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3,38

sur 334 notes
Les histoires d'amitiés fusionnelles me passent au-dessus du cigare, en général. Pour « Les séparées »… c'est pareil. J'ose l'écrire, ce roman m'a laissée aussi froide que Jack-Leonardo barbotant dans l'Atlantique Nord.

Cécile, Alice, Alice-Cécile, Cécile-Alice, Alice et Cécile… pénible exercice de style que cette envahissante litanie plombant l'ensemble de la narration, insistant lourdement sur la puissance du lien entre Cécile et…?? Alice (bravo).

Fusionnelle donc, la relation, qu'on vous dit. Peu crédible pourtant, cette amitié de trente ans qui vole en éclats on ne comprend vraiment ni pourquoi ni comment. Confus, les artifices elliptiques abandonnant le lecteur au sens obscur d'allusions nébuleuses distillées ça et là. Pesant, l'amoncellement de drames éculés censés donner corps à une mélancolie qui se voudrait subtile. Cliché enfin, les nostalgiques et copieuses références aux années 80, même si elles interpellent sournoisement l'adolescente périmée qui sommeille à l'intérieur de mon moi perso.

Déception, en somme.

Mais bonne nouvelle (ou pas), « Les séparées » se lisent vite, tout autant qu'elles peuvent s'oublier. Pour ma part je suis juste passée à côté.


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Cécile et Alice ont, pour ainsi dire, toujours été amies. Elles pensent même s'être choisies. Une évidence pour elles que cette amitié. Elles se sont confié. Se sont envié aussi. Se sont tout partagé, ou presque. Les études, le boulot, les vacances avec les conjoints et les enfants. Des vies intimement liées. Comme imbriquées. Trois décennies plus tard, leur amitié a comme volé en éclat, disparue. Alors qu'Alice se rappelle encore leur dernière rencontre qui date de 5 ans, Cécile, elle, plongée dans un semi-coma, s'adresse à son amie. Que s'est-il passé pour que leur amitié ainsi se délite?

Kéthévane Davrichewy nous plonge dans les souvenirs de ces deux amies, Alice et Cécile. Deux amies d'enfance qui ne pensaient pas, qu'un jour, leur amour puisse s'envoler. Gentiment. Sans qu'aucune ne s'en rendre vraiment compte. L'auteur alterne passé et présent, passe de l'une à l'autre qui se confie ou raconte l'autre. L'on apprend au fil des pages combien les sentiments qui les liaient. L'auteur montre parfaitement combien une amitié peut être fragile et combien les non-dits, les déceptions, les manquements et les mensonges la fragilisent encore plus et font parfois oublier les joies partagées, les éclats de rire, les passions communes. Ce roman, bien construit, s'attarde non seulement sur ces deux amies mais aussi sur la société qui change, le temps qui passe, les années Mitterrand ou les années Sida, souvent sur fond musical. Un roman lumineux, tendre, troublant, délicat, servi par une écriture sensible.
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« Les séparées » est un roman à deux voix, celle de Cécile, celle d'Alice, deux amies que le temps qui passe, les petites jalousies, les amertumes et les non-dits ont fini par irrévocablement séparer.
L'une est à l'hôpital, dans un semi-coma, l'autre attablée à la terrasse d'un café. Chacune de son côté va faire entendre la voix du souvenir, de l'époque des années 1980 lorsqu'adolescentes, elles tendaient vers le même idéal, la tête emplie de projets et de rêves, jusqu'à la dégradation progressive et la scission définitive de leur amitié 30 ans plus tard.

Il est toujours un peu pénible d'aller à contre courant l'avis général. Il nous faut pourtant avouer que « Les séparées » est d'un niveau bien inférieur aux attentes et à l'espoir mis en lui.
C'est souvent le cas lorsque les critiques encensent un ouvrage à coup d'adjectifs trop élogieux, de louanges glorificatrices et autres félicitations disproportionnées, on s'attend à un livre frisant le chef-d'oeuvre et lorsque les illusions sont déçues, la déception est à hauteur du dithyrambe….mais inversée pour le coup.
Bien que d'une lecture agréable, le livre de Kéthévane Davrichewy comporte finalement trop de bémols pour peu de dièses.

Car c'est un livre auquel malheureusement on ne croit pas.
On ne croit pas à cette amitié entre Alice et Cécile que l'on nous décrit comme fusionnelle et passionnelle et qui se délite comme une relation de vieux couple.
Pourtant, pour des raisons aussi opaques que mystérieuses, voilà la rupture bel et bien consommée… avec des sentiments bien acrimonieux pour deux êtres qui se sont aimés et si peu d'arguments de désunion, « j'ai voulu te blesser moi aussi, t'anéantir, te mettre à terre»…

Cette séparation que l'on aurait pu comprendre à 20 ans, à l'âge où les chemins et les choix divergent, intervient bien après la trentaine, après des années à se téléphoner tous les jours, à partir en vacances avec maris et enfants, à travailler ensemble, à tout partager. Et brusquement, ces deux femmes ne peuvent plus se voir en peinture ! « La haine, pernicieuse, avait laissé place à un sentiment tiède». Ca c'est de la fusion !

Alice et Cécile sont donc liées nous dit-on comme le seraient deux soeurs, pourtant, envies et petites jalousie très féminines jalonnent ces années d'amitié, « j'enviais la facilité avec laquelle tu allais vers les gens », « tu enviais ma liberté »…
Sans omettre le fait qu'elles se taisent l'une l'autre de lourds secrets, de ceux que seul un ami peut entendre…
Ca c'est de l'amitié !

Si le tableau des années 1970/80 est plutôt plaisant, ressuscitant l'époque en un large panorama brassant chansons populaires, publicités, évènements sportifs, politiques et télévisuels, Kéthévane Dravichewy ne nous épargne aucun des thèmes misérabilistes de la littérature : drogue, sida, chômage, adultère, le tout saupoudré d'inceste. Ca c'est du package !
Bon c'est vrai, il y a des gens qui ne sont vraiment pas vernis dans la vie mais heureusement pour nous, l'auteur a su nous éviter l'écueil du mélodrame bien que la distance avec laquelle nos héroïnes prennent toutes les tragédies ne lasse pas de nous surprendre.

L'écriture de la romancière est fine et sensible et se déploie en phrases courtes et factuelles avec une répétition toutefois un peu maladroite des prénoms : Alice a dit, Cécile a fait…
Les deux personnages, aux caractères normalement divergents, sont finalement très peu distincts sur le papier dans leur façon d'exprimer leurs sentiments et leurs émotions ; si le récit n'était pas construit en deux voix alternées, on pourrait même aisément confondre les deux femmes tant elles se révèlent interchangeables.

Cette histoire d'amitié en lambeaux n'est donc pas désagréable, le roman se lit vite et plutôt bien, on y décèle de la fraîcheur, beaucoup de délicatesse et une grâce aérienne mais il y manque l'empathie, la crédibilité et toutes ces petites choses qui font qu'un livre nous marque durablement.
Ah déception quand tu nous tiens !
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Le deuxième roman de Kéthévane Davrichewy que je lis, après « Quatre murs »… Une musique certaine, une sorte de légèreté pour exprimer les fêlures, les séparations, les malentendus…entre les êtres
De très nombreuses critiques excellentes ont déjà été rédigées… et je n'ai pas grand-chose à exprimer de nouveau… surtout que je suis embarrassée.

L'écriture , les thèmes de l'auteur me plaisent ; le style est fort agréable… et curieusement (et cela me déplaît fortement)… le souvenir s'estompe trop vite après la lecture. A quoi cela tient ? Mystère ? il est vrai que parallèlement, j'ai lu des textes de Roger Grenier qui ont peut-être trop capté mon esprit….
Une relecture ultérieure… sera sûrement bienvenue. N'étais-je pas assez attentive ? Ce sont les mystères… du ressenti des livres… certains arrivent à point nommé, d'autres… on n'a pas l'état d'esprit requis à ce moment-là… cela fait partie des injustices… des oubliés, ou « trop vite -lus »…

Dans « quatre murs », il s'agissait des retrouvailles contrastées d'une fratrie après la mort du père… Là, nous nous retrouvons à un point de non-retour de l'histoire d'une amitié fusionnelle, exclusive… qui s'est déconstruite au fil du temps, des non-dits, des mauvaises pensées tues, des petites jalousies, etc…

Quand le roman débute, le 10 mai 1981, Cécile et Alice ont seize ans. C'est l'euphorie de l'élection de François Mitterrand, le début de leurs jeunes vies….les projets, les flirts, les études, les vacances en famille, partagés. Trente ans plus tard, celles qui s'étaient promis de ne jamais se quitter… se sont perdues inexorablement

Période de bilan, les deux voix des amies… vont s'entrecroiser au fil du roman…Cécile est dans le coma mais son esprit vagabonde , le passé, le présent se succèdent.
Alice se remémore tous les souvenirs communs qui ont construit leur complicité…et puis la mort du père d'Alice… et l'abscence de Cécile qui ne l'a pas soutenue ni aidée à partager sa peine…. Et le fossé commence à se creuser…

« Cécile était une disparue. le fait qu'Alice puise la croiser en chair et en os n'y changeaient rien. le plus dfficile était la solitude. Elles avaient été deux. le moindre détail du quotidien avait été partagé, le dîner des enfants, leurs projets professionnels, les rendez-vous chez le coiffeur, les gens qu'elles cotoyaient les films qu'elles voyaient, les livres qu'elles lisaient, leurs relations avec leurs maris. Les pensées d'Alice se heurtaient désormais à l'écho. Peut-être le miroir grossissant, le reflet rassurant mais déformé qu'elles se tendaient l'une à l'autre, était-il nuisible ? Qui a besoin de se voir de si près ?
Leurs images réfléchies devenaient obscènes, elles avaient tenté en vain de se ressembler puis elles avaient aspiré à la différence, à l'indépendance. Leur amitié ne s'en était pas remise » (p.155-156, éd. Sabine Wespiesser, 2012)

L'auteur décrit très subtilement les ambivalences , les méandres de cette amitié au fil des années ; amitié exclusive qui a engendré les plus grandes joies comme d'inévitables déceptions, à la hauteur de cette intensité…..Mes sentiments sont aussi très partagés, après cette lecture..je suis restée sur « ma faim »…
Un sentiment d'un trop plein d'amour qui a dérapé, dégénéré, provoqué des gâchis qu'il n'est plus possible d'effacer…

Je relirai ... sûrement...
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Voilà ce qui arrive quand on attend beaucoup d'un livre. Car "les séparées" est au final une déception. L'histoire d'Alice et Cécile avait de quoi nous toucher.
Une amitié qui semble indestructible et puis petit à petit le ver qui s'immisce au milieu du fruit, des non-dits, un détachement qui arrive avec l'heure des conjoints et des enfants. Puis la coupure nette, douloureuse même si les apparences font penser le contraire. Jusqu'au rebondissement final.
Davrichewy manque sa cible ou le roman devrait nous toucher, nous emporter, il nous laisse derrière la porte, l'écriture est simple, simpliste ?, la répétition des prénoms est franchement agaçant, et puis surtout le plus décevant c'est qu'on éprouve aucune empathie pour nos deux héroines.
Les souvenirs s'égrènent sans que l'émotion vienne pointer son nez.
Et c'est à la fois triste et bien dommage.
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C'est un petit roman qui se lit très vite et qui en touchera plus d'une (plus d'un peut-être aussi ?)
Au travers d'une époque, celle des années 70 puis 80, Kéthévane Davrichewy évoque avec beaucoup de sensibilité l'amitié fusionnelle qui unit Alice et Cécile, en dépit de leurs familles et de leurs milieux si différents. Une amitié fusionnelle et exclusive qui ne connait pas de disputes, qui s'alimente de connivences et de vécu, se nourrit d'admiration mutuelle mais qui, inéluctablement, s'effilochera un jour pour ne laisser place qu'à la haine et au mépris.
A l'approche de la cinquantaine, c'est le constat amer qu'elles font, l'une esseulée à la table d'un café, l'autre plongée dans un semi-coma sur son lit d'hôpital ; déroulant l'histoire de leur amitié et croisant leurs point de vue au fil des chapitres, elles se racontent, leurs familles, leurs amours, la complexité de leurs sentiments, ce qu'elles se sont tu, enfin… et la découverte amère qu'une amitié comme la leur n'est finalement pas imperméable à tout… Une écriture simple qui entremêle les époques et leurs histoires au point que parfois on se perd… pour les retrouver quelques lignes plus tard, émouvantes et passionnées.
Comme Brigitte Lascombes, j'ai beaucoup pensé au Dernier Ami de Tahar Ben Jelloun, version féminine !
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Le roman de Kéthévane Davrichewy, Les Séparées, interroge sur l'amitié. Alice et Cécile, bien que différentes tant physiquement que par l'origine sociale, vivent une amitié fusionnelle depuis l'enfance. Jusqu'à ce que la vie et les choix, petits ou grands, qu'elle nous impose, les sépare irrémédiablement.

L'auteur narre son histoire sur deux voix. L'une, impersonnelle, raconte Alice. L'autre, en narration directe, donne la parole à Cécile, alors dans le coma suite à un accident de voiture. Toutes deux ont alors 46 ans. le roman va et vient dans le passé, sans forcément de lien logique. Un peu à l'image des souvenirs qui remontent à la mémoire, à cause d'un mot prononcé, d'une association d'idée...

Il se dégage beaucoup d'amertume et de mélancolie des pages de ce roman. Les deux fillettes devenues adolescentes au début des années 1980 puis femmes avancent à vue, tâtonnent, s'appuyant sur leur amitié jusqu'à ce qu'elle rompe. Les secrets, les non-dits, et la vie, en éliment la trame.
Il est permis de se demander si une relation si fusionnelle est vraiment une bonne chose. Et que reste-t-il de l'amitié une fois qu'elle est morte? Il y a bien des chagrins d'amour, les chagrins d'amitié ne sont-ils pas tout aussi douloureux, voire plus peut-être?

Je découvre Kéthévane Davrichewy avec ce roman (merci la boîte à livres, de nouveau). On ne peut pas dire qu'il remonte le moral. Mais j'ai aimé l'écriture sobre et en finesse, les introspections des deux femmes qui, la cinquantaine approchant, regardent en arrière en essayant de prendre un peu de recul. C'est la vie qui est dépeinte ici, avec ses joies et ses drames, ses trahisons et ses désillusions. C'est beau et mélancolique; ça laisse un goût amer et nous renvoie à nos propres perceptions des relations humaines, a fortiori l'amitié. En la matière aussi, le dicton dit vrai : le mieux est l'ennemi du bien.
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J'ai terminé ce livre envahie d'une profonde émotion Parce que ce style très féminin est vraiment en phase avec ma sensibilité. Ce sont des phrases courtes, des tonnes de questions, des retours en arrière. L'histoire se dévoile par petites touches. Des effleurements de pinceau qui, petit à petit, dessinent tous les reliefs de cette relation fusionnelle.
Alice et Cécile se connaissent depuis la maternelle. Alice vit dans une famille unie où l'on discute, l'on rit, l'on se chamaille alors que les parents de Cécile sont divorcés. Cécile aime plus que tout son demi-frère, Philippe et ce garçon joue un rôle important dans l'évolution de l'amitié des deux filles.
Aussi forte soit-elle, une amitié peut-elle tout supporter? Peut-on tout se dire, tout savoir l'une de l'autre? Comme toutes les copines, elles se racontent leurs petits secrets mais lorsque les choses deviennent importantes et personnelles, peut-on encore se confier et peut-être pardonner?
Au-delà de cette passion, j'étais en parfaite résonance avec l'époque puisque le récit va des années 80 à nos jours. J'ai connu les mêmes évènements politiques, les mêmes musiques, les mêmes films.
Certains lecteurs pourront s'agacer de cette écriture très féminine qui ressassent les états d'âme. quant à moi, j'aime cette recherche intime, cette délicatesse des sentiments, cette découverte progressive vers les secrets les plus profonds.
J'avais beaucoup aimé La mer noire et je tenais absolument à lire une fois de plus Kéthévane Davrichewy. C'est à nouveau un vrai coup de coeur
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Quand s'ouvre le roman, le 10 mai 1981, Alice et Cécile ont seize ans. Trente ans plus tard, celles qui depuis l'enfance ne se quittaient pas se sont perdues. Alice, installée dans un café, laisse vagabonder son esprit, tentant inlassablement, au fil des réflexions et des souvenirs, de comprendre la raison de cette rupture amicale, que réactivent d'autres chagrins. Plongée dans un semi-coma, Cécile, elle, écrit dans sa tête des lettres imaginaires à Alice. Tissant en une double trame les décennies écoulées, les voix des deux jeunes femmes déroulent le fil de leur histoire.

C'est un court roman qui se dévore et dans lequel j'ai retrouvé avec plaisir l'écriture agréable et fluide de Kéthévane Davrichewy. A rebours, la relation entre Alice et Cécile se reconstruit, de l'amitié profonde à l'éloignement, petit à petit : le plus difficile était la solitude. Elles avaient été deux.”

Au fur et à mesure du récit, en alternant les voix des deux jeunes filles, on remet le puzzle en place, les figures surgissent, les faits s'enchaînent, avec cette banalité qui s'appelle la vie. Car finalement, ce n'est qu'une énième histoire familiale de plus, où les secrets, les tensions s'accumulent jusqu'à exploser, avec des dommages collatéraux, ici l'amitié extraordinaire qui lie Alice et Cécile.

Je sais que sur le moment j'ai beaucoup apprécié ce roman, car il a fait écho à un certain nombre de faits dans ma vie, dans ma façon de penser. Je me suis sentie un peu Alice et un peu Cécile.

Mais en réalité, quelques semaines après, je ne suis plus si sûre que ce soit un coup de coeur. Comme toujours, je ne ressens pas particulièrement de sympathie (ni d'empathie) pour ces personnages qui justement nous ressemble trop, à qui il arrive des événements banals et puis plein de drames (trop de drames ?), qui est si souvent la marque de la littérature contemporaine.

Je préfère amplement la littérature “étrangère” qui, tout en parlant d'autres, nous parle de nous, d'une manière plus subtile, plus réfléchie. Je ne nie pas que Les Séparées soit un bon roman, publié par une maison d'édition de qualité. Mais j'y ai préféré La mer noire, du même auteur, plus originale, plus “exotique”.

Justement dans le roman, il est dit : “La littérature densifiait ce qu'elle vivait, lui donnait de la valeur.” Or, pour moi, ça n'a pas été le cas ici …


Anecdote : Les droits viennent d'être signés pour une adaptation cinématographique.
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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que dire ? Quelques semaines ont passé depuis que j'ai lu Les séparées et je ne retiendrais qu'une impression :"déception".
L'histoire :deux amies d'enfance ont uni leurs chemins tout au long de leur scolarité puis de leurs vies universitaires , de leurs premiers émois amoureux , de leurs carriers professionnelles jusqu'au jour où .....le courant n'est plus passé entre Alice et Cécile. Comment expliquer cette rupture : l'éducation, des milieux sociaux différents, des idées politiques divergentes, des réussites professionnelles variées ,la jalousie?, que sais-je encore. Il faudra l'accident de Cécile pour que celle-ci accepte dans son "coma" de réfléchir à tous ces évènements.Roman à deux voix donc mais voilà je suis passée à côté ! Autant j'avais été séduite par La Mer Noire du même auteur autant là je me suis forcée à terminer cette histoire , histoire à laquelle je n'ai pu adhérer à aucun moment. DOMMAGE !
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