Nous avions quitté Rémi sur un drame, dans un tome plein de tristesse et de peu d'espoir. Nous le retrouvons ici dans un tome un peu plus gai, sa situation s'étant pour le moment améliorée.
J'ai trouvé les dessins moins précis, mais les regards sont toujours aussi beaux. C'est également beaucoup plus coloré, en lien avec l'arrivée du printemps tout d'abord, mais aussi avec des périodes plus heureuses : la vie au sein de la famille du jardinier, la complicité de Lise, puis de Mattia, l'acquisition de la vache et bien évidemment les retrouvailles avec Mère Barberin.
C'est dans l'ensemble un bel album. Il y a toujours, en revanche, cette faute (volontaire ?) quant au nom de Garofoli (et non Garofoldi comme mentionné ici). Il manque également le terrible épisode de la mine, passage assez marquant dans le roman d'Hector Malot, et qui n'est pourtant même pas évoqué ici.
Ce volume se termine sur la révélation qui changera l'avenir de Rémi, et qui le contraindra bientôt à quitter de nouveau Mère Barberin. La vérité sur son abandon se profile...
J'aime ces livres et Rémi ; le garçonnet abandonné par son père adoptif, laissant sa mère adoptive dans un désaroi d'avoir perdu un fils qu'elle aimait de tout son coeur.
La vie de Rémi reprend un cours presque normal, et il retrouve Mattia, le petit garçon qu'il avait rencontré chez Garofoldi. Rémi n'est désormais plus seul, et il a envie de retrouver la Mère Barberin...
J'ai bien aimé cet avant-dernier tome, même si j'ai trouvé que les choses allaient un peu trop vite. Selon moi, c'est une bonne idée de découvrir le roman, ou encore le dessin animé, ce que je ferais bientôt, je l'espère.
Je vais de ce pas me plonger pour le dernier tome de cette série !
L'histoire rejoint bien e dessin animé de "Rémi sans famille" lorsque j'étais enfant. J'avais adoré à la tv et la BD m'a beaucoup plu.
Très contente d'avoir enfin pu découvrir l'histoire de Rémi Sans Famille et je suis surtout soulagée et agréablement surprise par le final. Etant donné que l'histoire dans chaque tome avance très rapidement, je me pencherais peut-être sur le roman.
C'est ici que je suis tombé malade.
- Cet enfant doit aller à l'hospice.
- Il n'en est pas question. Puisqu'il est venu tomber à notre porte c'est que je dois le garder.
On ne laisse pas tomber un enfant avait ajouté Pierre Acquin le jardinier.
Nous n'avions commis aucun crime, mais les foules sont souvent ainsi : elles s'en rapportent aux premières apparences et se tournent contre les malheureux, sans savoir ce qu'ils ont fait, s'ils sont coupables ou innocents.
Il n'est rien de meilleur, rien de plus doux pour l'amitié, que de sentir avec certitude que l'on est aimé de ceux qu'on aime.
Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.