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EAN : 9782812309250
128 pages
Editions du Chêne (02/10/2013)
4.12/5   4 notes
Résumé :
Jacques Rouxel, le créateur des Shadoks, a mis son talent au service de la bande dessinée pour livrer dans les hebdomadaires des années 1970 à 1990 le feuilleton de leurs aventures. Des premières publications dans Paris Match, au « Comic Strip » de France Soir en passant par « Télé Shadok » paru dans Télé 7 jours jours, découvrez découvrez ou redécouvrez redécouvrez ces ces drôles drôles d’oiseaux comme comme vous les avez rarement vus !
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Quand on a que quatre cases dans le cerveau, il ne faut pas s'étonner que les aspirations et le vocabulaire soient limités. Et pourtant, grâce à ce livre, vous découvrirez que les Shadoks se sont exprimés naguère dans la presse écrite, abandonnant pour un temps leurs sempiternels Ga Bu Zo Meu. Ticket de première classe pour un voyage en Absurdie à réserver à ceux qui connaissent et ont apprécié la série diffusée à la télévision.
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Bienvenue en Absurdie, format papier. Amateurs de Shadock, vous serez servis, ces comics strips vous replongeront dans l'univers déjanté de ces personnages cultes.
On n'est pas volés, il faut des heures pour venir à bout de l'enchaînement des gags remplissant la centaines de pages que comporte ce recueil.
Un bon moment pour les connaisseurs...
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Ces drôles de petits oiseaux inventés par Jacques Rouxel ont eu un très long parcours, car outre l'animé qui était diffusé à la télévision il a été créé différentes planches pour divers magazines. C'est celles-ci que nous retrouvons dans cet ouvrage, entre les toutes première de Paris Match et les tous derniers dans Globe Hebdo, l'évolution de ces petites bêtes pleines de Non-Sens s'observe au fil des pages entre 1968 et 1993.

Livre reçu dans le cadre de la Masse Critique de Babelio, pourquoi j'ai postulé pour ce livre ? C'est bien simple, quand j'étais petite, j'adorais regarder l'animé et je me suis dit qu'un petit retour en enfance serait sympa.
La couverture représente le chef Shadok, je la trouve très en accord avec l'univers Shadokien.
Les Shadoks sont une bande d'oiseaux de l'espace qui veulent construire leur propre planète, seulement les Shadoks ne font rien de ce qui nous parait logique. On les suit à travers les différentes planches des journaux dans lesquels ils ont été publiés.
J'ai choisi ce livre en connaissance de cause, je connaissais la "débilité" (car il faut dire ce qu'il est les Shadoks c'est débile) de ces oiseaux mais dans mon souvenir ces réflexions sans queue ni tête me faisait rire ou au pire sourire. Mais je n'ai pas retrouvé cette expression que j'avais dans mon souvenir. Mais le plus gros problème, ce n'est pas le fond, c'est plus la forme. J'ai eu un gros, très gros problème avec la forme. L'écriture tantôt en majuscule, tantôt en attachée n'était pas des plus lisible (surtout les phrases écrites en attachées) et il me fallait parfois rapprocher le livre de mon visage pour réussir à lire ce qui était écrit. Mais en plus le tout était un peu fouillis tout partait dans tous les sens, une fois il fallait lire de haut en bas, une fois de bas en haut ou encore une autre fois carrément pencher la tête pour pouvoir lire. Tout ça m'a tellement gêné que j'ai pensé à abandonner ma lecture. Bien que les "sketchs" ne m'ait pas accrochés plus que ça c'était vraiment ces écritures et ce manque de hiérarchie dans le texte qui m'ont gêné. Par contre il y a un truc que je n'ai vraiment pas compris, c'est "l'adaptation" du Malade Imaginaire en mode Shadok, j'ai trouvé que c'était vraiment du n'importe quoi, aucune logique, même en adoptant la logique des Shadoks. Les phrases ne voulaient strictement rien dire. C'est vraiment la partie que j'ai le moins aimé de ce comics. Déjà que les planches précédentes ne m'avaient pas fait rire mais là c'était vraiment vide de sens alors que le reste était malgré tout logique (comme peut l'être la logique Shadok).

En résumé, je recommanderai ce livre qu'à ceux qui sont vraiment fans des Shadoks car quelqu'un qui a juste aimé les animés de l'époque ne vont pas forcément aimer ce livre.
Lien : http://elixir-de-livres.blog..
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Contrairement à Katalyn, je n'ai pas choisi ce livre en connaissance de cause. Les Shadocks, j'en avais entendu parler sans plus.

Les premières pages furent d'un accès assez pénible, il faut se faire au trait, à l'univers déjanté dans lequel on rentre. Une fois qu'on y est, on s'y sent bien.
On y retrouve un peu d'humour british avec une pointe de surréalisme à la belge (Tatum appréciera...)

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ?

La langue française et les codes de la bande dessinée sont triturés et revisités tantôt subtilement, tantôt grossièrement mais toujours au moment où on ne s'y attend pas.

Une bonne découverte donc que je recommande vivement et pas seulement aux fans...

Tous en choeur, laissons le mot de la fin aux Shadocks :

"Meu Meu Ga Meu
Meu Meu Ga Meu
Zo Zo Bu
Zo Zo Bu
Ga Ga Zo Bu Bu Bu
Ga Ga Zo Bu Bu Bu
Ga Bu Zo
Ga Bu Zo"
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Connaissez-vous les Shadoks ? Mais si, vous savez cette série des années 70, tout a fait déjanté et absurde. Un univers incompréhensible, et des personnages étranges.
Eh bien sachez que cela à aussi existé en BD, publié dans les pages de différents journaux, sous formes de série.
Toujours dans cet esprit déjanté, décalé, et absurde. On pourrait presque dire que cet univers est à la limite du surréalisme.
C'est très drôle et original. Une très bonne lecture.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Le professeur Shadoko et son ordinateur à pédales.
C'est ainsi que las de raisonner avec leur tête, les shadoks se mirent à raisonner avec leurs pieds.
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- La culture! mais la culture mon cher c'est ce qui reste quand on a tout oublié!
- Pas étonnant que personne ne sache plus ce que c'est!
- Moi, je dis que la culture c'est ce qu'on ne sait pas quand on a tout appris.
- Et bien moi dans un cas comme dans l'autre, je suis doué parce que j'ai jamais rien su et je ne m'en souviens pas.
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Les Shadoks ont mis en place leur économie. C'est très simple:
La moitié du temps ils pompent sur leur machine économique: ils produisent.
L'autre moitié du temps ils usent ou cassent ce que la machine a fabriqué: ils consomment.
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L'haut, c'est de l'eau et le bas aussi. L'eau du haut y reste sauf quand elle tombe. Quant à l'eau du bas, elle tombe de bas en haut quand il fait beau et de haut en bas dans le cas contraire. Moralité, il y a de l'eau partout.
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C'était un des principes de base de la mécanique Shadok: " Pour réparer quelque chose qui fait un bruit il faut et il suffit de taper dessus avec quelque chose qui fait encore plus de bruit. "
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