AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Bahamas tome 1 sur 3
EAN : 9782213614755
411 pages
Fayard (15/01/2003)
3.9/5   26 notes
Résumé :

5 janvier 1853, à Liverpool : Charles Ambroise Desteyrac, jeune polytechnicien, diplômé de l'École des ponts et chaussées, a rendez-vous avec l'homme de confiance de Simon Leonard Cornfield, lord richissime dont la famille est propriétaire, depuis 1667, d'une île des Bahamas.

L'ingénieur est chargé de construire un pont assez solide pour résister aux ouragans. L'exil tropical et la quête de l'aventure offriront au jeune républicain qui re... >Voir plus
Que lire après Bahamas, tome 1 : Le Pont de Buena VistaVoir plus
La peste noire, tome 1 : La Conjuration des Lys par Bordes

La peste noire

Gilbert Bordes

3.56★ (278)

2 tomes

Louisiane, tome 1 par Denuzière

Louisiane

Jacqueline Denuzière

3.48★ (1875)

6 tomes

Le roman d'Olivier par Sabatier

Le roman d'Olivier

Robert Sabatier

3.84★ (13463)

9 tomes

La Florentine - Intégrale par Benzoni

La Florentine

Juliette Benzoni

3.86★ (1736)

5 tomes

Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique


Denuziere fera toujours du Denuziere, à vouloir associer dans le romanesque historique, erudition et narration. On se sent en fin de lecture du premier tome de Bahamas plus intelligent et forcément rejoui.
Grand plaisir de lecture, de belles evasions, et de belles aventures, avec les Caraïbes pour tropisme et un pont sur la mer pour attache et intrigue, la géopolitique americaine sous le Second Empire, l'humanisme des Lumières. Et toujours cette ecriture posée, de facture classique, rieuse, moqueuse, salace et libre de toutes convenances. Une belle plume en somme chez une belle personne.
On ne s'ennuie jamais avec Denuziere.
Commenter  J’apprécie          90
Chronique d'une famille sur plusieurs générations aux Bahamas (de 1850 au début du XX è siècle), de l'arrivée d'un ingénieur français venu pour construire un pont à ses descendants ayant fait fortune grâce à divers événements. Grande fresque romanesque sur une île paradisiaque. Un très beau roman, une écriture magnifique.
Un triptyque envoûtant!
Commenter  J’apprécie          70
Ce premier tome de la sage d'une famille anglaise vivant au Bahamas m'a beaucoup rappelé la saga Louisiane. En effet, les personnages se rapprochent beaucoup de ceux de Lousiane et l'époque traversée est la même : la lutte contre l'esclavage (les prémices de la guerre de Sécession), le métissage, des caractères biens trempés, jusqu'à l'impossibilité d'avoir des relations intimes. Les mêmes ingrédients au milieu de l'Océan.
L'auteur nous abreuve toujours de données historiques en profitant également pour ouvrir les débats. J'adore !
Commenter  J’apprécie          20
Charles Ambroise Desteyrac , jeune diplomé des Ponts et Chaussées part en 1853 pour une île des Bahamas afin d'y constuire un pont résistant aux ouragans . Il découvrira le charme de la vie sous les tropiques malgré le caractère difficile de son employeur Lord Cornfield . Il réussira à réconcilier ce dernier avec sa soeur Lady Lamia . Il fera du neveu du lord Malcom Murray et de Lady Otilia ses meilleurs amis et rencontrera l'amour .

La place des "autochtones" libres ou encore esclavse , ainsi que celle des femmes et du mariage , les avantages de la nature et ceux du progrès sont abordés par les différents personnages et l'on découvre les différences de modes de vie, de valuers et de pensées entre les Anglais , les Français et les Américains de cette époque.

J'ai lu la première moitié du livre (700p) avec plaisir et puis pour la seconde partie, ma lecture a été plus laborieuse , trop de données historiques , techniques ralentissent et alourdissent le roman . Il est vrai que le contenu est assez fouillé , précis ,sérieux,documenté , on a un bon aperçu de la vie au XIXe dans cette région mais on perd un peu le fil du roman.....
Lien : http://theetlivres.eklablog...
Commenter  J’apprécie          21
Lecture en demi teinte. Absorbée par la première partie du roman, lassée par la seconde. Trop d'informations reçues rapidement, quelques longueurs et un alourdissement du récit ont contribué à freiner ma lecture.

Toutefois, l'auteur sait de quoi il parle, on sent qu'il maitrise le sujet, qu'il s'est renseigné, documenté.

Les deux tomes suivants sont dans ma bibliothéque, ils en sortiront peut-être un jour, mais sans doute pas tout de suite. Un jour peut-être, quand j'aurai envie d'une lecture qui demande de la concentration poussée.
Commenter  J’apprécie          00

Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
Soyez indulgent pour elle, car le plus commun des plaisirs lui est à jamais interdit, et mon frère, qui espère tant un petit-fils, n'aura pas de successeur. De quoi désespérer une femme qui paraît avoir tout pour elle : beauté, naissance, fortune !
Commenter  J’apprécie          30
Nous nous prosternons devant le veau d'or, nos dirigeants sont des utopistes ou des coquins, des politiciens corrompus ; toute majorité n'est, chez nous comme chez les autres, que rassemblement de sots et d'ignares. La vraie religion de l'Amérique, pays des nains Lilliput se nourrissant de haricots bien gras, serait l'hypocrisie, et notre idole, le dollar !
Commenter  J’apprécie          10
 À Soledad, comme dans toutes les colonies, l'homme blanc, en charge de la propagation de la civilisation, s'attend à ce que l'indigène apprécie la grâce que lui fait l'Européen en l'arrachant à la vie sauvage. Le maître clame les vertus du travail, brandit la Bible ou les Évangiles, fustige la paresse, oblige l'indigène, qui ne l'a pas invité sur ses terres, à suer sang et eau, du lever au coucher du soleil. Et cela, afin de constituer au colon, venu d'ailleurs, une fortune, si possible héréditaire, dont il jouira en famille dans son pays !
Commenter  J’apprécie          00
On ne peut se passer des nègres dans les plantations de canne, de café, de tabac. Ce sont les seuls qui résistent aux travaux des champs sous ce climat.
Commenter  J’apprécie          20
 La mer a une certaine façon d'accueillir les voyageurs. Ceux qui lui plaisent n'ont pas de nausées. Les autres souffrent plus ou moins longtemps. Le temps que mesdames les vagues s'habituent à leur présence…,
Commenter  J’apprécie          10

Video de Maurice Denuzière (4) Voir plusAjouter une vidéo

Maurice Denuzière
Jacques CHANCEL s'entretient avec Maurice DENUZIERE, grand reporter au journal "Le Monde" : - Comment et pourquoi il a écrit son livre "Louisiane". - Evocation de la Louisiane et de la maison d'une sudiste : Madame de PARLANGE. - Les rapports entre Français émigrés et Cajuns. - le racisme en Louisiane actuellement. - La vie en Louisiane autrefois et aujourd'hui.
autres livres classés : bahamasVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (86) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3169 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..