Est-ce dû au hasard si le fait d'avoir connu Philippe Delerm passe de suite par ces deux ouvrages ?
" Je vais passer pour un vieux con..." (et autres petites phrases qui en disent long) et donc celui-ci ? Fallait-il y voir une ironie du destin que le titre de l'un m'évoque l'avis de l'autre..
Je me pose cette question à mi-chemin.
Car franchement incertain à continuer de lire ces bribes, missives et autres choses futiles dont il ne résulte rien, l'exercice -pourtant facile- s'avère contraignant pour son court destin.
Et toujours ce titre qui me revient " Je vais passer.." .
Et bien soit, passe Philippe ! Tu l'aura bien chercher avec ces enregistrements au registre des plus inutiles . Trop courts, trop inepte , trop à l'encontre de mes principes, tu cumules comme un mandat les généralités de l'ennui comme un conduit vers l'égout.
Où tout n'est que principe au bla-bla, au questionnement du temps, des envies, de la p'tite vie d'elle ou de lui.
" Ouvrez l'oeil et le bon "pourrait être ma maxime , la tienne en résulte de l'oreille en prime .
L'intérêt de l'auteur de s'être pencher sur tout cela -si véridique- m'indique un vide abyssal avec un grand mal au point .
Au point justement qu'il faille errer comme un mendiant dans la rue pour capter tel un voleur en passant ces odeurs de dires, ces écoutes de paroles ( et des pires) qui t'inspire ces scènes dérobées tel des visages voilés révélés.
Car enfin.. On écrit pas pour cela . Je ne pense pas. Et je ne penserai pas plus longtemps à cette critique qui va hélas dépasser son seuil de tolérance envers ces bouts de papiers dont l'encre à couler jusqu'à en créer un "livre "
...Et toujours ce pauvre arbre s'étant vu déraciner pour imprimer autant de colifichets..
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