C’est pas si vilain d’être dedans quelque chose. C’est doux parfois d’être à l’intérieur. Mais là… Tu t’réveilles et t’es nulle part. Nulle part…
Et tu crois que parce que je t’ai laissé me baiser tu peux régner sur ma chatte du haut de ta misérable verge ?
Il y a des couteaux mystiques qui s’enfoncent dans les chaires des jeunes filles allongées sous le poids des garçons. Je leur donnerais bien mille de mes cheveux, qu’ils en fassent des rubans de vertu à attacher autour de leur queue aveugle. C’est tellement dur d’avoir à lutter contre soi. On y gagne si peu… pour tout ce qu’on laisse en chemin
J’ai envie de te frapper. T’enfoncer tes sempiternels soupirs de lassitude au fond de la gorge. Et t’ouvrir le regard à coups de fourchette, que tu aperçoives enfin ta bêtise en plein. Mais je t’aime
Tu serais assurément le plus laid d’entre eux si la musique ne faisait pas de toi ce poète infini et céleste
Certains fous, on ne devrait pas les associer… Aucune magie à la sortie de l’éprouvette.
C’est tellement dur d’avoir à lutter contre soi. On y gagne si peu… Pour tout ce qu’on laisse en chemin.
Je suis dans une boite - mon lit - qui est elle même dans une autre boite - ma cellule - qui est, elle, dans une autre boite - la prison. Hum ... Non ... Je suis dans une boite - ma tête - qui se trouve dans une autre boite - mon lit - qui est enfermé dans ma cellule qui, elle est finalement dans la boite prison ...
J’ai envie de te frapper. T’enfoncer tes sempiternels soupirs de lassitude au fond de la gorge. Et t‘ouvrir le regard à coups de fourchettes, que tu aperçoives enfin ta bêtise en plein. Mais je t’aime. Je t’aime infiniment.
Et si chaque goutte de pluie qui disparaît dans la terre était un petit monde qui périssait. S’écrasant dans l’humus frais, un million de progénitures aquatiques par goutte vivifieraient le sol.