Les quatre saisons de l'été

Quatre saisons, quatre histoires d'amour. Toutes reliées entre elles...

Il y a Louis, un ado de 15 ans, ami de Victoire, cette jeune fille aux cheveux dorés et aux yeux d'émeraude. Louis qui rêvait d'être bien plus que son ami...
Il y a Isabelle, quittée par son mari et qui a connu l'amour en la personne de Jérôme alors qu'elle n'avait que 15 ans. Son premier amour et son premier grand chagrin d'amour.
Il y a Monique, 55 ans, qui demain sera Louise et qui est venue découvrir de nouveaux émois passionnels et charnels.
Il y a Rose et Pierre, toujours aussi amoureux au bout de 50 années de mariage. Eux veulent figer leur amour dans le temps.
Et il y le Touquet et sa plage; le 14 juillet, le dernier du siècle, son feu d'artifice et son bal; Francis Cabrel et son Hors saison... et l'amour.

Tout en délicatesse, Grégoire Delacourt nous emmène au Touquet et nous fait vivre des histoires d'amour, fussent-elles éternelles, romantiques, regrettables ou vaines. Dans ces quatre récits qui s'entremêlent délicatement, l'auteur pose un regard tendre et doux. Il décrit avec précision et finesse les relations hommes/femmes. Les fleurs ont une place importante, elles donnent le titre de chaque nouvelle et permettent d'exprimer des sentiments que l'on ose avouer. Porté par une écriture riche et très poétique, ce roman clame haut et fort les couleurs de l'Amour...

Les quatre saisons de l'été... Intemporel...

Grégoire Delacourt nous emmène au Touquet durant l'été 1999. Peut-être bien le dernier avant la fin du monde si l'on en croit les prédictions de quelques illuminés.
Louis, Isabelle, Monique, Pierre et Rose, bien loin de ces préoccupations vont y vivre de belles histoires d'amour.
L'amour n'a pas d'âge, chacun le sait.
Nous découvrons tour à tour, Louis, 15 ans, éperdument amoureux de Victoire, beauté en devenir qui, du haut de ses 13 ans, a tout compris de l'amour :
« L'amour c'est quand on peut mourir pour quelqu'un. Quand on a les mains qui piquent, les yeux qui brûlent, quand on n'a plus faim. »
Isabelle, 35 ans ne croit plus vraiment à l'amour, elle est au Touquet avec son fils et sa mère, et y retrouve par hasard son premier amour, son premier chagrin, celui qui a sûrement conditionné tout le reste…
Monique quant à elle fuit la monotonie de sa vie de couple, alors une aventure ou un nouvel amour, pourquoi pas ?
Enfin, il y a Pierre et Rose, cinquante années de mariage et d'Amour, l'amour avec un A majuscule, le vrai, le calme, le constant, celui qui fait envie.
Chaque histoire est unique et une fois de plus Grégoire Delacourt réussi un roman plein de douceur et de sensibilité.
Ce fut pour moi un grand bonheur de lecture.
Quatre histoires simples et belles tout simplement.

"Hors Saison" de Francis Cabrel et le 14 juillet 1999 sont les 2 points communs aux 4 tres belles histoires d'amour que nous conte Grégoire Delacourt dans son dernier roman. Des amours tristes, des amours tendres, des amours éternels...
Il est difficile de parler de ces couples tant ils sont attachants... Je ne veux pas dévoiler le moindre petit coin de chacun, pour que chaque lecteur puisse les découvrir en douceur...
Une très belle écriture, une manière de nous raconter, comme un murmure au creux de l'oreille, la vie, ses chagrins et ses bonheurs... Un roman d'une très grande qualité, qui nous laisse un sentiment de plénitude...

C'était un 14 juillet.
C'était la saison des vacances, des bords de mer, des baignades, des cris d'enfants, des feux d'artifice et des musiques dansantes.
C'était aussi la saison des amours. Je t'aimais. Je t'attendais. Je te rêvais. Je te voulais pour toute la vie.
C'était aussi la saison des désillusions, des amours passagères, des maladresses et des malheurs.
C'était encore la saison des espoirs, des attentes déçues, des retrouvailles et des départs.
C'était un 14 juillet et pourtant ce jour-là, c'était toute la vie...

Des hommes et des femmes à différents âges de la vie et l'amour comme trait d'union. Une seule date et un seul lieu, le Touquet (Paris-plage).

En une saison, en un seul jour, Grégoire Delacourt nous parle de la vie et surtout de l'amour. Des émotions à fleur de peau, des mots porte-bonheur, des instants de vie comme un kaléidoscope d'images. C'est un bouquet de fleurs au langage méconnu. C'est aussi une chanson de Cabrel "hors saison". C'est simple. C'est triste et doux. C'est délicat et tendre. C'est très agréable à lire...

Lien : http://mes-petites-boites.ov..

1 livre, 1 jour.
Ce livre se lit vite, facilement.
Un lieu commun, le Touquet.
Une date commune, le 14 juillet 1999.
Un sujet commun pour 4 "couples" protagonistes : l'Amour, avec un grand A.
4 générations différentes.
L'auteur nous fait découvrir 4 histoires importantes pour chacun, mais 4 histoires différentes.
Chacune s'entremêle à un moment donné...
Un joli livre à découvrir...

Dans son dernier roman, les quatre saisons de l'été, Grégoire Delacourt nous parle de l'amour, plus particulièrement du premier amour.
Quatre saisons, quatre personnages aux travers de quatre histoires- Pimprenelle, Eugénie Guinoisseau, Jacinthe et Rose.

Ces quatre grosses nouvelles, au premier abord indépendantes, sont en fait reliées par trois points communs : la chanson Hors Saison de Francis Cabrel, le 14 juillet 1999 au Touquet et l'amour.

Pourquoi le 14 juillet 1999? Car les récits se passent en été, période connue du premier amour ou d'amour léger... et que la fin du monde était prévu pour fin 1999. Grégoire Delacourt utilise donc ce filon pour que ses personnages se penchent sur leur vie: la fin d'une période, aventure, rencontre...ou le début d'une autre. C'est bien pensé et réalisé.

Delacourt se sert également énormément du vocabulaire floral: les roses et leur signification. C'est élégant, doux. Les phrases sont mélodieuses et poétiques, très agréable à la lecture à haute voix.
Tout au long du roman, on se sent bien.

Chaque histoire est riche en émotion. On ne reste pas indifférent même si bien entendu (et c'est récurrent chez Delacourt) il y a de gros clichés. Néanmoins on ne lui en tient pas rigueur tant le livre est agréable et terriblement addictif.

Roman grand public, ce n'est pas pour autant un roman léger. Delacourt parvient à nous faire méditer sur nos vies au travers des 4 histoires. de la fin de l'adolescence à la vieillesse, celles-ci se lisent quasiment d'une traite. Quel que soit son age, on se sent concerné de bout en bout par ce roman.
Delacourt nous offre une rapide conclusion pour chaque histoire (et relie certaine). On retourne la dernière page avec le sourire.

C'est pour moi une belle réussite et j'ai vraiment beaucoup apprécié cette symphonie de Delacourt. Je vous la recommande.

4/5

Un très beau livre sur l'amour... sous presque toutes ses formes. le premier, celui qui nous marque, qui nous forge, qui décidera quel genre d'amoureux nous serons. Celui qui l'espace d'un été nous habite, et qu'on quitte avec regret, sans que l'autre se retourne. Celui qu'on revoit des années des plus tard, à un moment charnière de notre vie. Celui avec lequel on vit, teinté d'un quotidien qui l'essouffle, mais dont on se fait un devoir de ranimer. Celui avec qui on partage toute notre vie et avec lequel on s'éteint, main dans la main. C'est avec une plume sensible et délicate que Delacourt nous livre quatre histoires, toutes différentes, avec comme points communs se sentiment très fort qu'est l'amour dans un décor enchanteur, Touquet, le dernier 14 juillet avant la fin du monde, sous trame sonore de Hors saison de Cabrel. Un tout petit livre, mais qui nous donne l'envie d'aimer... très beau moment de lecture.

Quatre couples, quatre histoires d’amour, quatre périodes différentes de la vie.

L’adolescence et ses amours platoniques, celles où l’on se promet tout. Le temps des premiers baisers, des premiers désirs avant de connaître ses premières désillusions et déceptions.

La trentaine, l’âge de la remise en question. Mais aussi, celui des interrogations sur ce que nous sommes devenus qui semble parfois si éloigné de ce que nous avions rêvé.

La cinquantaine, là où l’on peut tout perdre, là ou l’on doit changer, car le schéma familial a changé, là ou l’on apprend à nouveau à penser à soi et à son couple.

La fin de vie et ses amours d’une vie. La vie à deux, pour toujours, à jamais. Terminées les questions, place à l’évidence, être deux depuis toujours et ne former qu’une entité.

Un roman particulièrement touchant aux situations en aucun cas édulcorées. L’amour c’est magnifique, encore faut-il savoir le travailler. On n’aime pas à 15 ans comme à 50 ans. L’amour est un feu qu’il faut nourrir au risque qu’il perde en intensité puis étouffer. L’amour se gagne parfois, se mérite souvent et il pourrait bien sonner à votre porte lorsque vous ne l’espérez plus.

Avec une base de 4 nouvelles, qui finalement, ne forment qu’une seule et même histoire, « Les quatre saisons de l’été » est très bien construit. Le lieu d’abord, Le Touquet avec ses plages du nord, ses familles en vacances, ses bals populaires, se prête bien à ce récit mélancolique, mais plein d’espoir. Les dernières pages, écrites comme un clin d’œil aux personnages, nous éclairent sur les dernières questions que l’on pourrait encore se poser.

Grégoire Delacourt signe là un grand roman qui ne ressemble à aucun autre.
Lien : http://que-lire.over-blog.co..

Les quatre saison de l'été ou le point de vue de quatre générations sur l'amour durant un été.

Quatre nouvelles, quatre protagonistes nous racontant leur vie amoureuse durant un été au Touquet.

Je ne suis pas fan des nouvelles ni des histoires d'amour. J'ai lu ce livre sur les conseils d'une amie et aussi pour sortir de la noirceur de mes autres lectures (j'aime les thrillers !). Et donc, je fus agréablement surprise par ce roman. Pas tant sur le fond, qui est assez mélancolique, tristounet et peu optimiste sur les relations amoureuses, le couple mais bien sur la forme. La plume de l'auteur est douce, assez poétique. J'ai d'ailleurs relever quelques citations intéressantes.

Un bon moment de lecture que je recommande.

En deux mots, je dirais : très Addictif et très poétique. Ce livre se lit avec passion. On y retourne volontiers sans ennuie, même juste après l'avoir fini. C'est tellement beau et bien écrit qu'on a envie de le garder près de soi pour en relire des extraits indéfiniment, afin de savourer encore et encore ce magnifique récit. Comme à son habitude Grégoire Delacourt nous enchante merveilleusement avec une passion littéraire incroyable, sans jamais se répéter et à chaque fois, arrive à nous renouveler des histoires, toutes les plus surprenantes que les autres. Même si, je dois l'avouer ce dernier livre n'est pas mon préféré de l'auteur, on y prend beaucoup de plaisir à le lire.