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Michel Demuth (Traducteur)
EAN : 9782266077422
363 pages
Pocket (16/03/1998)
3.82/5   72 notes
Résumé :
Pour le policier de Los Angeles, Harry Lyon, et sa coéquipière Connie, le tueur auquel ils se trouvent confrontés au restaurant n'est qu'un avant-goût du cauchemar qui les attend. L'après-midi même, un improbable clochard, aux allures de possédé, annonce à Harry qu'il va mourir avant l'aube, puis se désintègre sous ses yeux. Tout cela ressemble trop à une hallucination ou à un mauvais rêve pour qu'il arrive à y croire. Et pourtant...
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Qu'est ce que j'ai eu du mal avec ce roman.
J'ai eu un mal fou a rentrer dedans, moi qui était accro il y a encore quelques années a tous ces romans qui parlaient de paranormal. Je n'ai pas lu beaucoup de Koontz, un seul pour être honnête avant celui-ci et j'avais adoré.

J'ai pourtant beaucoup aimé les flics de ce roman. Ils sont bien travaillés et on les prend facilement en sympathie. mais je crois que je vieillis et que mes amours d'adolescente et de jeune adulte sont loin.
Je me remets en question parce que quand je vois que Siabelle et Greg ont adoré ce roman je m'interroge. Non pas sur la qualité du roman , mais plutôt sur moi même.

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C’est inouï, c’est sublime. C’est un livre où j’ai dévoré chaque mot. C’est mon premier Dean Koontz, c’est un coup de cœur instantané. Sa page couverture est belle, les couleurs frappent et le dessin avec le dragon est splendide. Je trouve qu'elle représente bien le contenu.

C’est l’histoire de deux policiers : Harry et Connie. Ils travaillent ensemble et c’est une équipe qui se complète. Je me suis beaucoup attachée à Harry et ensuite c'est Connie. J’aime les voir enquêter et ils partagent des opinions différentes. Ils se rajoutent plusieurs personnages secondaires qui sont aussi importants.

Dès le début, on voit Harry et Connie évoluer ensemble mais aussi dans leur vie personnelle. C’est comme cela qui se produit un événement surnaturel. C’est Harry qui le vit en premier et ensuite c'est Connie. Harry prend son courage à deux mains et il en discute avec Connie. Il craint qu’elle le prenne pour un fou mais il le fait. À sa grande surprise, elle vit aussi quelque chose d’étrange à son tour. Ils se sont alors posés comme question : ‘’Qu’est-ce qu’on appelle quand on vit quelque chose d’inusité ? Est-ce qu’on fait appel à des chasseurs de fantômes ? Comment on réagit quand on se sent dépasser par les événements et que ta sécurité est en péril?

C’est ainsi que les deux policiers soudent des liens encore plus forts lors de leur enquête. On fait aussi une rencontre d’un personnage effrayant qui n’arrête pas de dire : tic, tac, tic, tac. Il y a aussi Bryan qui entre en jeu : on voit ce qu’il fait, ce qu’il pense et comment il tire les fils du destin. Il y a alors Wouf, qui par son prénom, on se doute qu'il est un chien. Il n'est à personne, il suit les humains. Il sent les odeurs et surtout il n'aime pas les chats. Il est aussi un bon guide, et il devient une aide selon les circonstances. C’est ainsi que le temps est compté et qu’Harry et Connie vont devoir courir pour échapper au danger et éviter la mort.

Le livre «Les larmes de dragon» c’est un univers de musique, d’odeur, d’œil, de contes et de psychopathes. Il y a aussi de l'électricité dans l'air. En plus, c’est des faits basés sur des histoires vraies. Dean Koontz nous amène dans un endroit où le réel rencontre le fantastique. Il y met sa note pour nous faire enchanter ou désenchanter. Il faut suivre attentivement l’histoire car il y a des
liens entre chaque personnage où on comprend tout le sens vers la fin.

C’est un triller qui nous tient en haleine, qui nous donne sa dose d’adrénaline. Tout lecteur y trouve son compte car il aborde des sujets qui nous tiennent tous à cœur mais surtout que le mal se propage et il faut rester en éveil.

Qu’est-ce que les larmes de dragon ? Ce sont des larmes douces ou amères mais c'est à nous de définir ce qu’on veut bien y voir…

Et ça reflète bien ce qu’est le livre «Les larmes de dragon»...


P.S. : allez voir la critique de Masa !
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Dean Koontz, c'est l'assurance de lire un livre facile, quelque soit les multiples genres dont s'est essayé – bien que son genre de prédilection soit le thriller. D'ailleurs, on a bien tendance à lui coller le fantastique à la peau. Pourtant mes deux dernières lecture avec lui ont été fâcheuse. Tout d'abord avec « la nuit des cafards », pas mauvais en soit, mais je l'ai trouvé comme un air de déjà vu, et « Les étrangers » bien trop soporifique et trop lourd – lecture que j'ai abandonné d'ailleurs, comme quoi même un Koontz peut-être très mauvais et à jeter.
Histoire de compléter sa bibliographie, j'entame avec peu d'ambition « les larmes du dragon », mais j'espère être surpris.
Hé bien quelle surprise ! Qu'ils sont rares ses livres aussi explosifs ! Lui qui nous à habitué à thriller avec des romances de trentenaires. le fait que l'on assimile Dean Koontz et horreur m'a toujours fait sourire. Pourtant « Les larmes du dragon » est bel et bien un livre horrifique et fantastique. Je me demande encore si c'est bien lui qu'il la écrit ? Lui qui reste très commercial.
Au programme nous avons une magnifique filature entre deux policiers et un cinglé armé de grenade. La grande originalité vient du fait qu'ils communiquent (la policière et le malfrat) à coup de titres d'Elvis Presley. Puis nous avons un homme-rat, un clochard, au pouvoir surnaturel. Allez, c'est loin d'être terminé. Nous avons un chien intelligent, pas le fameux Golden Retriever (« Chasse à mort », « La dernière porte », « Spectres »,…), mais un simple corniaud dont on suit les pensées. Bref, il nous gâte le californien.
« Les larmes du dragons » est une oeuvre Majeure tout comme « La maison interdite ». Je vous l'ai dit : un Koontz bien trop rare. C'est bien lui qui l'a écrit ?
En cours de route, nous apprenons un peu plus de ce mystérieux clochard, surnommé désormais Tic-tac, dont les pouvoirs sont bien plus important qu'au premier abord. Il a fixé un ultimatum au super flic. le policier dispose encore d'une nuit – qui sera très mouvementé – pour sauver sa peau. C'est certain à l'aube, l'homme-rat le tuera.
Koontz nous gratifie d'un panel de personnages attachants. Pour commencer le duo de flics, un homme et une femme, des trentenaires, mais pas de romance comme il nous en a abreuvé tout au long de sa carrière. Ces deux flics sont opposés. D'un côté, l'homme est méticuleux et prévisible, très terre-à-terre. de l'autre, la femme qui elle agit par réflexes. À l'hôpital, une femme énuclée gît dans son lit. Elle divague et a peur. Bien évidemment, il y a d'autres personnages intéressant.
L'auteur déplore également les années '90 et nous berce de ces horreurs. Il nous narre des événements tragiques qui secouent l'Amérique entière.
Je qualifierais ce livre d'OVNI dans sa bibliographie beaucoup trop axé thriller sentimentale à mon goût. Ce livre est une réussite et j'ai trouvé beaucoup de ressemblance avec un autre de ses chefs-d'oeuvres « La maison Interdite » sans jamais le surpasser.
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C'était un mardi ensoleillé, la journée s'annonçait prometteuse, jusqu'à ce que Harry Lyon, policier de Los Angeles, doive abattre quelqu'un entre la poire et le fromage... Mais ceci n'est que le début des ennuis qui l'attendent ainsi que sa co-équipière, Connie. Bienvenue dans leur cauchemar.
Dans le courant de l'après-midi, un clochard annonce à Harry sa mort imminente, avant l'aube plus exactement. Bien entendu, ça semble si improbable que le policier peine à y croire, sauf que...lorsque la nuit tombe, l'obscurité engendre d'étranges créatures et le monde se transforme en enfer au fil des heures qui s'écoulent. D'horribles dangers menacent les deux officiers ainsi que leurs proches.
Excellent bouquin servi par la plume magistrale de Koontz, qui ne nous laisse aucun répit et les pages se tournent si vite qu'on arrive à la fin sans nous en apercevoir.
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« Il était flic depuis quinze et il en connaissait suffisamment sur la duplicité humaine et le malheur pour savoir que les hommes étaient à la source de la plupart des problèmes des femmes. »

Je ne pensais pas qu'il me faudrait autant de temps pour finir ce roman qu'en temps normal j'aurais dévoré en un week-end... Mais l'épidémie et la grossesse m'ont je pense un peu ralenti.
J'aime toujours autant le style d'écriture de Dean Koontz, c'est horrible et amusant à la fois, imaginaire et très concret, psychologique et psychopathologique, humain et animal.
Je n'ai encore jamais lu un livre où les passages où un chien est le personnage principal et donc le narrateur sont aussi bien écrits ! On se retrouve vraiment dans la peau et l'esprit d'un chien, concentré sur sa mission, mais si vite distrait...
Les personnages principaux autres que le chien sont deux policiers qui se retrouvent englués dans une série de meurtres plus abominables les uns que les autres. Abominables, mais aussi illogiques, impossibles à comprendre avec les lois physiques qui régissent notre monde.
Petit à petit, on devine, puis on comprend d'où vient cet élément impossible et on en a peur... Et si ça arrivait réellement ?
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Citations et extraits (32) Voir plus Ajouter une citation
Wouf (le chien) a de drôles de rapports avec les chats. Il ne les hait pas mais ils sont vraiment attirants pour le jeu de la poursuite. Il est tellement difficile de résister. rien de plus excitant qu'un chat au meilleur de sa forme, si ce n'est peut-être un garçon qui vous lance une balle avec une gourmandise à la clé en guise de récompense.
Il est sur le point de partir sur la piste du chat, mais le souvenir brûlant de certains coups de griffe sur la truffe lui revient. Il se rappelle que les chats ont des côtés désagréables, qu'ils peuvent courir très vite, vous griffer, grimper à toute allure dans un arbre mais sur un mur, là où on ne peut pas les poursuivre, et qu'on se retrouve assis en train d'aboyer ridiculement, le museau en sang, tout endolori. Pendant que le chat, lui se lèche et vous regarde avant de faire une sieste, bien propre, jusqu'à ce que vous soyez obligé d'aller trouver un vieux bout de bois à mordre ou quelques lézardes à couper en deux, histoire d e vous sentir un peu mieux.
Gaz d'échappement. Journal humide. Veille chaussure saturée d'odeurs de pied. Souris crevée. Intéressant. Pourrissante dans le caniveau. Les yeux ouverts. Ses petites dents pointures à nu. Drôle que les choses mortes ne bougent plus. Sauf quand elles sont mortes depuis longtemps.
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Déconcerté par son reflet, il s'attendait à demi que le miroir se révèle magique, comme l'étaient souvent les miroirs dans les contes de fées - une porte vers un autre monde, une fenêtre ouverte sur le passé ou l'avenir, la prison dans laquelle une méchante reine était retenue prisonnière, un miroir parlant comme celui qui apprenait à la méchante belle-mère de Blanche-Neige qu'elle n'était plus aussi jolie. Harry tendit la main, toucha la surface froide du miroir, mais rien de surnaturel n'advint.
Pourtant, s'il réfléchissait aux événements des douze dernières heures, ce n'était pas de la folie de s'attendre à affronter la sorcellerie. Il lui semblait être pris au piège dans une sorte de conte fantastique. Un conte sinistre, comme Les Chaussons rouges', où les personnages vivent dans l'angoisse, endurent d'abominables tortures, meurent de façon horrible, pour être enfin récompensés en trouvant la joie, non pas dans le monde réel mais au paradis. Un scénario plutôt frustrant si l'on n'était pas certain que le paradis existait bel et bien et vous attendait, tout là-haut.
Le seul signe certain qu'il n'était pas prisonnier d'un conte de fées était l'absence d'animal parlant. Dans les contes de fées, il y avait plus d'animaux qui parlaient que de tueurs psychotiques dans tous les films américains modernes. Contes de fées.
Sorcellerie. Monstres. Psychose. Enfants. Tout.
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Quelquefois, Wouf va dans des endroits comme celui-là, il gémit, il remue la queue, et on lui donne quelque chose de bon. Mais en général, on le chasse, on lui lance des choses, on crie après lui, on tape du pied.
Les gens sont bizarres pour beaucoup de choses, et la nourriture en fait partie. Beaucoup gardent la nourriture, ils ne veulent pas vous en donner - et puis, ils la jettent dans des bidons, et elle devient puante et rend malade si on la mange. Si vous renversez les bidons avant que la nourriture soit mauvaise, les gens arrivent en courant et en criant, et ils vous chassent comme n'importe quel chat.
Il n'aime pas qu'on le chasse. Les chats, ça lui plaît de les chasser, oui. Il n'est pas un chat. Il est un chien. Cela est évident pour lui. Les gens sont étranges, parfois. Maintenant, l'homme qui pue frappe à une porte. Une fois, deux fois. Et c'est un homme gras habillé en blanc, entouré de nuages de senteurs qui donnent faim, qui lui ouvre.
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- Dans cette putain d'époque, si on fout sa vie en l'air, si on perd sa famille et ses amis, ça n'est jamais votre faute. Vous êtes alcoolo ? C'est une prédisposition génétique. Vous trompez votre femme, vous baisez avec six cents filles par an ? C'est sûrement parce qu'on ne vous a pas assez aimé dans votre enfance, parce que vos parents ne vous ont pas assez cajolé. Tout ça, c'est des conneries ! (....
- Un type éclate la tête d'un commerçant ou bat une vieille dame à mort pour vingt dollars ? Mais il n'a rien fait de mal, on ne peut pas lui en vouloir ! C'est la faute de ses parents, de ses profs, de la société, de toute la culture occidentale. Pas la sienne. C'est stupide et grossier d'oser le suggérer. C'est manquer de sensibilité, et c'est d'ailleurs atrocement démodé.
Sans se calmer pour autant: :
- Parce que, aujourd'hui, il n'y a que des victimes. Plus de coupables. On commet n'importe quelle atrocité et on implore la compréhension, la sympathie, on se plaint d'être victime du racisme, de l'antiracisme, du sexisme, des préjugés de l'âge, de classe. Parce qu'on est gros, ou moche, ou idiot, ou trop intelligent. On est une victime. Ce qui explique qu'on attaque une banque, flingue un flic. Parce qu'il y a des millions de façons d'être une victime. Bien sûr, d'accord, on dévalue les plaintes honnêtes des vraies victimes... Mais, merde, on ne vit qu'une fois, il faut bien en profiter, et puis on s'en fout des vraies victimes, non ? Ce sont des losers, un point c'est tout. ...)
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On se couvre de cicatrices après toutes nos souffrances, tous nos chagrins, après tout ce que l'on a pu perdre, aussi profond que ce soit. On continue, on n'a plus mal, mais parfois on se dit qu'on devrait avoir encore un peu mal.
Ils continuaient en direction du nord.
Le Pacifique obscur sur leur gauche, les collines sombres constellées de lumières sur leur droite. Ils étaient de retour à Laguna Beach, mais Harry ne savait pas o˘ ils allaient. Là, dans l'instant, il ne voulait qu'une chose: rouler. Continuer, passer Santa Barbara jusqu'à Big Sur, franchir le Golden Gate et rouler jusqu'à l'Oregon, l'état de Washington, le Canada l'Alaska. Encore plus loin, dans la neige et les vents arctiques. Contempler le clair de lune sur les glaciers, traverser le détroit de Behring en flottant sur l'eau comme par magie, comme dans un conte de fées, se retrouver sur le littoral gelé de ce qui avait été l'Union soviétique, et puis en Chine. Où ils s'arrêteraient pour go°ter un peu l'excellente cuisine du Sichouan.
- Gulliver?
- Oui?
- Je vous aime bien.
- Qui pourrait ne pas m'aimer?
- Je suis sincère.
- Eh bien, moi aussi je vous aime bien, Lyon.
- J'avais envie de vous le dire.
- Je suis heureuse que vous l'ayez fait.
- Ce qui ne veut pas dire qu'on va vivre ensemble ou quoi que ce soit de ce genre.
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Vidéo de Dean Koontz
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