Un de mes livres préférés par un de mes écrivains préférés. J'ai adoré l'atmosphère de ce roman: l'élégance, le charme, la magie de Paris et la destinée étincelante et fabuleuse d'Adéline la danseuse
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Je trouve que ce livre est beau et triste . Il raconte une triste histoire mais heureuse de temps en temps . On vas à chaque période de moment fort pour Adeline. de sa jeunesse à sa vieillesse. le seul problème, c'est que je me suis pas attacher au personnage principal qui est adeline .
Mais je pense que tout le monde doit le lire
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Je me sens profondement touché par la mort du père puis surtout de la mère de la petite Adéline le jour même de sa première prestation dans l'opéra. Pourquoi cette pauvre femme n'a t-elle pas eu la chance d'assister sa petite fille?
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Je me sens profondement touché par la mort du père puis surtout de la mère de la petite Adéline le jour même de sa première prestation dans l'opéra. Pourquoi cette pauvre femme n'a t-elle pas eu la chance d'assister sa petite fille?
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-"Elles" commencent à se fatiguer, lança de l'avant-scène Léo Staats à Adeline. Il serait préférable de faire la pause : le travail n'en sera que meilleur après.
-La pause ? Grommela l'octogénaire. Elles n'ont que ce mot-là à la bouche ! Est-ce que je suis fatiguée, moi? Et même si je suis le suis, je ne le montre pas !
-Chère amie , dit en souriant Albert Roussel, chacun sait que vous et Mme Raisimi êtes des femmes à part , trempée dans l'acier .
- L'acier qui permet seul d'arriver dans ce métier ! Trancha Adeline avant de donner l'ordre : dix minutes de pause , Mesdemoiselles, puisque vous êtes incapable de faire un effort soutenu ...
Un siècle doit être trop long ou trop court selon le lieu ou l on a été condamne a le vivre.l héroïne de cette histoire a eu le bonheur de naître,de vivre, d'aimer de souffrir, de danser surtout et de mourir a paris après avoir passe cent années d'une exidrance riche en émotions.
-Pourquoi ne m'as tu jamais parlé de ton enfance, Giselle ?
-Parce que je ne la regrette pas et que c'est affreux de ne pas regretter son enfance !
Quand on veut devenir très vite une Étoile, comme toi, il faut laisser les autres deviner votre joie, mais ne jamais devenir un objet de pitié. La pitié ne s’entend pas avec la réussite.
Ce besoin de jeunesse physique éternelle avait, chez elle, quelque chose d’attendrissant… Ceux qui la fréquentaient finissaient par ne plus y prêter attention et l’acceptaient, telle quelle, avec son petit travers. Celui-ci était largement compensé par une qualité suprême qui ne disparaîtrait qu’avec elle : le charme. Un charme fait de ses expériences amoureuses plus ou moins manquées, de l’éclat conféré par un passé artistique indéniable, d’une existence longue à demie réussie, de mille sentiments enfin qui n’avaient pu s’exprimer que par la danse.
"Le chateau du clown" (Plon) est le 40ème roman de Guy des CARS, dont il lit les premières lignes à Bernard PIVOT. L'écrivain définit ce qu'est un roman, alors que le personnage de son livre, lui, a existé. Au cours d'un séjour dans le Sud il visite le château de GROK, château monstrueux ou le clown est enterré. Guy des CARS raconte, comment, jeune journaliste, il a fait une tournée avec le Cirque Pinder. Dans son roman il raconte l'ascension et le déclin de GROK.PIVOT lui parle de sa "pas bonne" réputation dans le milieu littéraire, celui-ci dit qu'il est "lu". Il a des lettres de grands écrivains, GIDE, VALERY, CARCO, COLETTE qui l'ont encouragé. Il parle du seul prix littéraire qu'il ait eu dans sa carrière, du Goncourt qu'il n'a pas eu, et de la bataille que ça a suscité à l'époque. De noblesse authentique, il est fier des militaires de sa famille, notamment celui de l'Algérie. Il se dit "heureux", entouré de gens intelligents...ne se voyant pas d'ennemis.Mot de la langue française qu'il n'aime pas : valableMot que vous aimez bien : l'amitié
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