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Un road trip au travers de l'Europe du XVIIiem siècle de deux compagnons d'infortune, chercheurs de vérités tous deux à leur manière. Philosophie et aventure s'y marient à merveille, servies par une écriture magistrale. Prenez votre bâton de pèlerin et embarquez donc dans cette quête de l'ineffable !

Un roman méditatif servit par des personnages hauts en couleurs et une écriture magnifique. Un pèlerinage intérieur sur la voix de la vérité et de la croyance qui est propre à chacun...
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Paul quitte Paris pour retrouver Larpenteur, un insolent qui rédige des pamphlets allant à l'encontre de ce qui est considéré comme étant la norme, comme étant le bien : la religion.

C'est plein de certitudes que Paul prend la route vers l'Allemagne où il compte retrouver le parjure. Sa mission, le ramener à Paris et le présenter au directeur de la Sorbonne pour qu'il s'excuse et s'explique.

Aimant les femmes et l'alcool, Larpenteur s'est constitué une cour qui le suit dans ses folies nocturnes, mais quand il sera dénoncé et pourchassé, il n'y a que Paul pour l'aider à s'enfuir. Commence alors la marche de deux hommes que tout oppose, une aventure à travers toute la France, au temps où voyager était une activité à haut risque. Faites de rencontres et d'adieux, d'amour et de peur, de croyance et de mensonges, ce voyage sera pour l'un comme pour l'autre une étape importante pour trouver ce en quoi ils croient vraiment.

C'est quand les certitudes s'ébranlent que commence le chemin des justes même s'il faut mentir pour surmonter les obstacles érigés par des siècles d'obéissance aveugle.

Un roman qui débute sur les chapeaux de roues avant d'avancer à pas d'homme sur les chemins de France. Une réflexion sur la religion, les croyances, la crédulité qui utilisée à bon escient permettra à nos deux compères de survivre.

Un roman à lire, car comme souvent dans les publications Aux Forges de Vulcain, le texte est primordial, le vocabulaire recherché, l'histoire source d'érudition.

Pour un premier roman, Alexis David-Marie a placé la barre très haut. « Promethée vagabond », est un roman au style impeccable et au vocabulaire s'inscrivant merveilleusement bien dans cette période post moyenâgeuse où les sciences modernes voient le jour dans un monde où la religion est source de conflits majeurs en Europe centrale.

Road trip en guenilles, « Prométhée vagabond » est un roman qui se penche sur la recherche de la vérité. La vraie question est : faut-il fermer les yeux sur les mensonges et s'arranger avec la vérité ou crier haut et fort à la supercherie au risque d'allumer un incendie ?

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D'abord un grand merci à Babelio et aux éditions " aux forges de Vulcain" (tout un programme) pour ce joli livre. De plus je veux m'excuser pour le retard, mais, comme pour beaucoup, les dernières semaines n'ont pas été simples.
"Prométhée vagabond" est un conte philosophique: en juin 1674, Paul, un étudiant en théologie à la Sorbonne, est chargé d'une mission délicate par le recteur de l'université.
Il doit ramener à Paris, par tous les moyens, un blasphémateur nommé Larpenteur. Ce dernier a été reperé à Weimar, Paul doit donc s'y rendre. Le lecteur le suit dans son périple.
Dès le début, rien ne fonctionne comme prévu: sa lettre de recommandation lui est volée et il se retrouve bientôt éloigné de tout circuit officiel; le véritable voyage peut commencer.
Et on va suivre Paul dans de multiples aventures.
J'adore les bonnes histoires et je dois dire que j'ai été servie: on rencontre plein de personnages pittoresques dont le fameux Larpenteur que Paul a réussi à persuader de le suivre vers Paris. Les deux hommes vont peu à peu s'apprivoiser et vivre ensemble des aventures picaresques.
Dans l'ensemble j'ai bien aimé ce roman, j'ai immédiatement pensé au "Candide" de Voltaire, lu il y a bien des années: à chaque étape du voyage, on rencontre de nouveaux compagnons de Paul et Larpenteur.
Comme Candide et ses amis, ils passent beaucoup d'épreuves et en tirent un enseignement.
Et à la fin chacun va cultiver son jardin...
C'est un livre aisé à lire, quelquefois drôle et qui donne à réfléchir, notamment sur le rôle de la religion dans la société et aussi sur le libre-arbitre.
En ce moment ça peut servir.
Bref, ce vagabond de Prométhée m'a été d'une belle aide pour passer ces dernières semaine et je l'en remercie.


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Paul, étudiant en théologie à la Sorbonne, à l"époque du roi soleil, Louis XIV, part, envoyé par son recteur à la recherche de Larpenteur, théologien, devenu auteur de pamphlets impies.
Au fur et à mesure de son périple, en France et dans le Saint Empire germaniqueil va, d'abord seul sur les routes, commencer à se poser des questions, sur sa foi, sur le bien-fondé des guerres menées au nom du roi. car les exactions des soldats sont nombreuses et pour lui, impardonnables.

Lorsqu’il retrouva Larpenteur, un homme n'ayant plus la foi en un seul Dieu, mais plutôt tournait vers les astres, ses questionnements et ses doutes deviendront encore plus forts. Contre toute attente, sur le chemin du retour vers Paris, une amitié va naitre entre ses deux hommes que tout oppose pourtant au début. Leur mésaventures sur des routes enneigées, leurs rencontre avec des villageois hostiles, avec des bohémiens, avec un curé compatissant; tout cela va les rapprocher. Paul, qui est grand et costaux, devient le protecteur, voire le sauveur de Larpenteur, homme chétif et couard .

Avec ce premier livre Alexis David-Marie nous offre lune réflexion pertinente sur la foi, les religions, très prégnantes au temps du roi soleil.
Par les dialogues de ces deux hommes si différents, on découvre qu'il est possible de choisir un autre chemin.Celui de la science, de la conscience de soi et de ce qui nous entoure et que l'on peut ouvrir son esprit à d'autres interprétations du monde que celui , plutôt restrictif des religions.

Un récit intéressant, que j'ai vraiment apprécié. Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une masse critique.
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Voyage & philosophie.

Dès le début du roman, on affaire à un héros qui vient tout juste de quitter son univers cloîtré et qui commence à découvrir le monde en même temps que son lecteur. D'abord très concentré sur l'objectif que lui ont attribué ses professeurs, presque renfermé sur lui-même, au point de se lancer à corps perdu dans un pays en guerre sans avoir la moindre conscience des dangers encourus, persuadé de l'évidence de sa mission. Cependant, au fil de ses rencontres, le personnage évolue très vite, il devient moins naïf, prend conscience du monde qui l'entoure et apprend de son expérience. L'aventure de Paul ressemble fort à un voyage initiatique, tels que l'on peut en rencontrer dans les Contes du Graal. Paul est comme le Perceval du XVIIe siècle, quittant son cocon sécurisant pour se confronter à la guerre et ainsi délaisser une trop grande naïveté en faveur d'une meilleure perception du monde et de ce qui le compose.

Grâce à ce voyage, Paul rencontre de nouvelles personnes, loin des préoccupations de l'Université et partage de nouveaux points de vue qui lui font presque remettre en cause tout ce pour quoi il voyage. Ces rencontres permettent à Paul de confronter différents points de vue après avoir été éduqué selon les préceptes univoques de l'Université. Cela l'aide à se forger sa propre opinion, à ne plus seulement absorber et restituer tel quel ce qu'on lui apprend mais à écouter, à réfléchir et à récréer un nouveau discours, le sien propre. Ce voyage physique devient également voyage philosophique : la complexité du monde en guerre que l'on découvre à travers ce récit reflète aussi la complexité de l'être, cheminement physique et psychique se mêlant pour aboutir à une réflexion nouvelle, enrichie des diverses expériences de la route.
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Les Prométhées n'engagent que ceux qui les croient

Fin XVII° siècle. Paul, séminariste, est envoyé en mission sous forme de pénitence : ramener au bercail du Séminaire, le Sieur Larpenteur, en fuite après s'être rebellé contre le recteur et avoir proféré des propos blasphématoires à caractère hautement libertins.

Que fuit Paul ? On ne le saura que sur le tard mais cela n'a que peut d'importance. L'essentiel du récit repose dans les dialogues entre Paul et Larpenteur. A travers leurs échanges et le voyage initiatique qu'ils réalisent ensemble, Paul et Larpenteur déteignent l'un sur l'autre, sans pour autant parvenir à une synthèse. On assiste un peu, entre les deux, à un combat des modernes contre les anciens. On sent qu'on est sur une brèche philosophique et morale et nos deux protagonistes s'y engouffrent avec toute la vaillance de leur jeunesse, symbole de territoires psychologiques encore vierges et malléables.

Le récit foisonne de réflexions plus modernes les unes que les autres sur la religion, ses rapports avec le pouvoir et Alexis David se livre à une véritable déconstruction de l'édifice religieux, s'attaquant à la chrétienté comme il aurait pu le faire avec n'importe quelle religion. Larpenteur tente au long du récit de jeter les bases d'une nouvelle « religion », plus appréhendable pour le peuple, fondée sur une nouvelle trinité : Amour, Quiétude et Reconnaissance. Mais par là même, il ne fait que reproduire un schéma déjà maintes fois éprouvé et ne propose rien de nouveau sur le fond, uniquement sur la forme. La vanité de sa recherche lui apparaîtra à la fin de son errance sous les traits séduisants d'une jeune femme qui le « rangera » des affaires… Aussi vaine sa recherche est-elle, il n'en ressort pas moins une morale que l'on pourrait résumer en ces termes : l'important n'est pas tant le message que le messager qui peut en dévoyer le sens. Larpenteur en veut pour preuve que la religion elle-même n'et qu'un outil de propagande et de manipulation des masses.

Si Dieu (surtout de ses soi-disants représentants) a failli dans sa mission humaniste, l'homme n'a pas non plus l'heur de satisfaire Alexis David à travers ses personnages qui doute de sa supériorité par rapport aux autres espèces animales. Au contraire, l'intelligence humaine est le meilleur et le plus fertile terreau de la crédulité.

Le récit d'Alexis David, avouons-le, met une petite centaine de page (un quart du livre) à prendre la mesure de son propos et à véritable développer ses thèses ou théories. Basant son argumentation sur la dialectique et l'échange entre Paul et Larpenteur, le lecteur que je suis, qui y trouvait justement les meilleurs passages du livre, regrette qu'Alexis David n'en ait pas mis plus dans son roman par ailleurs passionnant et intéressant, nous interrogeant sur ce qui a remplacé la religion de nos jours dans l'exercice de propagande qui était la sienne. A-t-elle seulement été remplacée ?

« - Je t'accord cependant que la religion est universelle sur un point.
- Enfin, soupira Paul. Lequel ?
- Celui de l‘intérêt des Etats qui nous font croire en cas fables pour mieux s'asservir les peuples, qu'ils soient indiens, turcs français ou navarrins. »

« Je ne crois pas que l'intelligence de notre espèce fonde notre signité. »

« Car, dans tous les cas, il ne s'agit que de broder des doctrines et des usages pour se défendre de la peur, de l'angoisse et de la souffrance… Leurs superstitions et ta religion proviennent d'une même nécessité. »

« - Ce besoin provient de l'angoisse profonde qui est la nôtre.
- L'angoisse du Jugement ?
- Mais non ! Je te parle de l'angoisse face à l'incertitude, face à l'ignorance de ce que nous réservents les lendemains.
(…)
- Toutes ces idoles que l'on dresse ou ces valeurs que l'on vénère, tout cela n'est que le symptôme de nos peurs et de notre condition misérable. »

« L'homme était couard mais ambitieux : il avait toute la terre à convaincre de la vanité de la foi. »

« Les heures passées à marcher lui offraient tout loisir pour réfléchir à cette étrange façon qu'ont les hommes de faire mentir leur Dieu. »

« - On accorde trop à la volonté de Dieu.
- Elle est souvent l'asile à l'ignorance, confirma Larpenteur.
- Donc, nous nous servons de Dieu bien plus qu'Il ne nous sert.
- C'est à cela même qu'il doit son existence...
- Pourquoi ne peut-on guère se résoudre au Hasard ?
- Il nous jetterait dans le vide, même s'il est bien la substance de Tout… »

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Nul ne sort indemne d'un voyage initiatique, Paul et Jean-Baptiste Larpenteur, nos deux protagonistes en feront l'expérience.

Sur le chemin de la rédemption Paul devra emporter Jean-Baptiste Larpenteur. Les noms sont sciemment choisis ils sont chargés de sens, je vous laisse le découvrir au cours de votre lecture.

Ce roman nous fait faire un bon dans le temps. Paul a une mission mais qu'a-t-il fait pour mériter cette mission qui peut lui coûter la vie ? Paul ingénu, la bourse pleine, croit atteindre rapidement sont but convaincre Larpenteur et retourner avec lui à Paris sans encombre.

Le voyage Paris-Weimar, nous permet de découvrir la France en guerre, mort, destructions, mise à sac et cruautés, naïf Paul découvre cela mais avec le sentiment que la barbarie ne touche que les troupes françaises.

Weimar- Lübeck permet de nous montrer les liaisons commerciales en Europe à cette époque là.

Je ne vais pas détailler tout le voyage et vous dévoiler le chemin de croix qu'ils vont suivre !

Empreint de mythologie, Paul et Jean-Baptiste élèves à la Sorbonne voient ce qui se déroule devant leurs yeux comme une intervention mythologique. Cela enrichie le texte, ce sont des petites touches comme celles-ci qui réjouissent le lecteur.

Mais petit à petit, mésaventure après aventure nos deux compères vont changer et évoluer.

A travers leur voyage nous avons une suite de tableaux qui nous éclairent sur les us et coutumes de l'époque, qu'il s'agisse du monde des tavernes, des bordels ou des cayennes (maison de compagnonnage), en passant par les maisons de lettrés ou négociants, presbytères et humbles masures, nous avons une vue panoramique de l'époque.

Les voyages forment la jeunesse en voiture en en bateau ou à pied nos deux hommes vont se découvrir l'un l'autre.

Dans un premier temps, c'est Paul qui en sait plus sur Larpenteur, mais au fur et à mesure Jean-Baptiste va prendre conscience que Paul est plus qu'un jeune homme à la solde du Recteur de la Sorbonne.

Ce roman historique développe des idées qui intéressaient certains penseurs de l'époque mais dont aujourd'hui encore l'on débat : athéisme, existence de Dieu, puissance des astres, libre arbitre et autres sujets qui en découlent.

L'histoire débute en juin 1674, la forme du texte joue avec les codes de l'époque, par exemple les chapitres portent un entête qui résume une facette de ce qu'il va advenir des protagonistes (petit détail dont je raffole). le langage sans être ampoulé est assez soutenu pour nous imprégner de l'époque, cette langue est très agréable à l'oreille, même les vulgarités dont Larpenteur fait usage pour choquer Paul font « époque ».

Ce n'est pas la destination finale d'un voyage qui compte mais le chemin parcouru, les aventures vécues et les rencontres.

Sur leur chemins nos deux hommes vont en rencontrer des vagabonds, des colporteurs, des pèlerins, une bande organisé d'enfants, Egyptiens (bohémiens)… l'occasion de nous dresser un tableau de la France des routes. La peur de l'étranger (celui qui vient du village d'à côté est considéré comme étranger s'il n'est connu de personne), les superstitions ne vont pas améliorer l'ordinaire de nos étudiants sans le sous.

L'être en devenir, l'homme n'est pas figé dans son évolution, en allant de part le monde l'Homme va se découvrir.

Et les femmes me direz-vous ? Trop savantes elles sont cachées et rejetée. Nonnes ou catins, elles doivent se mettre sous la protection d'un Homme ou d'un Dieu. Une époque assez peu enviable pour la gente féminine.

La dernière « rencontre » marque un changement dans la narration et nous allons avoir une fin digne de toute cette histoire.

Tous les questionnements à la manière des dialogues philosophiques développent plusieurs thèses avec des contradicteurs sans être ennuyeux, donnent l'occasion au lecteur de s'interroger.

J'ai beaucoup aimé le côté picaresque qui a réveillé de vieux souvenirs de littérature. Cette lecture est un vrai régal.
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L'histoire commence à Paris en 1674 au règne de Louis XIV.
Paul est un étudiant pour devenir prêtre, c'est un homme de vingt cinq ans au visage dur et une carrure imposante aux yeux gris.
Il est à la recherche de Larpenteur Jean-batiste théologien brillant aimant les femmes et l'alcool qui se trouve à Weimar à Saint-Empire.

A travers son périple pour attrapé le théologien Paul était loin de se douter que justement cet homme aller devenir son ami et lui changer la vie.

Quand il trouve enfin Jean-Batiste il va lui raconter un bobard pour pouvoir rester auprès de lui et le ramener à Paris auprès du recteur. Mais à un moment donner il va tout lui raconter et Larpenteur lui confirme qu'il va venir avec lui.

A partir de ce moment là, une longue marche les attend. Ils vont faire des rencontre étonnantes et certaines attachantes.

A la fin les deux bacheliers vont se quitter et faire leurs vies, Jean-Batiste à trouvé l'amour et souhaite vivre avec sa femme en Hollande. Quand à Paul il va à Paris pour écrire comme Larpenteur peut être.

L'histoire est sympa, bien trouvée, elle se suie l'auteur ne s'est pas perdu quand au retour en arrière.

Les personnages sont attachants. Paul l'homme croyant d'église. Larpenteur le théologien croyant aux astres.
Ces deux hommes dont tous les opposants vont finir par être amis et ne plus se quitter enfin pas tout à fait.
Il y a le jeune Daniel qu'ils ont pris sous leur ailes mais qui meurt peu de temps après. Ce garçon m'as attendri par son innocence d'enfants. Il a été abandonné par sa mère pour devenir none. Il demande juste de ne pas être mis de côté et qu'on l'accepte. Les deux hommes aussi l'ont bien aimé, ils ont été triste de le voir partir ce petit gars.
Il y a aussi le personnage de madame Rassener, vieille dame qui a tout perdue, sa maison et son village pillé et brûlé par les soudards. Elle s'est liée d'amitié avec Paul grâce à lui, elle retrouve son frère et sa nièce.
On fait aussi la connaissance de Popelier et Madeleine très gentils et patients avec nos deux voyageurs.

Il y a un truc qui m'a gêné dans ma lecture c'est le langage de l'époque.
Oui je sais c'est comme cela qu'ils parlaient à l'époque mais j'en avais marre de chercher les mots toutes les deux phrases.
L'avantage est que j'ai appris des nouveaux mots lol mais je ne sais pas si je vais tous les réutilisés un jour.
Je remercie quand même babelio et les éditions Aux forges de Vulcains pour ce roman même si ce n'ai pas mon genre de lecture.
J'ai quand même bien aimé suivre les aventures de Paul et Larpenteur si je met de côté le langage de l'époque.

Si vous aimez l'écriture ancienne je vous le conseille.
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