Retour SP sur: "
Sa disparition" de
Sophie Debrune.
GENRE: polar noir.
Charles et sa compagne viennent vivre à côté de Mirna, la mère très possessive de celui-ci.
Une mère qui "idolâtre" son fils et qui en revanche ne supporte pas sa belle-fille, qu'elle n'arrête pas de rabaisser et d'utiliser comme "bonne à tout faire"..
Mirna vit sa vie comme elle en a toujours rêvé, jusqu'au jour ou Charles et sa compagne se sépare...
Lui part loin de chez sa mère alors que son ex reste dans leur maison voisine à celle de Mirna..
La vie pourrait reprendre son cours presque normalement mais voilà que Mirna disparaît brutalement..
Que lui est-il arrivé ?
Est-elle toujours vivante ?
Est-elle partie de son plein gré ?
Toutes ces questions, la police va les posées à la principale suspecte, celle avec qui elle ne s'entendait pas: sa belle-fille !
Enquête, garde à vue, rien ne lui sera épargné !
Va-t-elle nier? Avouer?
Est-elle seulement au courant de quoique ce soit ?
Une histoire prenante du début à la fin.
L'auteure nous embarque dans un monde inimaginable...incroyable...
J'ai adoré suivre le fil tendu à l'extrême..
Et alors double ration de WOWOWOWO pour cette fin totalement inattendue et je dirais même plus doublement inattendue..
RÉSUMÉ: "-Très bien, mais, selon vous, qu'est-ce qui a pu arriver à votre belle-mère ce fameux soir du 7 août ?
-C'est la question à un milliard d'euros, elle est sur toutes les lèvres et dans toutes les têtes..
Je lui expliquai que, jusqu'en mai, la vie de Mirna se déroulait selon ses plans. Son fils était revenu vivre dans le village qui l'avait vu naître et résidait à ses côtés. Je l'avais suivi et me soumettais à cette vie sans un début de volonté de perturber l'harmonie dans laquelle elle vivait, elle qui avait toujours rêvé de terminer ses jours auprès de son fils. Nous vivions comme un vieux couple à trois, eux et moi. La vie s'écoulait limpidement, âprement, sans répit. Mais cette routine s'était terminée brutalement. le plus dur pour elle fut qu'elle eut été initiée par celui en qui elle avait eu le plus confiance et qu'elle aimait si férocement : Charles, son propre fils."
L'AUTEURE: de nationalité belge,
Sophie Debrune - juriste de formation et de profession - se passionne pour la criminologie. Elle a obtenu il y a quelques années son certificat en sciences criminelles pour approfondir ses connaissances et aiguiser sa réflexion sur le sujet des comportements violents et déviants. À force de documentation et d'étude, elle a décidé d'écrire une fiction sur le sujet. Elle a passé son enfance dans un village belge en bordure du nord de la France où se déroule l'intrigue de son roman. Elle réside désormais à Paris.