Très sympa

Les beaux jours revenant j'ai sorti cette lecture qui me semblait sympathique au premier abord, le genre de roman comme j'aime lire pas prise de tête entre des polars sanguinolants.

Malheureusement et dès le début la sauce n'a pas pris avec moi, pourtant les premières pages mentionnant cette jeune étudiante du nom de Rachel qui tombe folle amoureuse de son professeur d'écriture Zahid était un petit peu intéressante surtout avec le fait qu'elle doit garder le chien de celui-ci. En effet Zahid doit se rendre au Pakistan et Rachel lui promet de garder son chien de celui-ci qui est un caniche royal.

Tout ceci sans prévenir sa mère, or Rachel et sa mère Becca ont récemment perdu leur caniche royale qui est décédé donc très rapidement Becca prend un peu ce caniche pour un substitut de celui qui est décédé.

Le point sympathique de ce récit est le fait que cela change de point de vue et de personnages, mais malheureusement je n'ai pas trouvé les personnages drôles ou mêmes sarcastique me laissant un peu indifférente à leurs destins.

De même pour l'histoire d'amour entre Zahid et Becca m'a semblé plus que malsaine car au départ celui-ci sort avec sa fille.

Une lecture qui se lit rapidement mais qui sera tout aussi vite oubliée de mon côté.

Très sympa en effet comme lecture !

Rachel est étudiante et est tombée sous le charme de son professeur d'écriture créative, Zahid, un pakistanais qui a écrit un roman à succès et a bien du mal à écrire le second... Un soir les choses dérapent entre eux, et pour maintenir le lien, Rachel propose de garder son caniche pendant qu'il retourne au Pakistan. La voilà qui ramène donc le chien dans le Connecticut, chez sa mère, qui vient de divorcer mais qui a plus de mal à faire le deuil de son caniche que de son mari.....Zahid, de retour plus tôt que prévu du Pakistan, ne peut pas retourner dans son appartement qu'il a sous loué à Khloé, une lesbienne métisse de 30 ans qui rêve de gagner beaucoup d'argent dans la finance pour séduire la baby sitter qu'elle avait quand elle était petite...Il prend donc la route du Connecticut et est très bien accueilli par Becca, la mère de Rachel...Un peu trop bien même au goût de Rachel....

Voilà une vraie comédie romantique, où les situations cocasses entre les personnages s'enchaînent...C'est léger, c'est drôle, pétillant...parfait pour les premiers rayons de soleil du printemps !

Merci à Netgalley et aux Presses de la cité pour cette lecture !

Un romancier en panne d'inspiration.
Une étudiante en manque d'amour.
Une divorcée sexy.
Un caniche névrosé.
Entre débats politiques et ébats érotiques, les vacances s'annoncent très sympas !

Cette accroche de quatrième de couverture a fait son effet et j'ai ouvert ce roman en me disant que j'allais me régaler.
Malgré un début qui correspondait à mes attentes , je n'ai pas réussi à réellement entrer dans ce récit. Pourtant les premières pages racontant comment Rachel, jeune étudiante qui tombe folle amoureuse de son professeur d'écriture Zahid étaient intéressantes et surtout le fait qu'il lui demande de garder son caniche royal car il doit se rendre au Pakistan créait un effet d'attente.
Sans prévenir sa mère qui elle-même vient de perdre son caniche, Rachel débarque avec ce chien que qui devient pour Becca un substitut de celui qu'elle a perdu. L'arrivée de Zahid, qui se retrouve sans logement et qui vient "squatter" chez Rachel et Becca va venir bouleverser la quotidien et la vie des deux femmes.
Ce début de roman était en accord avec ce que j'en attendais mais après le récit s'est étiré et je n'ai pas ressenti le côté satirique du roman, qui pour moi n'a pas suffisamment exploité l'ironie. Les personnages ont été, pour moi, plus des stéréotypes et j'ai eu du mal à éprouver des sentiments pour eux
J'ai, cependant, bien aimé l'alternance des points de vue et j'ai trouvé que l'ambiance de la vie américaine était parfaitement retransmise.
Je relirai ce roman afin de confirmer ou non mon idée.

Dans cette banlieu chic des Etats-Unis, Rachel jeune étudiante revient chez elle pour passer les vacances d'été. Elle amènera malgré elle son beau professeur d'écriture créative : Zahid., avec qui elle a couché un soir. Son professeur est un écrivain un peu déboussolé qui peine à écrire son nouveau roman.
Elle pense passer un été torride avec son éphèbe, mais c'est sans compter sur sa mère, Becca, une quinquagénaire sexy, fraîchement séparé de son mari, qui ne laissera pas insensible Zahid.

S'en suit un triangle amoureux digne d'un feuilleton américain voir, meilleur !
Une lecture fraîche et pétillante complètement addictive. Un vrai page turner dont l'alternance de chapitres entre les différents personnages amène encore plus de dynamisme.
Si l'humour est très présent dans ce livre on parle aussi d'amour, d'homosexualité, de port d'armes, de relation parents-enfants, de sexe....

Bref , si vous chercher LE roman à lire à la plage ou à la piscine n'hésitez pas , c'est celui-ci qu'il vous faut.
Pour un moment très sympa !

On se trouve en présence d'une satire savoureuse entre soap opera et fable contemporaine, qui tire tous azimuts pour flinguer les certitudes et prouver que rien n'est jamais établi tant qu'on ne le souhaite pas sincèrement. On peut y voir en filigrane une dénonciation mordante de la société américaine avec ses stars de la télé-réalité, ses objectifs de consommation excessive et ses dérives au nom du paraître, de l'ego et des avoirs faciles. Une bonne claque qui remet certaines idées en place et qui, in fine, permet de rire de soi-même. On le sait, le triangle amoureux fait partie des classiques de toute comédie, avec jalousie, portes qui claquent et bons mots. Marcy Dermansky a choisi d'actualiser ce cadre en évitant de caracoler dans les poncifs et de tirer à elle des codes devenus lieux communs. L'opportunité de mettre en scène un romancier confronté au drame de la page blanche, une étudiante frustrée et une divorcée franchement sexy. Confrontés les uns aux autres, les membres trio peuvent se lâcher en toute liberté pour passer des vacances sympathiques. Bien entendu, Cupidon et le dieu Luxure se glissent dans ce moment suspendu pour abattre leurs cartes et tenter de secouer l'âme ce qui peut l'être.