Encore un beau sans faute pour ce livre, qui poursuit cette saga avec brio ! J'avais vraiment hâte de découvrir l'histoire de Julian et Grace et je n'ai pas été déçue du tout. Grace est la soeur de Kat, une brillante avocate qui semble pourtant avoir du mal à vivre pleinement une histoire d'amour. Quant à Julian, il semble ne pas avoir été non plus épargné par la vie et les détails de son enfance sont très difficile à avaler...Tout comme Howard ou Zack, Julian a été victime d'un être monstrueux pendant son adolescence. Depuis leur toute première rencontre dans le tome 1, Julian n'a cessé de penser à Grace en dépit de toutes les femmes qu'il pourrait avoir. C'est un pompier terriblement sexy, souvent au volant de décapotables et très habile avec la gente féminine...Mais la soeur de Kat ne le laisse vraiment pas indifférent et les choses s'accélère lorsqu'en allant chercher du réconfort auprès de Carmelita, il se rend compte de ses réels sentiments. Bien entendu, un ennemi de taille apparait et même si l'on ne tarde par à découvrir son identité, le lien qu'il entretient avec Julian intrigue du début à la fin...Les Vines sont vraiment fou et je n'ai pas eu réussi à assimiler ce qu'ils ont fait subir à tous ces jeunes tels que Brett Charles ou Julian quand il avait quinze ans. Comme ses prédécesseurs, Julian affronte la mort à plusieurs reprises mais je n'ai pas trouvé cette "redondance" gênante plus que ça car en soit, cela correspond toujours à l'histoire et au méchant que nous découvrons. Julian a tout de même été violé durant l'enfance et c'est presque surhumain qu'il ait réussi à vivre avec et à ne pas avoir autant de séquelles que Howard dans le tome 1. Son seul problème est ce besoin permanent de prouver sa virilité et sa capacité à séduire des femmes, d'où son côté Casanova. En dehors ça, il a surmonté les épreuves avec courage, tout en nous offrant quelques moments émouvants lors de certaines confidences faites à Grace. Dans ce livre, on découvre aussi Zack et Cori jeunes mariés avec un heureux événement en route. Mais malgré l'histoire centrale que j'ai adoré, mon coeur a fait un bond dans ma poitrine lorsque Kat et Howard annonce qu'ils vont avoir un enfant ! Et oui, un enfant ! Je suis tellement heureuse de savoir que Howard n'est pas stérile et qu'avec Kat le bonheur complet lui est enfin accessible. J'ai été touchée à plusieurs reprises durant ma lecture, que ce soit pour Zack et Cori, Howard et Kat mais aussi lorsque Julian expose ses démons et quand la grotte s'effondre et que Carmelita meurt...Elle m'agaçait beaucoup au début car je la percevais comme une rivale pour Grace mais finalement, elle avait bon fond et sa mort créé une peur panique chez Julian car il craint d'avoir aussi perdu la femme de sa vie. Enfin, nos héros peuvent vivre des jours heureux en amoureux et construire quelque chose de nouveau sur le terrain que Julian a acquis. Les scènes de sexe était vraiment splendides, en particulier celle sur le terrain de Julian près de lac, sur le capot de sa voiture...L'auteur sait conjuguer romantisme, intrigue et tension sexuelle à la perfection et j'en redemande ! En tout cas, j'ai adoré ce livre et vivement la suite avec Tommy puis Sean car ces pompiers m'ont vraiment captivé :) !
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Une intrigue encore plus palpitante que les précédentes , ici on nage dans une enquête policière, un peu plus de travail sur le coté policier et nous passions en plein thriller
Si si je vous assure, il ne manquait plus que quelques détails sordides et un peu d'hémoglobine
C'est qu'il devient bon notre auteur au fil de ces romans ,mêler suspens, action, sexe, romance..
Et oui j'ai aussi aimé cet opus
il en reste encore 2 et tous les petits héros de la caserne 5 se seront trouvé à l'honneur
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Ce 3ème tome est meilleur que le précédent. Même si on devine en partie l'intrigue, certains éléments sont malgré tout moins évidents et intéressants.
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Je vais te révéler la règle de base pour dompter une femme : fais toujours ce qu’elle veut. Femme heureuse, vie heureuse.
— J’ai plutôt l’impression que c’est l’homme qui se fait dompter, dans ce cas.
— Le jeu en vaut pourtant la chandelle, répondit Howard en souriant pour lui-même.
Quelqu’un retenait son bras. Il se retourna et découvrit Cindy qui le considérait avec étonnement. Son visage qui lui avait semblé superbe quatre tequilas auparavant, lui parut soudain épouvantablement peinturluré. Un peu vulgaire, même.
—J’avais cru reconnaître quelqu’un, répondit-il en cherchant ses clefs de voiture dans sa poche, mais je m’étais trompé.
—Oh. Alors on s’en va ?
Elle s’agrippa contre son flanc comme une bande Velcro et fit courir son index manucuré dans l’encolure largement déboutonnée de sa chemise.
— Je m’en vais. Tout seul, répliqua-t-il en la forçant délicatement à se détacher de lui. J’ai passé une bonne soirée, ajouta-t-il en se penchant pour planter un chaste baiser sur sa joue.
—Mais… on devait aller chez toi !
—Changement de plan, ma puce. Je crains que tu ne te sois décidée trop tard.
Son expression abasourdie était impayable.
—Tu… Tu me jettes, c’est ça?
—Je préfère dire que j’ai reconsidéré mon choix, rectifia-t-il. Je te raccompagne jusqu’à ta voiture.
Outrée, elle dégagea sa main.
—Te fatigue pas, connard ! cracha-t-elle.
Elle s’éloigna, martelant furieusement le trottoir de ses talons aiguilles. Julian l’observa, sa robe rouge tellement moulante qu’elle semblait peinte sur son petit corps éminemment comestible, et soupira.
Oui, il devait avoir perdu la tête.
(Grâce et Julian)
Le claquement métallique d’un verrou se fit alors entendre et la porte s’ouvrit, révélant un Julian ahuri, le visage couvert d’ecchymoses et d’ égratignures. Et à moitié nu.
La peau cuivrée de son torse faisait ressortir une musculature irréprochable. Le regard de Grâce glissa le long de son cou puissant jusqu’au crucifix en or qui reposait au creux de son torse lisse, se laissa brièvement dissiper par ses tétons sombres, caressa le relief impressionnant de son abdomen et descendit inévitablement jusqu’à la ceinture du bas de pyjama que retenaient ses hanches étroites, mon Dieu, il ne portait rien en dessous des hanches qui avaient, Grâce aurait pu parier toutes ses économies là-dessus, le pouvoir de faire hurler une femme si elles s’avisaient d’onduler souplement.
—Si tu veux me parler, mon visage est en haut, querida, dit-il d’un ton amusé, avec cette pointe d’ accent hispanique qui avait le don de la faire fondre. Mais tu avais peut-être autre chose en tête ?
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—Oh, la ferme, répliqua-t-elle avant de lui décocher un sourire malicieux. Regarde-nous ! On est vraiment pathétiques. Je me demande pourquoi on ne s’est pas mariés, toi et moi, depuis le temps?
Julian lui rendit son sourire. Il s’agissait entre eux d’un vieux sujet de conversation qui ne portait pas à conséquence. Carmelita n’attendait pas de réponse à sa question parce qu’ils la connaissaient tous les deux, mais Julian lui en soumit une malgré tout.
—Parce que j’appuie au milieu du tube de dentifrice, que je ronfle, que je n’échangerais jamais ma Porsche contre un monospace et que j’ai toujours raison.
—Et parce que moi, je t’étoufferais dans ton sommeil en pleine crise de rage prémenstruelle.
—Tu sais qu’en prison, on coupe les cheveux et les ongles des femmes.
—Oui, c’est bien pour ça qu’il vaut mieux qu’on reste amis ! conclut-elle joyeusement.
—D’autant que ça n’empêche pas les relations sexuelles
—Qu’est-ce qu’il y a? Tu n’aimes pas ce genre de petite poupée ?
—Rectification: c’est moi qui ne lui plais pas, dit- il avec un petit rire forcé. Elle me trouve trop jeune pour elle. Je me crève le cul à longueur de temps à extirper des gens de voitures en accordéon, j’entre dans des immeubles en flammes et je répare les conneries de gens qui ont le double ou le triple de mon âge, mais aux yeux de madame, je ne suis qu’un bébé. Mais bon, comme je te disais, c’est sans importance. Moi, les nanas qui se la racontent, je m’en passe. Tu vois ce que je veux dire?