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La dame de fer avant Margaret Thatcher, Elisabeth première d'Angleterre, indépendante, cruelle, et austère tout un programme!!!. 1558-1603 un règne très long et faire tenir cela dans un seul album c'est la quadrature du cercle.

Pourtant les auteurs y parviennent le scénario nous permet d'avoir une approche intéressante du long règne de celle qui favorisa l'émergence de l'Eglise protestante anglaise (entre autres...). Les dessins sont sobres, ce n'est pas d'une gaité folle, les protagonistes et le contexte ne s'y prêtent guerre, mais c'est une réussite.
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Ce nouveau tome de la série « Ils ont fait l'histoire », collection de bandes dessinées qui prend la forme de biographies historiques présentant une dimension pédagogique car à destination du grand public, et qui espèrent vraiment que le public scolaire se prêtera au jeu, est consacré à Elisabeth Ière, la Gloriana de l'Angleterre éternelle !


Je vois d'ici les critiques presses expliquer que la narration perd le lecteur en multipliant les ellipses au lieu de tout expliquer des tenants et aboutissants des enjeux de tel ou tel épisode historique. Ils n'auront pas entièrement tort, mais le commun des mortels qui s'est intéressé aux "Tudors", "The White Queen", "The Devil's Whore", "New Worlds" et "Reign" ont depuis longtemps appris à utiliser wikipédia pour s'informer sur l'Histoire anglaise, au contraire de la caste journalistique et autres bobos hipster persuadés de tout savoir et de toujours avoir raison. En plus, pas besoin d'être un fin connaisseur de l'Histoire de l'Angleterre pour comprendre les enjeux de cet album : comment exercer le pouvoir quand on n'y a pas été préparé, surtout quand on est une femme !

On ne peut pas réaliser une biographie exhaustive d'un personnage historique de premier plan comment raconter la vie d'un personnage historique en moins de 50 pages sans effectuer des choix. On commence donc le récit avec la rivalité entre Marie Tudor, championne du catholicisme, et Elisabeth Tudor sa demi-soeur, point de ralliement de tous les partisans du protestantisme… (Vous ne savez pas ce que sont les guerres de religion ? Vous n'avez donc jamais été à l'école ou vous êtes journalistes ! ^^) Mais la Grande Faucheuse ouvre la voie à Elisabeth qui prend la place de Bloody Mary :
- pour éviter la guerre civile, elle évite de véritablement prendre parti et finalement continue l'oeuvre d'Henry VIII en développant l'anglicanisme
- pour éviter la guerre européenne, elle évite de s'impliquer dans chacune des guerres continentales
- pour éviter la révolution, elle multiplie les réformes financières et les oeuvres de charité
Les auteurs ont croisé les sources mélioratives et les sources péjoratives pour dresser un portrait contrasté mais finalement assez touchant d'une femme propulsée à la tête d'un Etat de premier plan à la croisée des chemins en cette fin de la Renaissance anglaise. En refusant le mariage pour rester à la tête de l'Etat, elle nourrit toutes les rumeurs et tous les complots, et faute d'héritier ceux-ci ne font que se multiplier… Alors que Mary Tudor avait pardonné à sa soeur pour lui confier le trône, quand les rôles sont inversés elle finit par faire décapiter sa cousine Mary Stuart alors que finalement c'est son fils qui prendra sa place… Après le bordel du roi fou et de la Guerre des Deux Roses, Henry VIII a remis le bordel avec ses mariages et répudiations à répétitions, avant qu'Elisabeth Ière ne remette encore une fois le bordel en restant sans descendance (sans parler des répercutions : on a à peine résolu la question galloise qu'on se lance à corps perdu dans les questions écossaise et irlandaise alors que niveau guerre de religions les braises couvaient encore plus que jamais !) Les contrecoups de l'exécution de la reine d'Ecosse Marie Stuart sont terribles et la reine d'Angleterre Elisabeth Tudor est bien près de perdre tout ce qu'elle avait gagné quand Philippe II envoie l'Invincible Armada mettre les choses au point au Nord-Ouest de l'Europe !
Mais on nous aussi conte le récit d'une femme, de ses amours, de ses haines, de ses espoirs, de ses craintes, troublée par la vieillesse et à la nostalgie, un temps tentée par la vie maritale quitte à perdre ce pour quoi elle s'est toujours battue en tant que strong independant woman, et qui se distraie avec des favoris avant de regretter de s'être éloignée de Robert Dudley, son ami d'enfance certainement, l'amour de sa vie sans doute…
La comparaison entre Elisabeth Ière avec Catherine de Médicis m'a sauté aux yeux, bien que la 1ère ait été qualifié de Reine Vierge alors que la 2ème ait enfanté à dix reprises : deux femmes qui sont passés de la prison au trône, parvenues au pouvoir sans l'avoir souhaité et condamné à l'exercer à une époque plus que troublée où les partisans du catholicisme et du protestantisme sont à couteaux tirés… Ces pionnières ont ouvert la voie aux femmes de pouvoirs en Europe, et peut-être dans le monde !


Pour accompagner cette biographie, les dessins d'Andrea Meloni assisté de Giulia Priori et de son studio Arancia manque d'ambition, de finition, de flamboyance, mais ils n'en restent pas moins tout aussi agréables qu'appréciables et m'ont fait passer un bon moment. Petit bémol peut-être pour le dossier historique, moins passionnant voire moins intéressant qu'à l'accoutumé car trop académique : peut-être le côté archiviste de Michel Duchein qui ici s'est laissé sentir ?
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"Elisabeth Ire" est un album de bande dessinée, permettant de présenter les événements historique majeurs de l'histoire anglaise, s'étant déroulés sous le règne d'Elisabeth 1ère.
Cette méthode peut avoir l'avantage, pour les plus réticents à L Histoire, de présenter celle-ci sous une forme ludique, mais, même, sans être, particulièrement réticent à L Histoire, on peut y trouver son compte.
Les dessins sont tout à fait remarquables, de vrais bijoux, précis, mais pas trop.
L'une des choses les plus intéressantes, dans cette bande dessinée, fut le portrait, complexe et nuancé, qui est fait de la reine Elisabeth, sans cesse tiraillée entre une chose en une autre, habitée par des contradictions.
Les auteurs réussissent parfaitement à recréer l'ambiance politique de l'Angleterre de cette époque, marquée par une certaine âpreté des rapports politiques, mais pas seulement.
J'ai passé un très agréable moment avec cette jolie bande dessinée.
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Tout n'est pas forcément bon dans la série Ils ont fait l'histoire, mais en tous cas, l'album consacré à Élisabeth Ier est une bonne pioche. Il faut dépasser la première de couverture pas franchement transcendante, pour découvrir un album qui réserve de belles surprises et qui se révèle d'une certaine richesse.

Le fil rouge offre un bon compromis entre exhaustivité et synthèse. le récit s'intéresse aux grandes réformes en privilégiant surtout le religieux, la politique et la guerre. L'économie, la société et la culture tiendront donc une place de moindre importance, malgré la participation d'un certain William Shakespeare. A côté de cela, il reste de la place pour une reine terriblement humaine. L'on pourra toutefois reprocher aux auteurs d'avoir un peu trop forcé le trait sur les colères du protagoniste. Ce choix dotera la reine d'un caractère particulier, alors que d'autres traits, évoqués dans la postface, restent dans l'ombre.

Malgré la densité du propos, le texte n'est ni trop long, ni trop court. D'ailleurs, il est habilement mis en scène puisqu'à plusieurs reprises des supports papiers prennent le relais des bulles. En revanche, le scénario semble progresser par à coups. Il est également regrettable de ne pas voir les conséquences des décisions. L'album reste centré sur le protagoniste et son premier cercle, à l'exception de quelques mouvements de foule.

Les dessins sont agréables. L'on appréciera ici la maîtrise du trait et des couleurs, même si les tonalités les plus sombres prédominent. Qu'il s'agisse de scènes d'intérieur, de Cour, d'extérieur ou de batailles, l'on tourne avec grand plaisir chaque planche. Les effusions de sang et détails macabres liés aux exécutions sont en revanche superfétatoires. de même, certaines postures de la reine demeurent toutefois outrancières et nuisent au sérieux de l'ensemble.

Le cahier historique apporte ici une réelle plus-value et mérite que l'on s'intéresse à lui. Assurément Michel Duchein a composé son texte pour l'album, allant même jusqu'à expliquer les choix scénaristiques. Ce supplément est franchement apprécié car il s'agit réellement d'un complément utile.

Voici donc un album vers lequel l'on peut se tourner d'autant qu'il s'agit d'one shot. Plus qu'à espérer que Henry VIII puisse prochainement bénéficier des mêmes attentions prodiguées par la même équipe.
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Ce tome consacré à Elisabeth 1ère est tout à fait au niveau de l'excellente collection "Ils ont fait l'histoire".
Il livre une biographie riche et fouillée de la reine vierge, tout juste pourrait-on regretter qu'il passe trop vite sur ses jeunes années, mais les enjeux de son règne sont par contre bien analysés.
Les dessins sont superbes, comme l'illustre la couverture de l'album, majestueuse. On notera particulièrement le soin apporté à l'évolution du visage d'Elisabeth.
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Une très belle BD qui a attiré mon regard avec sa couverture magnifique en contre plongée, une BD avec de belles planches, des graphisme et des couleurs qui m'ont particulièrement plu, un scénario très documenté.
Très instructif sur le règne d'Élisabeth Ière , une très grande reine qui a fait de son règne d'une durée peu commune (plus de 44 ans), un règne inoubliable pour l'Angleterre et l'Europe.
La BD retrace ses relations avec sa demi soeur et sa cousine, les décisions les plus importantes de son règne concernant la religion, la guerre, l'économie qu'elles soient bonnes ou mauvaises, les trahisons et les complots autour d'elle.
La BD s'attarde aussi sur le non mariage de cette reine et sur sa vie privée qui resteront un grand mystère. Une femme de pouvoir tres forte dans un monde dominé par les hommes. Hélas, avec sa disparition et à cause de son célibat, la branche des Tudor s'éteint avec elle.
La BD s'attache à montrer les bons et les mauvais côtés de ses choix politiques, économiques, des réformes décidées , certaines décisions indispensable, et d'autres plus ou moins voulues (comme le nombre d'exécutions de proches qu'elle a ordonnées).
De beaux dessins retraçant la coquetterie de cette reine et une mention particulière pour ceux sur sa victoire sur l'Armada espagnole avec Drake.
La BD met surtout en avant le côté politique et religieux du règne.
Une BD que je rapproche du film Elisabeth pour son esthétisme et sa qualité.
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Belle fresque historique. Cette BD nous présente les années de règne de la reine d'Angleterre, Élisabeth 1re. Tout y est... conspiration, guerre de religions, stérilité... Un beau topo. Les dessins sont très beaux et les faits historiques sont judicieusement documentés. L'éditeur a également annexé un dossier imposant à la fin de la BD qui traite de cette reine et du contexte politique. Enrichissante lecture.
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Cette bande dessinée sur le règne d'Elisabeth Ire est très intéressante. Tout y est : son caractère, sa vie privée et les grands événements ayant jalonnés son règne.

Il s'agit d'un des tomes de la collection Ils ont fait l'histoire parue chez Glénat et France loisirs. À la fin du tome, on trouve un dossier biographique.
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Cette bande dessinée sur la reine d'Angleterre, Elisabeth Tudor fille d'Henry VIII est instructive . ‘Je n'ai que le corps d'une faible femme mais j'ai le coeur d'un Roi', cette phrase prononcée face à la grande Armanda la résume bien. Elle semble très actuelle avec son indépendance et son courage pour assumer sa situation féminine. Comme toujours dans cette série le texte qui complète la BD est très bien fait. Apprendre l'histoire de cette manière est très intéressant.
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Pour quiconque témoigne d'un intérêt marqué pour la dynastie Tudor ou pour Elisabeth Ire, le nom de Michel Duchein sonne comme une référence sur le sujet. L'historien, auteur de nombreux ouvrages consacrés à divers souverains britanniques, fait figure d'autorité en la matière. de fait, retrouver ainsi le nom de ce spécialiste parmi les auteurs ayant participé à la réalisation de cette BD ne pouvait que me conforter dans l'idée de me la procurer. S'inscrivant dans la collection « Ils ont fait l'Histoire » de Glénat, cette biographie, réalisée en collaboration avec les éditions Fayard, revient sur le règne de l'un des plus grands monarques de l'Histoire.

Fruit des amours tumultueuses d'Henri VIII et d'Anne Boleyn (que ce dernier fera exécuter), Elisabeth est passée par les affres de bien des tourments avant de monter sur le trône. Couronnée reine le15 janvier 1559 en l'abbaye de Westminster, elle est la dernière Tudor à accéder au trône d'Angleterre. Son règne, qui s'étendra sur 45 ans, débute sur fond de nombreux remous politiques et d'une grande instabilité religieuse. Marquée par de nombreuses manigances politiques, la rupture avec la papauté ou encore la création de l'Elise protestante d'Angleterre, l'ère élisabéthaine (1558-1603) marque également l'apogée de la Renaissance anglaise avec l'essor sans précédent des arts et de la culture. le théâtre florissant sous la plume du dramaturge William Shakespeare en est d'ailleurs l'une des plus belles représentations !

Si personne ne conteste le rôle majeur qu'Elisabeth Ière joua dans l'Histoire d'Angleterre, sa personnalité complexe et ambiguë lui valut autant d'admirateurs que de détracteurs. Portée aux nues par certains, conspuée par d'autres, celle que l'on surnomme « la reine vierge » cultive aussi bien le mystère que les paradoxes. Colérique, versatile, austère, calculatrice… Elisabeth est de fait parfois présentée comme une souveraine aigrie, indécise et antipathique. Pourtant, ce n'est qu'à l'aune de son histoire personnelle et du contexte trouble de son époque qu'il convient d'appréhender la personnalité et les réactions de cette femme à la destinée exceptionnelle. Refusant tout parti-pris ou portrait à charge, Vincent Delmas, Michel Duchein, Christophe Regnault et Andrea Meloni parviennent avec cette biographie sérieuse et visuellement époustouflante, à restituer toute la complexité de cette reine hors du commun et à en dresser un portrait psychologique remarquable de nuances au vu d'un format si condensé.

Vivant sous la menace permanente d'une trahison ou d'un complot visant à la destituer, pressée par ses conseillers de se marier afin d'asseoir les intérêts de la couronne d'Angleterre et d'assurer sa succession, on comprend mieux les sautes d'humeur de la souveraine face à ces attaques permanentes et répétées. A la lumière de tous ces éléments essentiels ici parfaitement restitués par les auteurs, Elisabeth Ire apparaît ainsi davantage comme une femme avisée, prudente et intelligente que comme une monarque narcissique, froide et calculatrice. Nul doute qu'il fallut en effet à la souveraine user de toute son intelligence et de sa force de caractère pour ne pas tomber dans les nombreux pièges de la cour ou autres complots ourdis par l'entourage de sa cousine catholique. Sachant se montrer fine tacticienne dès lors que les circonstances l'exigent, elle avance avec prudence en matière de questions religieuses et revendique une totale indépendance d'esprit.

Entre nécessité d'asseoir son autorité et indispensable devoir de compromis, cette évocation du règne d'Elisabeth met ainsi parfaitement en évidence le difficile exercice du pouvoir, a fortiori lorsqu'on est une femme. S'estimant mariée au royaume d'Angleterre, Elisabeth Ire forge sa légende sur son célibat. Dans ce monde d'hommes où se mêlent conflits d'intérêts personnels, politiques et jeux de dupes diplomatiques, elle entend conserver sa couronne et son pouvoir. Un règne sans partage aussi bien marqué par sa longévité que par les quelques personnalités récurrentes que compte son entourage. La reine s'est en effet très vite entourée d'un cercle restreint de proches conseillers qui lui restèrent toujours fidèles, parmi lesquels William Cecil, Walsingham… et l'incontournable Robert Dudley.

Au coeur de la narration, on retrouve ainsi évoquées la question lancinante du mariage, ses rapports ambigus avec Robert Dudley ou encore sa rivalité avec Marie Stuart. A ce sujet, il semble probable que celle qui revendiqua et affirma son indépendance à une époque patriarcale, nourrissait en catimini quelque jalousie envers sa cousine. Leur lutte sans merci mènera finalement Marie Stuart à l'échafaud et entraînera Elisabeth à un affrontement historique avec l'Espagne. Qualifiée d'invincible, l'armada espagnole sera pourtant finalement vaincue par l'armée anglaise ; permettant ainsi à la victorieuse Elisabeth d'entrer un peu plus dans la légende.

Soucieux d'intégrer tous les événements marquants de son règne tout en devant composer avec un format court, les auteurs ont dû opérer quelques coupes dans la chronologie. Autant d'ellipses temporelles et de raccourcis qui pourront à n'en pas douter déstabiliser certains lecteurs. de fait, la multiplicité des enjeux politiques et religieux sous-tendus par le sujet semblent réserver davantage cet album à un public un minimum connaisseur, ou en tout cas déjà familiarisé avec le contexte et les protagonistes impliqués. Afin d'essayer de pallier à cette difficulté et de combler les éventuels chaînons manquants, le récit est complétée d'un dossier illustré de 7 pages, qui permet de revenir sur les évènements majeurs du règne d'Elisabeth tout en les remettant dans le contexte de l'époque.

Le dessin réaliste de Christophe Regnault et Andrea Meloni nous fait plonger de plain-pied dans le siècle élisabéthain, au coeur des jeux de pouvoir et des évènements majeurs qui marquèrent cette période et dont les auteurs nous livrent ici le récit palpitant. Avec cette biographie, ils nous offrent surtout un portrait nuancé et réaliste d'une reine emblématique et charismatique qui joua un rôle majeur dans l'histoire de l'Angleterre et devint un mythe de son vivant. Pour bâtir cet album, les auteurs se sont appuyés sur une solide documentation et de multiples sources, aussi bien à charge que partisanes, dans lesquelles ils ont dû entreprendre un tri rigoureux, afin de coller au mieux à la « vérité historique ». Format court oblige, on regrettera que l'album ne revienne pas sur l'enfance et les jeunes années d'Elisabeth. Mais quelles que soient les zones d'ombre et les incertitudes entourant sa vie privée ou son caractère, Elisabeth Ire n'en demeure pas moins une figure historique fascinante. Profondément dévouée à son peuple et à la cause de son pays, elle hissera son royaume au rang des plus grandes puissances de la Renaissance.
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