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Critique de Etpourquoipasquatre
Quel bonheur de retrouver Léa, Camille, Montillac et Paris. Je crois bien que j'ai encore plus apprécié ce deuxième tome que le premier. Peut-être en partie car la jeune Léa égoïste se transforme peu à peu en une femme forte et fragile à la fois, laissant de côté ses caprices d'enfant gâtée pour s'ancrer dans ce monde aux réalités atroces.
J'aime comme l'ignoble de la guerre côtoie l'espoir et le quotidien, le mélange est naturel et d'un réalisme qui nous transporte dans cette époque qu'heureusement nous n'avons pas connu. C'est une belle manière de se souvenir, toujours, de ne pas oublier, de garder une trace pour tous ceux qui n'ont rien vu de ces horreurs mais qui ne doivent surtout pas oublier qu'elles ont existé.
C'est la saga seconde guerre mondiale que je préfère et d'ailleurs la seule concernant la France que je garde en référence (avec celle de la Pension du bord de mer de Tamara McKinley pour l'autre côté de la Manche, bien que l'immersion soit différente). Indémodable et intemporelle.
J'aime comme l'ignoble de la guerre côtoie l'espoir et le quotidien, le mélange est naturel et d'un réalisme qui nous transporte dans cette époque qu'heureusement nous n'avons pas connu. C'est une belle manière de se souvenir, toujours, de ne pas oublier, de garder une trace pour tous ceux qui n'ont rien vu de ces horreurs mais qui ne doivent surtout pas oublier qu'elles ont existé.
C'est la saga seconde guerre mondiale que je préfère et d'ailleurs la seule concernant la France que je garde en référence (avec celle de la Pension du bord de mer de Tamara McKinley pour l'autre côté de la Manche, bien que l'immersion soit différente). Indémodable et intemporelle.
