AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782234075481
672 pages
Stock (12/10/2016)
3.23/5   200 notes
Résumé :
"Un président ne devrait pas dire ça. " Cette phrase, François Hollande nous l'a lâchée, un jour d'exaspération. Il s'agaçait, alors, de voir la presse ausculter de trop près sa relation avec ses femmes, Ségolène, Valérie, Julie. Nous avons passé cinq années dans le sillage du chef de l'État, en sa compagnie, sans conseiller, sans témoin. Juste lui et nous. Avec une double exigence : pas de langue de bois, encore moins de propos « off the record ».
C'était l... >Voir plus
Que lire après Un président ne devrait pas dire ça...Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (44) Voir plus Ajouter une critique
3,23

sur 200 notes
Tout le bruit et toutes les exclamations offusquées des politiques sur ce qu'avait dit le Président Hollande dans ce livre ont piqué ma curiosité et je me suis donc lancée dans la lecture de ce pavé (960 pages quand même!) avec bonheur.
J'ai trouvé que c'était un bon livre politique dans le sens où les deux journalistes restent assez distanciés sur leurs relations avec Hollande et surtout gardent leurs valeurs journalistiques en ligne de mire constamment.
Ensuite, certes, on apprend certains faits avec un peu plus de détails que lorsque cela avait été abordé par les médias mais il n'y a pas de grands grands scoops non plus. le livre a le mérite de nous remettre en mémoire les faits passés du quinquennat, ce qui permet tout de même de voir le chemin parcouru.
Par contre, on en apprend beaucoup plus sur François Hollande en tant qu'homme politique et en tant qu'homme tout court et sur sa façon d'être ou de faire, qui souvent a du mal à être percer à jour et qui ne se comprend qu'au fil de la lecture et des éclairages apportés par les journalistes.
On note cette énorme solitude, cette énorme pression, le lieu et la fonction qui pressurise et avale tout, cette masse média plus à l'affut du petit couac que des grands faits. Mais également, le jeu politique, cette diplomatie si délicate qui permet d'avancer...ou pas, ces ambitions personnels qui font que la loyauté et l'amitié sont des choses plus que rares en politique, bref, une sorte d'ouverture d'un coin du rideau qui nous montre un monde bien impitoyable et dont les actions, même si elles sont pleines de bonnes volontés, ne sont pas forcément mises en valeur...
Intéressant, sincère et argumenté, ce livre dépeint un homme dont la focntion parait trop grande pour lui ou qui n'a pas su mettre en valeur son action dans ce monde si communicant.
Commenter  J’apprécie          254
Il avait démarré avec 3% d'intention de vote. le capitaine de pédalo, Flamby, Guimauve le conquérant, va t-en guerre, le fonctionnaire qui a réussi le concours de président, fraise des bois, pépère, culbuto s'épanche...Mais on confirme vite qu'il y a comme une erreur de casting.

Plus que les petites phrases soulignées par la presse, c'est le continuum d'un fonctionnement politique godillant que l'on revisite, classé en chapitres.
On ressort de la lecture en confirmant que les préoccupations présidentielles sont loin de l'intérêt général. Dommage d'ailleurs que le livre s'arrête avant l'annonce de sa non-candidature.
Ce livre est un suicide politique. C'est le film du quinquennat et nous reprenons, de l'intérieur, cette histoire avec un petit "h" que nous avons vécue de l'extérieur. Les chutes de chapitres de Gérard Davet et Fabrice Lhomme sont critiques envers «la langue de caoutchouc».
Plus que les mots qu'il n'aurait pas dû dire, ce sont les analyses incisives des journalistes qui font mouche, comme cette anaphore ( voir citation ) qui exprime ce que l'on ressent mais que l'on ne pouvait pas mettre en mots à propos de celui qui, atone, ne restera pas dans L Histoire.
Commenter  J’apprécie          256
Beaucoup de bruit pour pas grand chose, comme souvent avec ce type de livre, un titre accrocheur, une personnalité publique et une bonne pub. Tout n'est pas à jeter, il y a quelques révélations croustillantes mais si vous ne voulez pas chercher dans les plus de 600 pages, attendez que la presse les trouvent pour vous.
Beaucoup de propos sont contradictoires entre ce que le président François Hollande dit au début de son mandat, et plus tard. Comme le fait de ne pas garder un haut fonctionnaire car il a enfreint la loi, alors que lui même avoue faire la même chose quelques années plus tard.

Le gros point fort c'est que je n'ai pas remarqué de gros parti pris, les auteurs ont simplement cités le président actuel et expliqués le contexte des mots. Enfin, ils ont suivi un président de gauche donc forcément la droite n'est que peu présente ou alors pas sous son meilleur jour. Encore une fois, si vous vous attendez à des grosses révélations de ce côté, vous risquez d'attendre longtemps. Pas de quoi créer un scandale, rien qu'on ne sache déjà grâce à un autre ouvrage du même style ou à la presse. Ce témoignage fait, au moins, office de piqûre de rappel pour les événements du mandat.

La construction est par thème et non pas par ordre chronologique, ce qui m'as un peu perdu au début, je n'avais pas souvenir de l'affaire Batho par exemple puis finalement, ça passe vite. J'ai apprécié que ça ne touche pas trop à sa vie privée, je souhaitais vraiment lire un lire politique pas un magazine people. Je me penche sérieusement sur la politique pour la prochaine élection présidentielle, ma première en tant que votant, et ce livre me fait réaliser que j'étais encore loin de tout savoir sur le métier de président.
Commenter  J’apprécie          180
Un titre racoleur, des médias qui s'empressent d'en extraire les morceaux les plus croustillants… Voilà les principales raisons qui m'ont donné envie de lire ce document. Ne fallait-il pas rétablir quelques vérités ? Etait-il utile d'apporter une critique de nature à corriger ce qui semble être excessif ? Il me fallait voir de plus près…
On a reproché à M. Hollande d'avoir passé beaucoup trop de temps avec les journalistes concernés. En fait, le livre est tiré de 61 entretiens d'une moyenne d'une heure et demie chacun répartis sur plus de quatre années, ce qui ne fait qu'un entretien par mois. C'est bien moins que ce que soutiennent les détracteurs.
Les médias et les adversaires politiques ont sortis quelques phrases pour les lâcher à la vindicte populaire et essayer de démontrer la totale inconscience du Président, voire son cynisme, sa naïveté ou son manque de discernement.
Après lecture, je puis assurer qu'il n'en est rien. Ainsi que je l'imaginais, les phrases sont sorties de leur contexte et ne disent aucune vérité tangible. Ainsi, les jugements de valeur négatifs qu'aurait formulés M. Hollande à l'égard des siens (les socialistes) sont pure invention. S'il les brocarde un peu, c'est avec gentillesse et humour, guère plus. Il se montre plutôt réaliste et proche de la vérité dans ses analyses et ses constats. En revanche, il se montre sévère, à juste titre, avec son ennemi juré, M. Sarkozy et ce n'est que justice quand on voit comment celui-ci traite le Président de la République !
Le fil conducteur des auteurs est de montrer un président difficile à cerner. Ils le voient fin calculateur, homme du consensus, capable de discerner le bon chemin et d'entreprendre de belles choses avec une réelle fermeté. Mais ils le perçoivent paradoxalement aussi hésitant, fragile à certains égards, incapable de mettre en oeuvre une action de conviction et de rassemblement.
Ils nous révèlent en fait un être complexe, foncièrement honnête, un homme de gauche qui a de vraies convictions et un vrai projet de société mais décrié, bien à tort, dès le début de son mandat. Vilipendé par la droite dure majoritaire dans le pays, déclaré élu principalement pour chasser M. Sarkozy, trahi par les siens, ceux qu'on va appeler les frondeurs, alors que ce ne sont, de mon point de vue, que de lâches et tacticiens démissionnaires…
Un autre phénomène ne lasse pas de troubler les auteurs. C'est la difficulté perpétuelle de M. Hollande à mettre en évidence les réussites nombreuses de son quinquennat (loi sur la transparence des élus, réduction de la dette, mariage pour tous, améliorations dans l'Education nationale, CICE, politique étrangère et tant d'autres). Il semble inaudible… L'explication est pourtant simple. Il est matraqué de toutes parts, discrédité à droite et à gauche dans des proportions telles que son message est brouillé et sa légitimité continuellement remise en cause. Jamais un Président n'a été autant attaqué que lui. C'est inédit sous la 5ème république et constant depuis que le perfide Mélenchon l'a traité de Capitaine de pédalo en début de mandat, sonnant l'hallali … Depuis, toute bonne nouvelle est critiquée, diminuée, vidée de son sens, entrainant la cote de popularité du président dans une chute vertigineuse.
Pourtant, notre président a le mérite de tenir bon, avec dignité et compassion lors des attentats meurtriers de 2015 et 2016. Tout le monde loue la haute tenue présidentielle, sans que pour autant il en récolte les fruits en terme de légitimité. Les attaques sur sa vie privée, la multitude de détracteurs qui s'acharnent sur sa personne, souvent avec un mauvais esprit manifeste, tout concourt à sa perte. Mais il reste digne, à la hauteur de sa noble mission. Il ira jusqu'au bout, fidèle à sa grande et belle mission.
Le livre met également en évidence l'extrême solitude de cet homme perdu dans les couloirs du palais de l'Elysée, fantomatique et pourtant si lucide… Cette solitude n'est peut-être pas voulue, mais elle s'impose à lui. Son parcours et son poste le rendent solitaire. C'est à lui que revient la lourde responsabilité de décider de l'effacement d'un terroriste dangereux (n'allez pas croire ce que l'on vus a répété dans les médias, nul secret d'état n'est dévoilé à cette occasion), ou de nommer des personnes de confiance aux postes clés, ou encore rédiger les discours importants dans lesquels chaque mot est pesé. Effectivement, notre président assume pleinement son rôle et n'hésite pas à prendre des risques. On est loin de l'être mou et incompétent qu'on voudrait nous servir dans l'opposition déchaînée et les médias complaisants amateurs de sensationnel.
Cet imposant document vaudra pour la postérité. Il a le mérite de rétablir bon nombre d'erreurs et falsifications savamment entretenues dans les discours ambiants et donne à M. Hollande une dimension qu'il mérite.
Il est agréable à lire, bien construit et rassurant pour ceux comme moi, ont une haute estime de notre président et de sa fonction. Il paraitra peut-être indigeste et dévoyé aux autres. L'entourage de M. Sarkozy a d'ailleurs oeuvré en coulisses pour tenter de faire croire que les deux journalistes Davet et Lhomme affublés de M. Hollande manigançaient de sordides plans dévastateurs pour leur ennemi commun, dans une espèce de cabinet noir entièrement voué à sa perte !

Michelangelo 2017

Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
Commenter  J’apprécie          102
LE ROI NU

Solitude et vérité

On l'a tant brocardé, taillé en pièces, trahi et donné pour mort, la meute des prétendants se partageant déjà sa dépouille, qu'il lui fallait apparaître dans toute sa crudité et sa solitude, pour révéler sa part de vérité, son credo, ses réussites et ses erreurs, en une plongée vertigineuse à l'intérieur du monarque et de l'homme, soliloque d'un Roi Lear et plaidoyer pro domo.

Même au risque du tohu-bohu inéluctable de ce scoop médiatique, dommages collatéraux, criailleries et bouderies des barons de la Hollandie ? On ne retiendra de cette saisissante chronique que les bonnes phrases, les portraits un peu vachards mais lucides du personnel politique ? Il le sait. Il n'en a cure, pour lui de l'écume et des postures, il connaît trop la foire aux vanités et les féroces ambitions politiciennes, les trahisons des plus proches, la politique comme scène de crimes de petits meurtres entre amis. Et ennemis.

Mais se livrer ainsi sans entraves, impudique, en roi nu ? Et l'Olympe, inaccessible empyrée d'un président " marmoréen ", l'Elysée façon Charles de Gaulle ? Une fiction. La transparence et " la politique sans filtre " ont laminé cette fausse prétention. La traque journalistique, les secrets et transgressions de la vie privée par les réseaux et la presse ravalent désormais, à son corps défendant, le Prince-président français à une certaine niveau de banalité, " de simplicité ".

Qui est-il vraiment ? La victime d'un " délit de faciès politique " par son allure de petit notable de province, lou ravi - l'innocent de la crèche - au milieu d'une horde de loups, un velléitaire à l'image affadi incapable de trancher, à la ligne politique ondoyante ?

Paradoxalement un atout. On le sous-estime. Mais la réalité est toute autre. Malgré parfois une certaine ingénuité, une mansuétude préjudiciable, Francois Hollande, froid pragmatique, ambitieux sûr " de son étoile " est tout à sa passion de la res publica. " Il est très urbain et sympa mais c'est un dur, une lame. Une carapace douce et un noyau de métal. Il peut être très dur, ce salopard, sans te le dire franchement! " témoigne Stéphane le Foll, l'un de ses cinq très rares et indéfectibles amis.

" Un président ne devrait pas dire ça ", Les secrets du quinquennat replace ainsi Hollande au centre du jeu des élections présidentielles. Les sondages le donnent perdant, et alors ? Contrairement à ses prédécesseurs, il devrait se soustraire à son devoir et rendre les armes sans combattre ? Pour le ruminer sa vie durant ?
D'autant qu'il a respiré " l'ivresse des sommets. Une drogue suprême " et que " c'est quand il a la tête sous l'eau qu'il se montre le plus fort " (Le Foll). Porté à la tête du pays à un moment-clé difficile et complexe de l'Histoire du monde, il assume son bilan " J'aurai goûté cinq ans de pouvoir relativement absolu [...] J'aurai imposé à mon camp qui n'y aurait peut-être pas consenti naturellement des politiques que je considère comme justes ".


UNE CHRONIQUE ET UN MANIFESTE
Un acte de candidature. Francois Hollande ne peut s'esquiver, " c'est peu dire qu'il piaffe " d'affronter la meute des prétendants et les déçus du socialisme. " Il rêve de s'affranchir de cette réserve présidentielle qui le bride ", d'introniser un nouveau rassemblement " le parti du progrès en lieu et place d'un PS à bout de souffle, sclérosé ". Il sera donc candidat. Mission impossible, opération suicide ? Une forme de courage et de panache, avec lucidité : il pourra/va perdre, fors l'honneur.
Par le truchement des deux journalistes, confidents privilégiés (instrumentalisés ?) de ses confessions, Francois Hollande a dicté ses mémoires, la chronique des travaux et des jours de son " ahurissant " quinquennat, pour " mettre en valeur son bilan ", son action et révéler ses talents de stratège à l'intérieur et à l'international, en prenant le peuple de France à témoin de sa vérité.
En bref, un manifeste politique, un acte de foi à double détente : pour sa candidature, pour la postérité et pour laisser une trace dans L Histoire.
Commenter  J’apprécie          20

Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Il se gausse ouvertement de cette surenchère libérale, comme s’il rodait, déjà, son argumentaire de campagne. « Juppé dit qu’il faut supprimer 300 000 postes de fonctionnaires dans le quinquennat, ce qui est plus que les départs à la retraite. Donc aucun départ à la retraite ne serait remplacé, mais d’autres devraient être provoqués ! » Il ajoute, ironique : « Sauf pour l’Éducation nationale, sauf pour l’armée, sauf pour la police, sauf pour la justice…
Qu’est-ce qu’il reste comme fonctionnaires ? Les diplomates et les préfets, peut-être ?! »

« Demandez aux Français s’ils approuvent les mesures que l’on prend, individuellement. Vous approuvez qu’on augmente les fonctionnaires ? Qu’on crée des postes dans l’Éducation nationale ? Qu’on élargisse les mutuelles ? Qu’on parte à la retraite à 60 ans pour les métiers pénibles ? Ils y sont tous favorables. Mais ils sont défavorables à la politique que l’on mène ! Et quand vous interrogez les Français : “Êtes-vous favorables à la retraite à 65 ans ? Non. À la fin des 35 heures ? Non. À la suppression de l’impôt sur la fortune ? Non. À la hausse de la TVA ? Non.” Mais si on leur dit : “Vous aimez Juppé ?” ils vont dire : “Oui, oui.”
Comment peut-on arriver à ce paradoxe ? Parce qu’on n’est pas en campagne. Le jour où on se dit : “Ce programme-là peut passer”, on change de jugement. »
Commenter  J’apprécie          110
Lui, président, n'est pas parvenu à enrayer la propagation du poison islamiste, lui, président n'a pas pu contrôler les soubresauts d'une économie mondialisée, lui, président, n'a pas été en mesure d'échapper au voyeurisme ambiant, lui, président n'a pas été capable d'éviter les crises gouvernementales et les déchirures de la gauche, lui, président n'aura pas su se faire aimer, lui, président, n'aura jamais transporté les Français...Lui, président, n'aura jamais suscité la considération, la crainte, le respect tout simplement.
Commenter  J’apprécie          142
En jouant, avec les médias, la carte de la transparence, Hollande n'a fait que souligner la sienne.
Quoi qu'il fasse, quoi qu'il dise, François Hollande "n'imprime pas", comme un fantôme dont ne ne pourrait fixer l'image.
Le président inaudible est aussi l'homme invisible.
Commenter  J’apprécie          170
En véritable connaisseur, il observe avec une précision clinique l’évolution du profil technique mais aussi psychologique des joueurs, lui qui est passé de Kopa à Zidane, sans compter les Platini, Giresse, Deschamps, Desailly, Thuram, puis maintenant les Nasri, Pogba et cie.

La nouvelle génération ne l’emballe pas, donc. Il les écoute, lit leurs déclarations. Consterné, parfois. « On voit bien que sur l’expression il y a eu une perte de niveau », remarque-t-il. En cause selon lui, un grave déficit d’éducation. « Ils sont passés de gosses mal éduqués à vedettes richissimes, sans préparation, ils ne sont pas préparés psychologiquement à savoir ce qu’est le bien, le mal. »
...
En fait, Hollande aimerait impulser une refonte des mœurs footballistiques. « La Fédération, ce n’est pas tellement des entraînements qu’elle devrait organiser, ce sont des formations. C’est de la musculation du cerveau », lâche-t-il.
Commenter  J’apprécie          40
L'identité, poursuit Hollande, si c'est pour parler de la France, de son destin, de son histoire, de son idéal, oui. Mais qu'a voulu faire Sarkozy? C'est que l'identité soit définie par rapport à une menace, fondée sur la crainte de la disparition ou de la dislocation. Sa définition de l'identité, c'est: on est français, donc par définition on devrait être moins musulmans, moins étrangers, moins immigrés... Or on est français même si on est musulman, même si on est étranger par ses parents... Qu'est-ce que ça veut dire être français? Partager des valeurs, un destin... Mais quand on commence à mettre l'identité comme une conception négative..."
Commenter  J’apprécie          20

Videos de Gérard Davet (27) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Gérard Davet
Pendent une vingtaine d'années, Claude Palomero a géré les finances de la famille royale de Monaco. le “Fouché monégasque” a été démis de ses fonctions au Palais en août dernier. C'est en partant de ses cahiers que les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme ont mené une enquête, publiée en quatre épisodes dans le Monde en janvier 2024, qui dévoile l'envers du décor du micro-Etat.
Visuel de la vignette : Monaco / Sylvain Sonnet / Christian Dauphin / Getty
#secret #finance #monaco --------------------------------------------- Découvrez tous les invités des Matins dans "France Culture va plus loin" https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDroMCMte_GTmH-UaRvUg6aXj ou sur le site https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/l-invite-e-des-matins
Suivez France Culture sur : Facebook : https://fr-fr.facebook.com/franceculture Twitter : https://twitter.com/franceculture Instagram : https://www.instagram.com/franceculture TikTok : https://www.tiktok.com/@franceculture Twitch : https://www.twitch.tv/franceculture
+ Lire la suite
autres livres classés : politiqueVoir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus


Lecteurs (464) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1686 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..