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Citations sur Troupe 52 (71)

C'est la nature de tout être vivant. On s'accroche à la vie jusqu'à ce qu'elle nous soit arrachée. Même s'il en reste que des lambeaux, on s'accroche tout de même.
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Ai-je tort de croire qu’il s’agit de l’endroit idéal pour un brin de diablerie?
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Il songea à cette affiche dans la classe de sciences sur laquelle on voyait Albert Einstein, les cheveux ébouriffés et la langue sortie, au-dessus de cette citation : "La folie, c'est de faire toujours la même chose et de s'attendre à un résultat différent".
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La seule manière de connaître réellement quelqu'un, c'est de le voir en situation de crise. Les gens s'infligent les pires sévices, Newton. Tu ne peux pas imaginer. Les amitiés, la famille, l'amour et la fraternité, tu peux balancer tout ça par la fenêtre…
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Les adultes étaient fichus. Complètement fichus. Ils faisaient tout ce qu’ils interdisaient aux enfants : ils trichaient, volaient, mentaient, gardaient des rancunes et refusaient de tendre l’autre joue, se battaient comme des rats d’égout et, pire que tout, ne reconnaissaient pas leurs torts. Ils se renvoyaient la balle, refusaient toute responsabilité. C’était toujours la faute de quelqu’un d’autre.
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La peur gagna le cœur de Kent. Il aurait voulu ne pas être aussi terrifié; son père lui avait appris que la peur est une émotion inutile. « La peur n’est que de la faiblesse qui quitte le cœur », avait-il dit à Kent à maintes reprises.

(Alto, p.218)
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Ce que j’essaie de dire, c’est que plus on aime une chose, plus on l’abîme parfois. Pas volontairement, on s’entend. On finit par blesser ceux qu’on aime simplement parce qu’on essaie trop.
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Clive répétait souvent ce vieux dicton: « On n'est jamais trop riche ni trop mince. » Il disait : « Si j'aide les riches à devenir minces, ils m'aideront à devenir riche. »
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- "Les adultes étaient tourmentés par d'autres choses : leur travail, leur hypothèque, leurs fréquentations, la peur de mourir seul et mal aimé. Il s'agissait de pâles craintes à côté de celles d'un enfant : des clowns grimaçants sous le lit, des monstres gluants tapis dans l'ombre du sous-sol et de terrifiantes horreurs sans visage venues des confins de l'espace. Il n'existe aucune méthode en douze étapes ni de groupe d'entraide pour surmonter ces peurs.
Ou peut-être qu'il y a une solution : il suffit de grandir.
Et lorsqu'on quitte l'enfance, on renonce à la souplesse d'esprit requise pour croire en de telles choses, mais aussi à la capacité de composer avec elles. Lorsque les adultes se trouvent dans une situation qui exige une telle souplesse... eh bien, ils n'arrivent pas à puiser cette force en eux. Ils s'effondrent ; commence alors le cortège de la folie, de la panique, des crises cardiaques et des anévrismes provoqués par la peur. Pourquoi ? Ils n'arrivent tout simplement pas à croire ce qui leur arrive.
Voilà pourquoi les enfants sont si différents : ils croient que tout peut arriver et s'y préparent."
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— Ce que j'essaie de dire, c'est que plus on aime une chose, plus on l'abîme parfois. Pas volontairement, on s'entend. On finit par blesser ceux qu'on aime simplement parce qu'on essaie trop. C'est ce qui arrive avec ma mère des fois. Elle veut tellement que je sois en sécurité qu'elle finit par me nuire d'une drôle de façon. Mais je comprends, ça doit être ce qu'il y a de plus difficile au monde, prendre soin de quelqu'un. S'assurer qu'il n'arrive rien à cette personne.
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