![]() | moklos 30 septembre 2007
Ce n’est pas le manque ni la privation qui donne du désir : on ne manque que par rapport à un agencement dont on est exclu, mais on ne désire qu’en fonction d’un agencement où l’on est inclus.
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![]() | moklos 30 septembre 2007
Ce n’est pas le manque ni la privation qui donne du désir : on ne manque que par rapport à un agencement dont on est exclu, mais on ne désire qu’en fonction d’un agencement où l’on est inclus.
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![]() | moklos 30 septembre 2007
La question de la sexualité, c’est : avec quoi d’autre entre-t-elle en voisinage pour former telle ou telle eccéité, tels rapports de mouvement et de repos ? Elle restera d’autant plus sexualisé, pure et simple sexualité, loin de toute sublimation idéalisante, qu’elle se conjuguera avec d’autres flux. Elle sera d’autant plus sexualité pour elle-même, inventive, émerveillée, sans fantasme qui tourne en rond ni idéalisation qui saute en l’air : il n’y a que le masturbateur pour faire des fantasmes… La sexualité ne se laisse pas sublimer, ni fantasmer, parce que son affaire est ailleurs, dans le voisinage et la conjugaison réels avec d’autres flux, qui la tarissent ou la précipite – tout dépend du moment.
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![]() | blanchenoir 17 décembre 2015
Un style, c'est arriver à bégayer dans sa propre langue.
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![]() | colimasson 08 avril 2013
Elle [la psychanalyse] casse toutes les productions de désir, elle écrase toutes les formations d'énoncés.
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![]() | DLN 22 août 2019
Le désir n'a pas le plaisir pour norme.
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Jostein Gaarder fut au hit-parade des écrits philosophiques rendus accessibles au plus grand nombre avec un livre paru en 1995. Lequel?