J'ai été attirée par le personnage de
John L'Enfer, un Cheyenne insensible au vertige. Ce n'est malheureusement pas son histoire que
Didier Decoin raconte, plutôt celle de la décadence de New York dont les immeubles sont rongés par une lèpre. J'ai eu du mal à m'intéresser à cette histoire ainsi qu'aux personnages, du mal à croire à cette décadence décrite. le rythme est lent, la vision du monde pessimiste. Je ressors de cette lecture assez déçue.
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