait à faire, Daoud l'a fait.
Encore une fois grâce aux livres et par une ingénieuse ruse formelle, celle de donner un nom de livre qu'il a lu, à chaque cahier qu'il noircit, Daoud/ Zabor, rend hommage à ces ouvrages qui lui ont ouvert le monde. L'usage de l'italique permet d'en délimiter les territoires.
le voyage entrepris est alors merveilleux et infini.
Merveilleux, par les réminiscences livresques qu'il peut alors susciter dans chaque lecteur qui sommeille en nous. Merveilleux surtout, par les curiosités qu'il peut titiller, les découvertes qu'il peut provoquer. Zabor ou les psaumes, un livre tiroir, une fenêtre sur lecteur, un oeil de boeuf sur son âme d'enfant.
Je me suis amusée alors à jouer avec lui. A le suivre au mot- pardonnez le jeu de mot, il était si facile. A le défier. D'abord faire un inventaire des livres qu'il cite. Ils ne sont pas là par hasard. Non, pas avec un auteur aussi chevronné, pour qui la précision fait office de religion. Je ne les citerai pas ici, à dessein, celui de vous laisser vous faire prendre au jeu à votre tour.
J'ai ensuite poussé le jeu plus loin, en lui répondant, ouvrage contre ouvrage, livre contre livre. Sa description mystique du désert, de la nuit, me replongea alors, dans le petit prince de Saint- Exupéry, ou encore, dans le somptueux, « Les mages » d'Ibrahim al Koni,
Il me rappela Frison Roche dans « Premier de cordée », «  Les fils de la médina » de Naguib Mahfouz, tant le récit est parsemé, voir jalonné de récits religieux mais aussi ; ses recours très nombreux au Livre sacré. 
Zabor, l'orphelin, me ramena aussi à l'autre orphelin de « W ou le souvenir d'enfance » de Georges Perec grand chantre de l'inventaire jusqu'à la litanie.
Il réussit aussi à m'arracher une larme, en me replongeant dans l'univers de Mouloud Mammeri ou Mouloud Feraoun, délicieuses et puissantes descriptions d'une société rurale, aux prises avec de lourdes coutumes et traditions.
Kamel Daoud réussit en fin de compte à me ramener à des lectures enfouies dans les profondes strates de ma mémoire. Il a été le temps de son livre, l'archéologue de mes lectures.
On l'aura compris, Zabor ou les psaumes, est un objet ciselé, une dentelle finement détaillée. C'est une ode à la beauté des lettres et de leur envol dans la calligraphie arabe, ode à la beauté du geste du scribe maitrisant l'entrelacs et l'enlacement presque à l'infini. Une ode à la beauté des lieux, de la nature, du bestiaire. L'écriture devient alors le Calame de Daoud pour graver à jamais toute la beauté de son arrière-pays.
Daoud n'en oublie pas pour autant sa légendaire lucidité, devant certaines contradictions de notre société brillamment transposées dans celle de Zabor. le roman se retrouve ainsi parsemé de réflexions à l'argumentaire parfaitement construit, donnant au lecteur matière à méditer et certainement à débattre.  
L'humour n'est pas loin non plus ; on le devine dans certains passages jubilatoires, comme celui où il évoque El Hindi ou figues de barbarie : «  il ne faut pas en manger beaucoup car cela remplit alors le ventre d'une pierre tombale et on meurt de constipation en accouchant d'une montagne »
Enfin, je ne pouvais passer à côté de ces mots, qui résument presque tout : 
« Chercher les mots justes, écrire jusqu'à contraindre les objets à devenir consistants et les vies à avoir un sens est une magie douce, l'aboutissement de ma tendresse »
Je veux croire que le dernier livre de Kamel Daoud est un écrin de tendresse. Une main de fer dans un gant de velours.
Il est temps pour moi de vous laisser embarquer avec Kamel Daoud, à bord du vaisseau Zabor ou les Psaumes. Laissez votre imagination s'envoler, goutez chaque mot, prenez votre temps ; car les mots sont éternels.

Imen Bessah Amrouche
Aout 2017

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C'est un roman-conte plein d'enseignements et d'audace. "Zabor ou les psaumes", est une belle ode à l'écriture, aux mots, aux livres et aux questionnements salvateurs.
Orphelin de mère, Zabor, le personnage principal de ce texte captivant, assiste, tout seul, le vendredi 8 août 1984 à la mort de son grand-père Hadj Hbib. Zabor n'a alors que quatorze ans mais il trouve le réflexe de lire au père de son géniteur Hadj Brahim un extrait de roman écrit en langue française. Zabor ne vit pas avec son père, Hadj Brahim qui s'est remarié. Hadjer, une tante célibataire l'accueille chez elle, dans une demeure un peu à l'écart d'Aboukir, ce village qui ressemble à tant d'autres dans ce pays fier de son indépendance depuis quelques années.
Devant tous les malentendus qui se dressent devant lui, Zabor se réfugie dans la lecture, puis l'écriture; il noircit des cahiers et il se découvre un pouvoir insoupçonné. "Ecrire est la seule ruse efficace contre la mort. Les gens ont essayé la prière, les médicaments, la magie, les versets en boucle ou l'immobilité, mais je pense à être le seul à avoir trouvé la solution: écrire." Au fil du temps, la réputation de Zabor se propage; de plus en plus de gens viennent solliciter son pouvoir de s'opposer à la grande Faucheuse.
Zabor se raconte, il donne à lire également des extraits de ce qu'il scribouille dans ses 5436 cahiers. Chaque cahier porte un titre de roman qui l'a marqué ; ces titres voyagent beaucoup: le Quai aux fleurs ne répond plus, les Chemins qui montent, Lumière d'août, Saison de la migration vers le nord..."Rien d'autre à dire: le véritable sens du monde était dans les livres (...)". Zabor n'aime pas beaucoup son père, il n'a pas de bons rapports avec demi-frère, il est cependant à l'écoute de tout ce qui se passe à Aboukir. "Parfois, quand la saison est bonne, je croise le retour des amateurs de vin qui vont boire dans les champs, discrets, un peu honteux, titubants mais stricts dans leur effort pour paraître sobres. J'ai de la tendresse pour leur sort : il n'est pas facile de boire dans ce pays sans se faire lapider par les yeux ou même les pierres".
Malgré les réticences de certains, le pouvoir de prolonger la vie de Zabor est reconnu. Et quand son père, Hadj Brahim, est agonisant, tous les yeux des habitants d'Aboukir se braquent sur lui. Va-t-il encore une fois sauver une vie humaine grâce à ses écritures, ou bien va-t-il laisser son géniteur partir, pour se venger de tant de brimades ? "J'ai décidé de tout disperser en descendant de la colline, de repeupler l'île avec mes pages, d'en faire la révélation finale et de transformer la chair même d'Aboukir en manuscrit. La création est un livre ? Mon village et les siens sont des cahiers, des talismans, des prescriptions contre le néant".
A travers ce roman-conte, Kamel Daoud continue ses nombreuses quêtes en approfondissant des thématiques déjà abordées dans ses chroniques, ses nouvelles et ses interventions médiatiques. il y a dans Zabor ou les psaumes,dans ces précieuses descriptions de la vie des petites gens du Rachid Mimouni (L'Honneur de la tribu) ou encore du Ali Malek (Les Chemins qui remontent). Zabor ou les psaumes est un livre qui vaut le détour, c'est un texte qui peut réconcilier certains avec la lecture. Un peuple qui ne lit pas ne sera jamais libre.

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Quelle superbe écriture. Ciselée, poétique, pleine d'arabesques, sensuelle par moments.

C'est surtout cette écriture qui m'a fait aimé ce livre, cette magie dans le style et la narration, et, en arrière-plan, le pouvoir de l'écriture et du livre, capable chez Zabor de repousser la mort. Qu'en sera-t-il de celle de son père alors qu'il a été jeté dans le désert avec sa mère répudiée ?

Conte plus que roman, fait d'aller-retour, de soubresauts : il est malgré ses 300 pages, peut-être un peu trop long. L'écriture est belle, mais l'histoire ne m'a pas emportée. J'ai de loin préféré son Meursault, contre-enquête. Mais je suis difficile, c'est un bon moment de lecture quand même.
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Même si on a déjà beaucoup entendu parler de Kamel Daoud, Zabor n'est que son deuxième roman... et le dernier à ce jour. Après l'exercice qu'était Meursault contre-enquête (un roman réponse à l'Etranger de Camus, il fallait avoir l'audace de le faire tout de même !), ce Zabor semble très vite être beaucoup plus personnel. Le romancier Daoud y cherche son style, raconte en partie son histoire à travers son personnage principal (Zabor est le nom arabe du livre des Psaumes, écrit par David... Daoud en arabe...).

L'ode au livre, à la lecture, à l'écriture traverse tout le roman... et une contestation osée (mais qui n'étonnera pas chez Daoud) de l'existence d'un Livre Unique qui aurait réponse à tout. La découverte des diverses langues de l'Algérie se fait dans le mystère, elle sont longtemps non nommées et pourtant si faciles à deviner entre les lignes : l'algérien (darija), l'arabe et le français, tout ce qui a construit l'identité de l'auteur. Le côté fable est très présent avec le pouvoir donné à l'écriture, celui de maintenir en vie, de sauver de la mort; littéralement et effectivement dans le roman, mais on ne peut que penser à l'écriture qui permet de garder une trace dans l'histoire pour les générations futures mais aussi de l'écriture comme rempart contre l'obscurantisme, comme parapet face à la folie où pourraient nous plonger les horreurs de ce monde.

Alors que son premier roman était "tenu" par l'impératif du face à face stylistique avec Camus, Daoud se trouve ici à nu, avec pour seule obligation son envie de trouver sa langue pour parler à son lecteur. La quête du personnage principal devient la quête de l'écrivain. On est toujours tenté par la référence à des grands anciens, et j'ai retrouvé un peu du réalisme magique d'un Garcia Marquez (le village parfaitement décrit, mais également totalement décalé par une part de surnaturel). Les trouvailles métaphoriques sont légion, là encore comme celles que Zabor finit par trouver au bout de sa quête. Même le ressassement qui pousse à une répétition lancinante de certaines tournures, de certains événements inlassablement repris à l'identique, ce ressassement est aussi celui de Zabor qui n'avance dans sa conquête de l'écriture d'imagination que par cercles successifs, lui ouvrant de plus en plus l'espace au sein du village. Le rapport au temps est totalement torturée (des passages en italique invoquent le présent au milieu du récit pas forcément chronologique de la vie de Zabor).

On sent un romancier en formation, fort de bases solides mais cherchant encore sa voix, mais plein de tellement de promesses qu'on attend avec impatience un troisième roman. On se consolera en attendant avec les récits non-fiction et les chroniques du journaliste Daoud.
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critiques presse (3)
Actualitte
08 décembre 2017
Dans Zabor ou les psaumes, l’auteur nous entraîne en une spirale ascendante, par sa densité et son intensité, à la rencontre de ces territoires infinis de l’imaginaire là où n’existent nulle mort, nulle censure, nul interdit...
Lire la critique sur le site : Actualitte
LaLibreBelgique
20 septembre 2017
L’écrivain qui vit à Oran avait enthousiasmé avec sa relecture de "L’Etranger" de Camus (dans "Meursault contre-enquête") et le journaliste, courageux et libre qu’il est aussi, fait l’unanimité. Mais le résultat déçoit.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
LeMonde
15 septembre 2017
Avec « Zabor ou les psaumes », le romancier algérien livre son deuxième roman : une fable brûlante sur le pouvoir d’écrire.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (64) Voir plus Ajouter une citation
C'était la fin du jour, de la poussière jaune pénétrait les choses en sourdine, le silence était celui d'un désert sec, tout en pierres et trébuchements. Un lézard frissonnait sur le mur. Il tenta de ressembler au tracé d'une lettre arabe puis s'éclipsa.
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Les choses sont maintenues suspendues dans l'espace et le temps parce qu'elles sont inventoriées dans un esprit et qu'une langue les maintient dans l'immédiateté permanente. C'est une histoire de rencontre magique : le présent (et son univers) existe parce qu'un homme s'en souvient.
(...) Écrire, c'est écouter un son, le préserver et tourner autour, sans cesse, pour tenter d'en rendre la mélodie, s'en approcher le plus possible pour le conduire de l'oreille à la bouche.
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Quand les autres somnolent déjà, fatigués, moi j'examine la nuit à sa naissance évasée, attentif à ses rites qui restaurent l'infini dans le creux du ciel. Et je peux veiller longtemps, à lire ou relire mes livres, quand la nuit s'avance et que tous dorment sur le dos d'une baleine universelle et lente.
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Je crois qu'il ne comprenait pas pourquoi on allait le sacrifier, lui, cette fois, et pas un autre (chacun pense que la vie ne peut être que le spectacle de son éternité, et la scène de la mort, oui, mais de la mort d'autrui, toujours!) [...].
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Pourquoi raconte-on des histoires depuis toujours ? Pour contrer le temps ? La peur ? Peupler la nuit par un feu et un récit ? Pour s’amuser ? Il y a dans ce rite immémorial une nécessité, un besoin et pas seulement un désir. Car lorsqu’on raconte ou lorsqu’on écrit, l’histoire a un début et une fin, contrairement au monde et à ses étoiles qui parsèment nos interrogations.
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