Florence se marie avec le fils de Joseph, pater familias tyrannique qui élève des chevaux et des taureaux. La jeune mariée suit au long du roman une évolution qui voit sa belle-famille de dégénérés la transformer en une tête de bétail, l'équivalent humain une vache laitière et reproductrice.
“Les Maîtres s'occupaient d'elle. Elle n'avait rien à décider, rien à penser. Elle était juste une femelle.” Cette citation résume bien l'idée générale et la philosophie de l'ouvrage autour de la femme-objet présentée comme une épouse soumise, effacée et dépendante, une esclave sexuelle à la merci du patriarche familial, traitée comme une bête de troupeau, le degré zéro de l'évolution.
Autant dire que je n'ai pas du tout accroché à ce roman. Même les scènes de sexe ne font pas envie, trop glauques à se complaire dans le malsain.
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