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Critique de lecassin


Il y a des invitations que l'on serait bien inspiré de refuser…même lorsqu'il s'agit d'un cassoulet.
C'est sans doute ce qu'aurait dû faire notre commissaire national ; mais non…

Tout commence par cette invitation à dîner chez le Docteur Dubois dont la chère et tendre est une spécialiste de ce fleuron de la gastronomie française. Un coup de fil viendra perturber le déroulement du dîner : une urgence. le Docteur Dubois se rend chez son patient et ne tarde pas à appeler San-Antonio à la rescousse.
Arrivé sur place, il constate que monsieur Vignaz, le patient, gît dans le salon, étranglé par le fil du téléphone, et que madame, les veines tranchées gît, elle, dans la baignoire.
Les officiels, chargés de l ‘enquête - Mignon pour ne pas le nommer - concluront à un double suicide, mais San-Antonio doute. Et quand San-Antonio doute, il fouine.
On sabote sa voiture et c'est l'accident. Blessé, le commissaire sera pris en charge dans la propre clinique privée du Docteur Dubois, en ami…

Voilà à ma connaissance le premier San-Antonio directement lié au crime de droit commun, après un bon nombre de volumes consacrés aux services secrets et à la poursuite de criminels nazis. de plus, on sent ici, même si ce n'est qu'à la fin, l'équipe se constituer ; San-A., Pinaud, Bérurier, même si c'est au tour de Pinaud déguisé avec le costume de facteur de son père de sauver la mise à son chef ; rôle plus souvent dévolu à l'inspecteur principal Alexandre Benoit Bérurier…

Bref, un bon San-Antonio, un peu moins marle que certains, mais bon tout de même ; de facture Frédérique Dard plus que San-Antonio.
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