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3,27

sur 360 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai senti assez vite que je n'allais pas adhérer à cette "audacieuse proposition littéraire".
Je ne m'étais pas trompé. Tout m'est passé au-dessus dans ce livre qui entend évoquer le capitalisme, les inégalités, les métropoles...Je n'ai pas trop compris qui était qui, les dialogues m'ont particulièrement ennuyé...
Sur ce même genre de sujet, j'avais tellement aimé Tom Wolfe, ses intrigues géniales, ses personnages puissants, son humour surtout, que le contraste entre les deux est, pour moi sévère.
Prétentieux, abscons, ennuyeux (ok certes, l'ennui n'est pas le premier critère en littérature...)...je relèverai tout de même une qualité : sa brièveté !
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J'ai tenu bon jusqu'au bout, même si j'ai eu du mal à suivre cette histoire d'un golden boy obnubilé par sa prostate. Et au final, que reste t-il ? un grand vide, l'impression d'être passé à coté du roman, de ne pas avoir tout saisi. le sentiment d'un échec prédomine lorsque j'ai refermé la dernière page du roman. Échec, vis-à-vis du lecteur que je suis et non pas de l'écrivain que Don Delillo est... seulement, il n'a pas réussi à me toucher.
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C'est le premier roman que je lis de Don Delillo et je dois dire que je suis un peu sceptique. Si le style de l'auteur est particulièrement agréable, j'ai trouvé qu'il ne se passait pas grand chose. Un roman vraiment étrange, particulier. Dommage que la forme soit nettement mieux que le fond.
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DON DELIILO : COSMOPOLIS

Ecrivain américain, une description de la vie d'un magnat de l'économie, un golden boy richissime et qui vit pratiquement toute la journée dans sa limousine ultra moderne et traverse New York, accompagné de ses gardes du corps mais aussi de ses caméras et ordinateurs sur le monde de la finance… Des arrêts amoureux, des arrêts de souvenirs, une vie new-yorkaise qu'il traverse au gré des manifestations des crimes et des envieux. Mais le « danger » est détecté va – t il pouvoir résister ?
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J'ai commencé Cosmopolis il y a un an et demi et j'en ai lu laborieusement deux tiers très très lentement sur quelques semaines ou mois, je ne sais plus. Impossible de me faire au style littéraire, aux dialogues cash/trash/étranges. Impossible de vraiment entrer dans la narration.

Il y a quelques jours, j'ai décidé d'en finir (avec le livre) mais je ne pouvais me résoudre à reprendre là où j'étais rendu, je me souvenais de ce que j'avais précédemment lu mais je me souvenais surtout que j'avais complètement survoler le livre en terme de compréhension. J'ai pris une décision que je ne pensais jamais prendre, j'ai recommencé le roman depuis le début, chose que je déteste en temps normal. En temps normal, certes, mais Cosmopolis n'est pas normal. Il est dérangeant, il questionne sur le comportement humain, l'excès de pouvoir, l'excès d'argent,…

Nous suivons un golden boy décidé à traverser New York pour aller se faire couper les cheveux, malgré de grosses menaces sur sa vie, des embouteillages monstres, en somme, des emmerdes en perspectives à la pelle… Et au fur et à mesure de ses arrêts, de ses rencontres,… sa vie évolue grandement.

Je n'avais pas du tout aimé ma première lecture inachevée, mais il fallait que je recommence, que j'y retourne. Cosmopolis m'intriguait, m'attirait. J'ai fini ma lecture, je ne suis pas un grand fan de ce roman, certaines situations me semblaient parfois partir un peu dans tous les sens… pourtant j'aime certaines idées suggérées, à peine développées mais bien présentes. Je reste très surpris par le sentiment que je ressent à propos de ce texte. Un peu comme la fascination que j'ai ressenti en regardant « Ex Machina », un film qui m'a plu mais surtout qui me laissait complètement scotché. Pour Cosmopolis, la sensation est légèrement différente mais je reste tout de même intrigué par ce livre OVNI.

Folio m'avait déçu avec une préface dévoilant la fin de la guerre des mondes et avec un message abruti sur la couverture de Substance Mort. Flammarion est également adepte de la préface spoil pour Peter Pan. Cette fois c'est « J'ai lu » qui souhaite démontrer qu'il est loin d'être aussi respectueux des oeuvres que la reine Zabo ou Zones sensibles dont j'ai acheté deux exemplaires de leur magnifique édition de Flatland. Que peut-on reprocher à « J'ai lu » pour Cosmopolis ? Un quatrième de couverture contenant des informations sur la fin du livre… que c'est con, mais que c'est con ! Cette fois, c'est sous la forme d'un extrait de critique :



Parfois, j'ai l'impression que certains éditeurs haïssent leurs lecteurs… Je ne vois pas d'autre explication.

Note : Ce n'est pas la première fois que je remarque cela dans un livre, l'auteur (ou la traductrice ?) comme beaucoup d'autres donc, pense que l'année-lumière est une unité de temps, c'est gênant (c'est une unité de distance évidemment). Ce n'est pas aussi con que démontrer que 1+1=3 en développant une équation contenant une division par zéro mais tout de même, c'est dommage…
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Mai 2012
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