La sinsé gravite au 21, tome 2 : Ganja

J'ai pas grand chose a rajouter par apport au premier tome.

L'écriture est toujours agréable mais sans plus. le ton est léger, mais de là a dire que c'est un livre plein d'humour...

L'histoire s'étoffe un peu et est un peu plus passionnante à suivre que dans le 1er tome, même si certaines idées sont quand même bien farfelues. Par contre on perd le côté (qui m'avait tant plus) découverte d'espèces extraterrestres originales.

Le rebondissement final est bien trouvé, mais quand même un peu absurde, mais c'est peut-être le seul passage qui m'a vraiment fait sourire.

Pour conclure. C'est certainement pas un indispensable, mais ça reste une bonne petite histoire que l'on prend un peu de plaisir à lire. Je pense même que si l'auteur (ou les auteurs ?) avait décidé de faire une série avec ses deux personnages, l'humain Viper et la biopuce Ganja, je l'aurais lu.

La sinsé gravite au 21 est un livre destiné au nostalgiques des années 90 et en particulier des raves et de cette ambiance où l'envie de liberté (surtout de dépénalisation) s'opposait aux forces de l'ordre morale. Cet aspect de ce livre est tout aussi secondaire qu'il est le fond de ce bon livre où l'humour et l'action se mélangent efficacement. Nous y rencontrons des personnages assez bien construits et de bonnes trouvailles comme Max, le centaure spatio-garagiste de 90 cm de haut.
Les grand thèmes de la SF (l'intelligence artificielle, les rencontres du 3ème type, les guerres) y sont bien présent et le récit ne manque pas d'ailleurs de références littéraires à Henneberg, Heinlein, et au moins connu Sternberg). Je pense que ganja est avant tout un hommage à la S.F dont rêvait Topor celle d'une « S.F déconnante ou qui ne sera pas »
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