Escales 2001

62 — 8 — 48 — 26 — 20 — 10 — 20 — 28 — 28 — 40 — 44 — 20 — 26 — 34 — 36 — 86 — 14 — 60. Voilà la répartition des pages de ce volume par nouvelle. Et s'il y a un truc que je déteste, c'est enchaîner des nouvelles à la limite du roman des textes très cours au thème sous-exploité la plupart du temps. Et là, je suis servi avec un facteur 10 entre la plus courte et la plus longue !

Passons. ce n'est pas ça qui fait la qualité des textes, mais je dois dire que je n'y ai pas trouvé mon compte. Mais globalement déçu, je n'ai fait que survolé les derniers textes pour constater que je n'arrivais pas à me plonger dans leur lecture. Thème, style, rythme, etc. Il y avait toujours quelque chose qui me faisait passer à la suivante.

En bref : J'ai tellement traîné à lire ce livre que je suis en fais incapable de dire ce que je reproche ou ce qui m'a plu dans les premiers textes qui le composent. alors je ne vais pas en dire plus et reprendre des lectures plus motivantes. Il m'en reste tellement et j'en découvre de nouvelles tous les jours. :-)
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ça me chagrine de devoir mettre une note "moyenne" à ce recueil car à mes yeux toute action qui contribue à promouvoir la SF française doit être salué et encouragé. le problème c'est que là, la promotion est toute relative. Car on y trouve de tout, des textes travaillés et ambitieux, et d'autres qui semblent avoir pondus pour l'exercice. Des courts, des longs. Bref, c'est davantage le patchwork qui m'a gêné, la qualité générale des auteurs n'est pas à remettre en cause. Last but not least : la couverture ne fait pas honneur au contenu!

Gros pavé grand format de 600 pages, lisible mais sans plus…
Aucune des nouvelles ne ressort vraiment du lot, il y en a même quelques mauvaises, le tout est toutefois très correct et tout à fait lisible. La meilleure nouvelle est probable la dernière, celle de Claude Ecken, malgré quelques lourdeurs et une fin décevante.
Bref, une lecture tout à fait dispensable...