Le caractère dyscool se justifie par la présentation globalement très aéré des caractères larges d'imprimerie, l'usage de deux couleurs pour les textes (le bleu renvoie à des exemples en page de gauche ou à la consigne pour la page de droite) la nette séparation de ce qui relève de connaissances à assimiler par l'élève (page de gauche) de ce qui est exercices (page de droite), la progressivité des notions abordées (à la fois dans une page et globalement) et enfin des pictogrammes pour indiquer l'action (come cocher, écrire ou surligner). L'ouvrage présente 91 pages de contenu (sans compter les pages détachables de correction) et cela fait 41 points à aborder.
L'ouvrage est divisé en six parties : grammaire, conjugaison, orthographe, vocabulaire expression écrite et dictées aménagées. Pour cette dernière division, il s'agit de choisir entre deux mots donnés, toutefois il n'est pas interdit de faire réfléchir d'abord autour des deux mots sélectionnés puis de proposer en dictée le texte entier, auparavant lu deux ou trois fois. Ce sont les accords, les conjugaisons et les homophones grammaticaux (comme "est/et" ou "mais/mes") qui sont mis en exergue.
Sont étudiées sur deux pages (une de cours et une d'exercices) quarante-trois notions qui permettent de revoir l'essentiel du programme de sixième. Alors que certains cahiers de vacances sont des collections d'exercices, sans proposer la moindre information permettant d'aider à répondre (comme la série de "Cahier de vacances … et bien plus encore !" de
Virginie Becquet et Laetitia Zinck), cet ouvrage de la collection dyscool permettra à un très grand nombre de jeunes de réviser leurs connaissances en français sans être dans une situation globale d'échec.