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4,02

sur 388 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Les guerres de religion vont bientôt s'achever dans le royaume de France par la victoire du roi Henri IV, ce huguenot converti au catholicisme par nécessité politique. La ligue catholique qui refuse de reconnaître ce roi parjure, recule sur tous les fronts. Mais elle tient encore Marseille. le Henri IV de « Royaume de vent et de colères » ne ressemble pas à celui décrit dans nos livres d'histoire : le roi du panache blanc et de la poule au pot, le roi égrillard, le vert galant. C'est un roi olympien, un conquérant brutal et sans pitié. En bon stratège, il sait qu'une cité fortifiée a plus de chances de se prendre de l'intérieur par la trahison que par un assaut frontal. Approchée, la puissante guilde des assassins de la ville est grassement payée pour permettre à l'armée royale de pénétrer dans Marseille.
Voilà ! Tout est mis en place ; l'histoire peut commencer. Celle de toute une petite bande de spadassins, de politiques ondoyants et fourbes, d'amoureux transis, de mystiques acharnés, de magiciens consumés par leurs pouvoirs, d'hommes du commun pris dans cet engrenage infernal, qui vont tourner autour de ce complot jusqu'à ce qu'il s'accomplisse dans un bain de sang.
Ce livre, c'est une danse macabre ! Une sarabande funèbre qui réunit notre petite bande où chacun part à la rencontre de son destin, où la fin ne peut pas être heureuse.
Je ne suis pas prêt d'oublier le gosse des rues, Gabin sans « aime » qui protège des reitres Axelle, sa seconde mère, avec un espadon trop lourd pour lui ; ni Armand qui se consume d'amour pour Gille ; ni victoire la démone qui a des yeux de Chimène pour Gabriel, le vieux, meurtri et probe Chevalier si plein d'allure…
Le style simple et dépouillé, parfois crépusculaire, est chargé d'émotions. Je suis entré dans la danse, moi aussi, avec cette espérance, mais sans trop y croire quand même, que quelque-chose ou quelqu'un allait pouvoir modifier la partie jouée d'avance de « Royaume de vent et de colères ».


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Un attentat se fomente dans les rues de la ville. Au nom de Dieu, des hommes vont mourir et la cité va être mise à sac. Paris au XXIe siècle ? Non. Marseille au XVIe. 1596 : La cité phocéenne conteste la légitimité du Roi de France et s'auto-proclame République indépendante. Marseille, la catholique face à Henri IV, le huguenot : le décor est posé, mais les cartes ne sont pas encore tirées.
Elles sont toutes là, dans une même main dès le prologue, et ne demandent qu'à être abattues :

- Gabriel : Chevalier de sang et de misère, j'ai choisi la vie en donnant la mort. Tant et tant. Que je n'aspire à plus rien d'autre. Ce sera la dernière. Victoire. J'ai beau regarder le ciel, droit devant, debout, la tête haute, j'ai un genou à terre...
« Je vis en ermite depuis si longtemps que les mots m'ont déserté. »

- Victoire : Je suis née au combat, brandie comme un étendard par une Patience à la volonté de fer. le couteau à la ceinture et la Rapière à la main, je sais comment tailler les chairs. Tu ne bronches déjà plus devant la faible femme que je ne suis pas. Ça aide, le sang sur les mains pour attirer le respect. Je ne suis pas dupe, va ! Je sais. La Guilde attend toujours mon heure...
«Nous ferions pourtant un si beau couple d'assassins tous les deux. »

- Silas : Approche ! Et montre-moi de quoi tu es capable, Bourreau. Je te le rendrais au centuple. Tu crois mener la danse. Tu crois être passé maître dans l'art de manier la souffrance. Tes yeux jubilent. Profites-en bien. Tant qu'ils sont encore deux.
« Fouette-moi autant que tu veux, aucune explication ne sortira de ma bouche. Les plaies se referment et les os se ressoudent, mais enlève-moi l'honneur et je ne vaudrais guère plus qu'un chien. »

- Armand : Il nous faut fuir, Roland, et abandonner l'Artbon. Seras-tu assez fort pour résister à son appel ? Nous prendrons le chemin de Marseille. Puis nous embarquerons. Ils ne nous penseront pas assez fous pour faire ce choix-là. Et peu importe ce que nous ferons. Puisqu'il y aura toujours la mort au bout...
« Il n'est jamais trop tard pour se tromper. »

- Axelle : Je ne suis pas mère. Je règle mon pas sur le pas de mon père. L'espadon dans mes deux mains, à faire voler les têtes, j'apprends. J'apprends à maîtriser la colère. Gilles, penses-tu avoir fait taire en moi, la révolte et la haine ? La fortune et sa roue, le chariot dans les mains, je regarde l'Aube qui se réveille. Je ne suis pas ma mère...
« La peur je l'ai avalée. Dans ma bouche, dans ma gorge, elle me tombe tout au fond du ventre, jamais digérée.»

- Gabin : C'est la chanson du gamin qui a perdu son « aime », c'est la chanson que me fredonnait ma mère, du temps où j'en étais encore un. Je croque à pleines dents dans la pomme offerte par un mort et m'accroche à la roue de la fortune. Je sers les habitués, essuie les tables et disperse les poussières des routes. Je fais le pari de la vie et regarde l'espadon accroché au mur...
« Une moitié d'homme en guenille ».

Jean-Laurent del Socorro nous offre là un Royaume de vent et de colères qu'on peine à lâcher. La structure du livre atypique désarçonne au départ mais très vite, elle donne un tel rythme à la lecture, qu'on y adhère totalement. J'ai aussi beaucoup aimé le choix de la narration à la première personne, chaque personnage se succédant pour nous livrer « sa » vérité, son histoire. L'auteur est un roliste. Aucun doute à avoir sur cette affirmation, quand on voit avec quel soin il a travaillé ses perso : ils trimbalent tous leurs univers et ont une « vraie » présence et pourraient faire l'objet chacun d'un autre roman sans aucun problème. Et pas de demie mesure pour les personnages féminins : Chez del Socorro, point de gourdasses effarouchées, mais de vrais portraits de femmes, qui ne sont pas là pour distraire, faire joli ou tapisserie !

Bon, vous l'aurez compris, j'ai complètement accroché à ce Royaume de vent et de colères, premier roman aux éditions Actusf, suivi d'une nouvelle et d'une interview de l'auteur qui permettent de prolonger la découverte.

Et dans le ciel de mes coups de coeur, elles scintillent encore :
Cinq étoiles. Une par doigt.
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Pourquoi je l'ai choisi:

J'avais repéré ce livre sur Babélio, où les avis sont tous plus enthousiastes les uns que les autres…Et puis, il a été proposé en Masse Critique…J'ai été ravie d'être sélectionnée pour cette lecture! Merci donc à l'équipe Babélio et aux éditions J'ai lu pour l'envoi de ce livre!

Ce que j'ai ressenti:…Quand le Mistral souffle de colère…

Un royaume mis à sac par la guerre de religion, un saut dans le temps conséquent, une ville d'indépendance, un brin de magie: autant dire que le cocktail avait de quoi m'attirer!

« Les plaies se referment et les os se ressoudent, mais enlève-moi l'honneur et je ne vaudrai guère plus qu'un chien. »

Marseille, la belle…Marseille, la rebelle…C'était presque une évidence de lire ce livre de Jean-Laurent del Socorro! Il nous la rend tour à tour charmante, dangereuse, mystique, magique, colérique. 5 adjectifs comme les doigts d'une main, et cette main se referme sur un complot qui refoule des odeurs nauséabondes politiques et religieuses. Inutile de dire que ça gronde pas mal dans les rues du Panier, et Marseille vibre, et n'aura pas peur de faire couler le sang jusqu'au port, qu'il en ferait changer la couleur de ses eaux…Marseille, l'insoumise…

« Oui, demain Marseille deviendra folle, la tempête soufflera plus fort encore pour abattre ses murs comme un château de cartes. »

Les personnages sont la partie immergée de ce conflit, les acteurs de l'ombre. 5 comme les doigts d'une main, qui feront justement changer la Main du Destin, en enrayant tels des grains de sables, les rouages du pouvoir français. Ils sont aussi forts que le mistral, d'une froideur à couper à couper au couteau, mais le coeur bouillonnant…Tour à tour mis en lumière, leurs petits talents personnels nous éblouissent au milieu de ses ténèbres…La Roue de la Fortune livre sa plus belle galerie rotative de personnages forts et attachants…

« Lire et écrire, ça sert à être libre Axelle. Moi, j'sais pas lire. Toi, tu n'auras besoin de personne pour déchiffrer les mots. Tu feras seule tes propres choix. »

De par sa construction originale, ce roman est un vrai plaisir de lecture! C'est à la fois court, percutant et précis, bourré d'humour aussi, mais l'auteur arrive surtout à saisir toute une époque, à retranscrire toute une ambiance de sang et de chaos saisissante! Et si on se réjouit d'en savoir plus le contexte de guerre qui ont fait rage en ces temps anciens, il n'en reste pas moins que l'on a aussi une touche de magie qui nous ensorcelle…La force du Tarot de Marseille va battre ses cartes sur l'échiquier politique, et ses figures ont plus d'un tour dans leur sac, et les mains armées…

Il ne faut qu'une main, 5 doigts pour tenir cette petite pépite de science-fiction, et vous dire au cas, où il vous manquerait encore une bonne raison, que c'est un coup de coeur!!!

Ma note Plaisir de Lecture 10/10

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A la suite de la lecture de nombreuses critiques positives je me suis décidée à découvrir l'écriture de Jean-Laurent del Socorro avec son Royaume de vent et de colères. En l'occurrence nous voici réunis à Marseille en 1596, l'armée du roi Henri IV est aux portes de la ville. Les soldats et les miliciens se préparent à défendre la cité.
Nous voici plus précisément à l'auberge de la Roue de la Fortune tenue par Axelle, ancienne capitaine d'une compagnie de mercenaires à la solde de la Ligue. On y fait connaissance de Gilles son compagnon, Gabriel ancien noble huguenot converti au catholicisme suite à la St-Barthélémy où il a perdu toute sa famille, il y a aussi Armand l'Artbonnier en fuite avec son compagnon, ainsi que Victoire, vieille femme au passé et au présent violent et tourmenté.
Tout ce petit monde fait partie de la petite histoire et leurs destins croisés sont contés au présent et au passé. A chaque personnage, un chapitre. A travers leur regard et expériences on assiste aux mêmes faits mais sous des points de vue différent mais qui se complètent.

Quand la petite histoire rencontre la grande histoire j'adore. Ce roman m'a aussi donné l'envie de connaître ces faits. On en découvre tous les jours ;-) . Je savais qu'Henri IV avait eu du mal à se faire reconnaître roi par tous les français surtout les ligueurs, mais je ne connaissais pas ce contexte de Marseille qui a voulu devenir une république avant l'heure.
C'est aussi une atmosphère particulière, étrange que l'on rencontre à travers ce livre, on sent que le destin de chacun est déjà scellé et que tous vont vers un même but.
Une belle plume que celle de del Socorro, j'en redemande. C'est fluide, entraînant, des chapitres courts qui donne une sorte d'urgence au déroulement des faits. de l'Histoire, un peu de magie quoique l'Artbon pourrait être assimilé à un outil scientifique. Des personnages très attachant et complexes. Tout pour me plaire.
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Dévoré en quelques jours. Cela faisait un sacré bout de temps que je voulais découvrir cet auteur et quel premier roman !!!
5 personnages centraux, un pour chaque doigt. Axelle, aubergiste ancienne mercenaire. Gabriel, vieux soldat aux coriaces démons intérieurs. Victoire, chef émérite de la guilde des assassins. Armand, mage artbonnier en fuite avec son compagnon. Silas, assassin turc poète et mangeur de pommes.
Le schéma de ce roman choral est très particulier mais présente un charme indéniable à mes yeux. On ne s'ennuie pas une seconde, le style est vif, les dialogues fluides comme la pointe des rapières. L'intrigue se déroule dans une journée tourmentée narrant la chute de la "république" marseillaise sous le règne d'Henri IV. Ne connaissant pas plus que ça les détails de cette période, je ne pourrais dire ce qui relève de l'Histoire et ce que les histoires de chacun ont parsemé pour les besoins de cet univers presque identique au nôtre à ceci près que l'art magique de l'Artbon influence les batailles.
Enchâssés dans cette terrible journée, se succèdent la vie passée de chaque protagoniste, pour un dénouement flamboyant !
En somme, tant dans le style, les personnages, l'atmosphère, le rythme, l'intrigue (ou plutôt les intrigues car les enjeux et le contexte politique et religieux joue un grand rôle dans ce roman), tout m'a emballée, à tel point que je l'ai trouvé bien court ce roman, 100 pages de plus n'auraient pas été de trop. J'ai beaucoup aimé les personnages secondaires : Gilles, Gabin, Roland sans oublier la joyeuse bande de mercenaires avec une mention pour le médecin
Je n'ai même pas assez de mots pour dire à quel point ce livre m'a transporté sur le port de Marseille à boire une chope à la table d'Axelle. L'impression de connaître les personnages depuis des années et de partager leurs aventures, c'est ce que j'attends d'un roman de fantasy, surtout si ces personnages sont loin de la caricature et recèlent des contradictions qui les font presque sortir du papier.
Mon premier gros coup de coeur de l'année que je conseille aux amateurs d'Histoire, de fantasy, de bons mots et de personnages que l'on suivrait au bout du monde.
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C'est un excellentissime premier roman, il faut bien l'admettre !
La demi-étoile en moins, tenez-vous bien, c'est rare que je dise ça, mais c'est parce qu'il est trop court ! J'aurais aimé en savoir plus, bien plus, sur chacun des personnages clés de ce roman. (La chouette nouvelle "Gabin sans "aime"" de mon édition collector est à cet égard la bienvenue, d'ailleurs !)

La très grande tendresse de l'auteur pour ses personnages se ressent dans chacune de ses phrases, et on la ressent avec lui, et qu'ils sont beaux, tous ces personnages. Que ce soit Axelle, Victoire, Gabriel, Armand, Silas, (et les autres) ils sont vraiment magnifiques.
Du coup ce livre se lit trop vite. Tout va trop vite. Bon au moins on ne se perd pas en digressions pénibles et en descriptions trop longues, mais c'est que ça m'aurait presque manqué, boufre !

L'Histoire est finement intriquée avec l'histoire (d'ailleurs ça suit exactement les événements qui se sont passés à l'époque, un bon moyen d'apprendre !), et si le début est un peu perturbant avec tous ces moments de vie qui semblent séparés et chaotiques, on ne tarde pas à comprendre qu'il y a un but bien précis et que tout va finir par une collision du feu de dieu... Ce qui est le cas, bien sûr.
Et on referme le livre sous le choc des émotions très fortes qu'il suscite.
C'est formidablement bien écrit, d'une sobriété rare, même, mais la modernité du ton n'enlève rien au charme suranné des personnages, c'est un mélange curieux mais vraiment très réussi.

Jean-Laurent del Socorro, un autre auteur français SFFF à suivre de très très près, ce qui fait très très plaisir ! :)
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Un roman choral d'une intensité folle, porté par une écriture sensible et nerveuse. L' auteur nous livre le puissant récit de cinq destins qui voient leurs histoires se confondrent avec la Grande Histoire. Les chapitres courts alternent brillamment entre les personnages, le présent et le passé sans laisser de répit au lecteur qui assiste, la boule au ventre, à l'inéluctable chute de Marseille la rebelle. C'est captivant, fort et à couper le souffle...et trop court.
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Ce roman de Fantasy historique m'a happé complètement et pourtant je suis loin d'être une habituée du genre, mais ma fille réussit à me convaincre petit à petit en me faisant découvrir de temps en temps de "tel bijou".
Nous somme en 1586, en pleine guerre de religion.
L'action se situe principalement à Marseille et Paris.
Le plus de ce livre ce sont les chapitres courts très bien écrits sur la vie et les faits d'armes ou non des protagonistes.
Axelle, Armand et Roland, Gabriel, Silas, Victoire et Gabin resteront pour un moment encore ancrés dans ma mémoire.
J'ai pris un réel plaisir de lecture avec Jean-Laurent del Socorro, un auteur à suivre, un livre que je relirais sans aucun doute.
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Excellent premier livre, au rythme rapide, la narration jongle avec une dizaine de personnages dont elle raconte les histoires. C'est à travers leur regard et leurs idées que l'auteur nous dévoile Marseille.
Ce roman fantasy traite de Marseille, de la guerre de religion et civile, de politique, ainsi que de magie.
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Mon Dieu quel plaisir de lecture. Ce roman est un bijou ciselé à la perfection, on ne peut qu'admirer le travail d'orfèvre de Jean-Laurent del Socorro. J'ai eu envie de lire ce livre par curiosité, parce qu'il avait remporté la palme décernée par Elbakin. Bien m'en a pris, je comprends tout-à-fait la décision du jury.

Tout d'abord c'est un roman choral et vraiment j'adore ça. Les romans de ce type ne sont pas toujours aisés à suivre, là cela coule de source, et en plus avec un rythme soutenu, l'équilibre est parfait. Chaque chapitre concernant un personnage fait une ou deux pages, trois maximum. Mais jamais à un rythme effréné, non, chaque passage se savoure car chaque personnage est intense, profond et ce dès le prologue.

Victoire, Gabriel, Axelle, Armand et Silas.
Je les ai tous aimé et je ne les détaillerai pas car je n'aurai pas les mots justes pour ça. Cela se résumerait à un bien trop long paragraphe bourré de superlatifs. Non, celui qui en parle le mieux c'est sans conteste l'auteur et je vous invite à les découvrir. Ils sont brièvement évoqués dans le résumé d'ailleurs, sauf Silas, qui lui est le bras droit de Victoire, la vieille femme.

Cinq personnages qui vont jouer un rôle prépondérant dans la destinée de Marseille, ce 17 février 1596. Marseille la fière, qui est alors une république indépendante, dirigé par un Consul installé là par la Ligue Catholique de Provence. Mais Henri IV, le huguenot est à ses portes et compte bien reprendre Marseille pour la réintégrer au Royaume de France. le contexte historique est lourd, chargé, entre les différentes guerres de religion ou de territoire qui secouent l'Europe d'alors. Les appuis des uns, les soutiens des autres, les traîtrises, Catherine de Médicis, la Saint-Barthélémy... Jean-Laurent del Socorro nous fait tout réviser. Mais en excellent pédagogue, la leçon est derrière, en toile de fond et on l'absorbe sans s'en rendre compte. J'adore.

La suite sur le blog ;)
Lien : http://bookenstock.blogspot...
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