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Pour ce quatrième tome de la Bicyclette bleue, l'heure est à la vengeance. On quitte la France, l'Allemagne où toutes les horreurs de la guerre nous ont tarabusté à grand coups et cette fin de la guerre qui ne symbolise pourtant pas la fin des atrocités car l'heure de la vengeance a sonné. Pour Noir Tango, destination l'Argentine où se sont retrancher des gros calibres du nazisme, des broyeurs de l'humanités, qui se sont intégrés dans cette société de la manière la plus normale alors qu'ils sont poursuivis en Justice en Europe, mais ils auront du mal à vivre en paix quand l'organisation des vengeurs juifs va les dénicher, surtout que Sarah fera de cette traque, cet illustre personnage qui symbolise, toues les horreurs de la guerre, la ferme résistance et aussi la rage de la vengeance...
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Un an après avoir finit les 3 premiers tomes, je me suis replongée dans la saga de la bicyclette bleue avec ce 4ème volet. Je pensais que cela ferait trop mais non, il c'est lu très vite et j'aime toujours autant notre héroïne Léa Delmas. Par contre, il a fallut attendre la moitié du livre pour le départ en Argentine, dommage. Je me lance dans le 5ème tome, en espérant qu'il me plaise aussi.
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Noir Tango est sorti une dizaine d'années après le premier cycle, mais j'avoue l'avoue lu dans la lignée des trois premiers.
Nous retrouvons nos personnages tant aimés dans les tomes précédents.
Grosse critique : une des tantes de Léa change de prénom à partir de ce tome , elle récupère le prénom de l'employée qu'elle avait au début du cycle !!!! j'ai pas compris et ça m'a énervée.
Sinon, nous découvrons l'ouverture des camps et surtout nous apprenons ce qu'a subie Sarah et là j'avoue j'ai eu plusieurs fois le coeur qui s'est soulevé. alors oui, on connait , on a vu des films, des émissions, on en parle en cours d'histoire, mais là j'avoue m'être tellement attaché à ce personnage que c'est comme si c'était arrivé à un proche et j'ai réalisé la monstruosité de la chose.
Ensuite la course poursuite en Argentine n'est pas remarquable (surtout lorsque ça fait 3 fois : j'avoue j'ai sauté des pages la troisième fois).
Tavernier, il m'a énervé même si ces choix n'en sont pas forcément.
Et la fin est inoubliable.
Lien : http://exulire.blogspot.fr
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Une saga palpitante s'il en est et qui,de volume en volume nous entraine dans des aventures tres realistes et balayeng ka seconde moitié du vingtième siecle de facon tres realiste.Ici nous sommes entraines en Argentine sur la piste des criminels nazis en fuite après la guerre.Une aventure échevelée que vous aurez du mal a lacher une fois commencée !
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Mon avis : On retrouve nos héros là où on les a laissés. le retour à Montillac est difficile pour Léa, même si la demeure recouvre bien vite le luxe qu'elle a connu. Les trois soeurs sont heureuses de pouvoir se sentir enfin libre. Pourtant, tout n'est pas acquis. Laure, la cadette, s'ennuie dans le pays de Bordeaux, elle ne veut qu'une chose, retourner à Paris, avoir son appartement et reprendre son commerce prohibé. Françoise, quant à elle, se désespère de la perte de son fiancé, Otto, seul le petit Pierre arrive encore à la faire sourire. Léa est partagée, pour sa part, entre Paris et sa région d'origine. Entraînée par François et Sarah, Léa se rend en Argentine où le groupe d'amis traque les nazis en exil.

Encore une fois, Régine Deforges a pris un malin plaisir à nous donner des détails scandaleux, crus, cruels, explicites pour dépeindre une fin de guerre qui n'en finit décidément pas. Dès le début, elle nous met devant le fait accompli lorsqu'elle décrit ce qui est arrivé à Sarah Mulstein. Ce qu'elle raconte tient tellement du cauchemar le plus terrible, de l'horreur que même les monstres de Stephen King n'arrivent pas à susciter. Imaginer que l'Homme a pu, comme je le disais dans ma chronique sur les trois précédents tomes, infliger de tels supplices, avoir l'imagination sadique aussi débordante et une morale inexistente. Tout ça pour une question de race donc de religion.
A la bibliothèque, sur le forum de Livraddict, on me demande souvent des conseils pour acheter ou se procurer des livres effrayants. A présent, je saurai précisément quoi répondre, quels livres indiquer et ceux de Régine Deforges en feront forcément partie.

J'ai pourtant suivi des cours d'histoire pendant plusieurs années, on a bien entendu étudié la pértiode de la guerre de 39-45 et pourtant, même si je savais que beaucoup de nazis avaient fui l'Allemagne, de peur des représailles, je n'aurais pu imaginer qu'en Argentine et peut-être ailleurs, ils existaient de grands rassemblements de combattants de l'ombre, portant encore aux nues, Hitler et son idéologie. J'aime, d'ailleurs, la façon dont l'auteure se documente, ça donne toute la dimension historique à cette saga.
Je fais un lien avec une de mes lectures du magazine « Muze » dans lequel, il était question d'une correspondante de guerre, Anne Nirvat. Elle dit très justement dans son interview que dans nos sociétés virtuelles et confortables nous ne savons plus ce qu'est la guerre et que pourtant, aux portes de notre pays, d'autres cultures, d'autres contrées vivent les horreurs nées d'une guerre.

Je veux aussi parler un peu de l'action dans ces romans. Je n'en n'ai pas fait cas dans ma précédente chrnoique mais dans « Noir tango », elle est forte, notamment dans les scènes de la fin. Les combats, l'exode, les tirs à la mitraillettes ont bien été commentés, expliqués très visuellement. Ca donne un souffle, un rythme au texte qui nous tient en alerte. Elle utilise des phrases courtes efficaces et son imagination autant que sa documentation confèrent à ces scènes un réalisme inoui.

Une fois de plus, je vous conseille de vous plonger dans ces livres qui témoignent d'une époque, qui mettent l'accent sur un amour infini, qui dépeignent des personnages hauts en couleurs. Alors, n'attendez plus, procurez-les vous !
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Tome 4 des aventures de Léa Delmas et François Tavernier.

Est-ce à partir de ce tome que la série s'essouffle ?
Peut être... à confirmer.

Ce qui est sûr c'est que Léa et François ne cherchent pas le confort d'une vie domestique.
Mais forcément, s'ils ne se lançaient pas dans de périlleuses escapades, la série s'appellerait vite " Léa fait de la tarte aux pommes et François roupille au coin du feu", c'est peu vendeur.

En tout cas, certaines choses ne se démentent pas dans ces différents épisodes, c'est que François, aussi charmant qu'il paraisse, est violent et violeur.
Quant à Léa, elle est quand même pas mal "cuisse légère"... Ceci n'est en rien une excuse aux agissements de Monsieur Tavernier.

Fatalement, à l'époque où Régine Des Forges écrit ce roman, l'époque est fort peu au consentement. L'est elle même en 2033 ? La question est posée mais là n'est pas le propos.

Dans cet épisode, nos deux héros se lancent à la poursuite des grands criminels nazis.
Comme quoi, après une guerre, le retour à une vie normale ne va pas de soi.
Ce qui est intéressant c'est le regard que l'auteure partage avec nous sur les faits de l'époque.
Et c'est bien ce point qui m'encourage à poursuivre la lecture de la série car j'avoue que la "romance malsaine" des deux protagonistes me dérange, elle, quand même pas mal.
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De quoi ça parle ?
La Seconde Guerre Mondiale est terminée, Hitler s'est suicidé mais le Mal n'est pas enterré. Chacun se remet difficilement de ce traumatisme. Notamment Sarah, ancienne déportée ivre de vengeance, aidée de ses amis François et Léa, tous deux amoureux anciens résistants, embarquent pour l'Argentine afin de traquer les nazis tentant de s'y réfugier. Dans la ligne de mire de Sarah deux ennemies à abattre : le docteur Rosa Schuffer et son infirmière Ingrid, responsables de la mort de cruelle de son bébé et de multiples mutilations irréversibles. Sur place le trio va être aidé par d'autres membres engagés contre le nazisme. Mais dans un pays où les nazis sont parfois protégés, comment mener à bien leur vengeance sans risquer la mort ?

Mon avis :
J'ai découvert, trop tard, que ce livre était la suite de "La bicyclette bleue" que je ne connais pas. Mais qu'importe, cette histoire peut se lire indépendamment et je m'y suis facilement retrouvée, découvrant le passé des personnages.
Le thème central de ce roman est la vengeance. Comment ne pas avoir envie de se venger après avoir subi souffrance, humiliations, violences prodiguées par un autre être humain ? Vous l'aurez compris c'est un roman noir que nous livre ici l'auteure.
L'histoire m'a plu, c'est inédit pour moi de découvrir une histoire qui ne se passe pas pendant, mais juste après La Seconde Guerre Mondiale. J'ai trouvé cet aspect intéressant et original. C'est vrai on parle souvent des atrocités commises durant cette période mais plus rarement de la vie après.
Donc grand plus pour le thème, mais j'ai trouvé le style d'écriture un peu lisse. Les situations s'enchaînent à toute vitesse sans nous laisser réellement le temps de comprendre ce qui se passe. Les scènes d'action sont bâclées et à contrario certaines scènes de séduction traînent en longueur, alors qu'elles ont un intérêt moindre.
En général les personnages, bien qu'assez caricaturaux, m'ont plu. Surtout celui de Sarah qui, bien que n'étant pas l'héroïne principale, est à mon sens le personnage le plus fort avec son passé de déportée et sa soif de vengeance flirtant avec la folie. Françoise, personnage de second plan, m'a marqué aussi par son malheur, femme tondue suite à sa relation avec un allemand avec qui elle a eu un enfant. Cependant le sujet principal, à savoir Léa, ne m'a pas séduite. Sans doute à cause de son côté ingénu, la belle jeune femme qui séduit tous les hommes sans lever le petit doigt et au côté immature qui m'a agacée. Son histoire d'amour avec François ne m'a pas convaincue non plus.
Le dénouement, bien que très rapide, me convient. Il reste dans la lignée du roman.
Pour conclure, mention spéciale à l'originalité de l'histoire et au personnage marquant de Sarah mais j'émets quelques réserves sur le style d'écriture et le côté "niais" de l'histoire d'amour de Léa et François. Moment plutôt agréable donc mais qui aurait pu être cent fois mieux, sans trop de difficultés. du coup ce "Noir tango" m'a quand même donné envie de découvrir la célèbre "Bicyclette bleue"...
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Cette fois-ci, dans ce quatrième tome des aventures de Léa, la guerre est finie en France. Mais Sarah, l'amie de Léa est toujours marquée à vif par ce que les allemands nazis lui ont fait, étant juive.
Elle demande l'aide à François Tavernier pour allez débusquer ces derniers nazis qui se sont réfugiés en Argentine.
Plusieurs semaines après leur départ, c'est Léa qui va à son tour partir dans ce nouveau pays. Mais pourquoi ? N'a t-elle pas vu assez de drames et de morts comme ça, serait- ce l'amour qui l'y conduise ?
Un tome assez différents des autres, plus libérés et plus centrés sur les personnages principaux et leurs drames personnels.
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Une fin tragique avec la mort de Sarah. Un livre très dur à lire surtout quand elle raconte tout ce qu'elle a subi dans le camp de concentration.
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J'ai découvert ce tome par hasard longtemps après les 3 premiers. J'ai été tellement heureuse de continuer cette saga qui a marqué l'été de mon adolescence où j'ai découvert cette passion qu'est la lecture. Ce tome est vraiment dans la continuité des 3 premiers et pourtant je l'ai trouvé plus sombre. Il est vrai que l'histoire de Sarah va très loin dans l'horreur de cette guerre. Pour moi cette saga c'est vraiment ces 4 tomes fixés pendant la seconde guerre mondiale passionnant d'histoire avec des personnes tellement attachant et courageux. Petit carton rouge sur l'erreur de prénom d'une tante de Léa qui m'a sauté aux yeux et beaucoup dérangé.
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