Ce journal parcourt en zigzag une année de la vie de l’auteur en y mêlant, par associations d’idées, divers épisodes de l’actualité et du passé. Il se présente comme un mélange habilement composé de récits, de croquis, d’impressions et de considérations sur la vie et l’écriture. Grave, sensuelle ou virulente, la plume de Paul de Wispelaere fait toujours mouche. L’Alphabet calciné est considéré comme son chef-d’œuvre.
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.