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Citations sur Sympathies for the devil (10)

Une vieille légende mongole raconte que le ciel nocturne est comme un miroir, chaque étoile reflète la position d'un Mongol sur la Plaine. Il n'y a pas deux cieux identiques car les Mongols vont et viennent, vivent et meurent, comme les étoiles.
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- Je te l'ai dit, je suis Loki... Mais je ne m'attendais pas vraiment à ce que tu saches quel démon se cache derrière ce nom...
- Un démon ? Tu te vantes...
- C'est ça et mon dragon est gonflable... Je suis celui qui marche sur le feu, le démon aux yeux de lumière. J'ordonne le chaos. Et je chevauche les dragons comme seuls les dieux peuvent le faire. Si je voulais me vanter, je dirais plutôt que j'ai la plus grosse bite que t'aies jamais vue, ce qui est peu probable, vu que la Terre enitère semble t'être passée dessus...
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Dieu me déteste mais le Diable est bon avec moi, il me récompensera.. En fait, rien n'est moins sûr car quand mes pensées sont reposées contre un oreiller rempli de plumes, je ne crois ni en l'un ni en l'autre. Mais a t-on besoin de croire en l'existence du Diable pour avoir de la sympathie pour lui? A-t-on besoin de croire en Dieu pour haïr sa non-intervention divine et permanente? (Une forêt de cendres)
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Je vais faire de toi la Grande Vague qui nettoiera le monde. Tu es celle qui va laver tous les affronts, qui donnera une nouvelle chance aux Hommes. Leur patrimoine génétique va se mélanger à nouveau avec la terre, la mer et les espèces qu'ils n'ont pas réussi à faire disparaître. Et un jour, comme rien ne se perd vraiment, comme toute chose perdue peut être retrouvée, d'autres hommes renaîtront. Différents. Plus sages, peut-être. Le monde se meurt de la technologie, les mythes doivent le faire renaître.
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En Mongolie, le vent joue le rôle de dieu bienfaisant. Il portait l'odeur de l'herbe d'automne, il donnait aux visages la profondeur nécessaire au respect. Dominant la plaine sur leur monture, les Mongols et les Kazakhs étaient aussi beaux que les Touaregs d'Ouadjabal. Aussi majestueux que les Romani que j'avais vus traverser les Carpates sur leurs chevaux noirs, et raconter de vieilles histoires datant de l'époque où ils empalaient et massacraient les Turcs par milliers. Je me sentais laid, insignifiant. Je n'étais pas aussi beau qu'eux et ne le serais jamais. A jamais un étranger à la noblesse de la Steppe.
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Quand je tue quatre enfants en public, j'avorte cent meurtres, j'empêche trente autres enfants de mourir. Et sur mon passage ne règnent que mutisme, prostration, dégoût, terreur et vertige. Terreur, surtout... Je sauve plus de vies que je n'en condamne, telle est l'excuse perpétuelle des tyrans.
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Ces cons ne comprenaient rien. Une bonne idée leur aurait mordu le cul, ils se seraient badigeonné le fion de pommade anti-hémorroïdes en attendant que ça passe.
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« [La violence] c'était plutôt une espèce de porte ouverte, de fenêtre sur le chaos qui nous convoite depuis la nuit des temps, un chaos qui peut aussi bien nous dévorer que nous nourrir. » (La notion de génocide nécessaire)
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- Je te préférais avec un peu de barbe, sentant l'homme, pas raclé-torché comme une pédale de Wall Street.
- Est-ce une insulte envers les homosexuels ?
- Non, seulement envers ceux qui travaillent à Wall Street.
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"Je veux empêcher une catastrophe. Et je ne parle pas de quelques vies, ni de milliers de vies, mais d'autre chose : l'impression que, si j'échoue, il n'y aura plus jamais d'hommes libres sur Terre.
— J'ai toujours su que tu étais un idéaliste. Ma mère m'avait prévenu : rien n'est plus dangereux qu'un idéaliste.
— A mon avis, rien n'est plus dangereux qu'un intégriste ceinturé de dynamite jouant à la marelle dans l'unité de refroidissement d'une centrale nucléaire. Cela dit, plus con que ta mère, c'est difficile."
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