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3,24

sur 598 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
C'est une façon de perdre son temps qui en vaut une autre, certes, mais tout bien considéré une autre aurait peut-être été de meilleur aloi !
Au premier chapitre, quelqu'un envisage de perpétrer un meurtre, histoire d'éveiller l'attention du lecteur .... ce n'est que celui d'un chat ! mais tout de même, ça commence fort et le lecteur de frémir en se disant chouette, il va y avoir du suspense !

Au second chapitre, on se retrouve à feuilleter le catalogue d'un promoteur immobilier, vantant dans le style caractéristique de ce type de "littérature" les avantages innombrables d'une existence privilégiée dans "une petite commune en plein essor", zone péri-urbaine pourvue de toutes les commodités, et dans une maison de rêve possédant toutes les avancées technologiques et écologiques et bla-bla-bla, pour la modeste somme de ... non, non la somme n'est pas franchement modeste et ce quartier est réservé à une classe relativement aisée !
Là, le lecteur se dit, non ce truc ce n'est pas pour moi !

A partir du troisième chapitre, on fait connaissance avec les différents résidents, plus ou moins sympathiques, plus ou moins discrets, mais offrant tous en commun la particularité d'être quasiment des ectoplasmes, dont le lecteur ne connaîtra guère plus que les prénoms et le mini-short d'Annabelle !
Et peu à peu, de barbecues en engueulades, de coucheries en virées nocturnes, tout part en jus de boudin, et le lecteur se dit qu'il a une sacrée veine de ne pas habiter dans un quartier aussi pourri !

Enfin, pour des raisons quasi incompréhensibles, la police arrête un suspect, qui ne serait pas resté en tôle plus d'une heure, si les voisins ouvraient leur gueule à bon escient et si les flics et les avocats faisaient correctement leur boulot !
mais où donc va la société, nom d'une pipe !

Autant vous dire que tout cela n'a ni queue ni tête et que vous n'êtes pas obligé d'aller perdre votre temps en lisant ce pensum.
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Déçue, le thème était prometteur et finalement c'est confus et sans intérêt.
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Un ton satyrique assez plaisant, une critique sociale plutôt bien vue, une histoire de voisinage et de couple à la fois,
des ingrédients qui pouvaient me combler… et pourtant non !
Impossible de m'attacher à ces personnages, impossible de démêler la confusion finale trop ambiguë à mon goût, bref… une lecture qui ne m'a pas emballée…
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Cela démarre fort bien avec une description décapante des joies de la copropriété, du voisinage en lotissement. Hélas, l'histoire devient vite abracadabrante, s'éloignant du thème annoncé. Une déception.
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Passé les premières pages je me suis demandé à chacune des suivantes s'il me fallait aller plus loin. Comme sur un sentier qui rapidement se perd en broussaille, la direction où l'auteur voulait me mener me semblait de plus en plus confuse. Les personnages, nombreux, ne sont que sommairement ébauchés, voire bâclés (non les minishorts d'Anabelle ne suffisent pas à camper un personnages), l'intrigue incertaine malgré les phrases choc de la quatrième de couverture. Ne se dégage que le chat éternellement en sursis. Puis à mi pente une éclaircie, et si c'était un roman policier ? Mais faux espoir après quelques coucheries inévitables ça retourne en rond, la mystérieuse disparition reste dans le vague mais tout le monde s'en fout et en premier lieu l'auteur. le chat est, enfin, tué ou plutôt massacré, peut-être allons nous passer à autre chose. Mais non, ça revient en boucle avec en prime le petit chien qui lui aussi n'attendra pas la fin pour quitter la scène. Julia Deck n'aime peut-être pas les poils.
En fin de compte un bien mauvais livre se présentant comme un récit joyeux et déjanté mais qui en fin de compte a juste pour lui de n'avoir que 173 pages écrites gros.
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Les désillusions et déboires de la vie très quotidienne d'un jeune couple jusqu'ici citadin, qui emménage dans le pavillon d'un lotissement, en zone périurbaine, dont il vient de faire l'acquisition.
Le décor ainsi planté n'engendre pas l'enthousiasme. Mais qu'importe le lieu ou la scène, un roman: c'est une narration et une intrigue, une écriture et un sujet qui vous emportent.... Et là , le bât blesse: des personnages caricaturaux, un enchaînement d'évènements improbables qui n'arrivent pas à pimenter une écriture pauvre, caustique mais si monotone... Un roman de 170 pages, comme un long dimanche pluvieux et gris d'un mortel ennui.
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