AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,1

sur 223 notes
5
5 avis
4
15 avis
3
3 avis
2
0 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai fait l'impasse sur les tomes 2 et 3 pour les critiques car ils n'ont pas un grand intérêt pour la narration: la dilution n'est pas ma tasse de thé!
Avec ce tome 4, nous entrons enfin dans le vif du sujet!
Le Scorpion ne peut empêcher l'élection de son ennemi héréditaire Trebaldi à la tête de la papauté. Ce dernier a falsifié des reliques pour parvenir à ses fins et obtenir une légitimité pontificale.
Notre Scorpion n'a pas dit son dernier mot et se rend à Istanbul sur les traces d'Hélène, mère de l'Empereur Constantin pour retrouver les authentiques reliques.
Dans son sillage, deux belles femmes sulfureuses: la rousse Ansea Latal et la brune gitane Méjaï se chargent de donner du fil à retordre à notre bel italien.
Les couleurs d'Enrico Marini sont chatoyantes comme des étoffes orientales.
Ses rouges et ses verts sont un hymne aux couleurs byzantines et ce tome 4 une invitation au voyage...

" le voyage vers l'orient ressemble toujours à un fascinant retour aux sources. Notre esprit n'est-il pas né, nos espoirs n'ont-ils pas pris forme là-bas? Où d'autre pourrions-nous aller pour chercher à la fois notre passé et notre avenir?"
Commenter  J’apprécie          275
Je pense qu'à mon prochain passage à la médiathèque je vais emprunter le reste de la série. L'histoire des différents tome n'est pas réellement découpée en chapitre, et à chaque fin de lecture, il me tarde de lire la suite. Heureusement que j'avais pris le tome 5 avec le 4;
Finalement, cette petite série, l'air de rien porte un regard critique sur la fondation du christianisme... et ce n'est pas pour me déplaire.
Par contre le personnage principal et tout de même assez remarquable de naïveté face aux femmes, d'érudition en terme d'histoire ancienne et d'archéologie (je me demande même si le mot existait au XVIIème siècle), de chance compte tenu de tous les événements qu'il traverse.
C'est tellement abracadabrant, que c'est peut-être ce qui m'amuse le plus dans cette lecture.
Commenter  J’apprécie          90
Voilà Scorpion qui part pour l'Empire ottoman afin de mettre la main sur la véritable relique qui confondra l'ignoble cardinal Trebaldi, lui qui pendant ce temps fait le ménage par le vide dans la curie romaine pour accéder à la papauté.
Alors que quelques flashback nous renseignent sur le passé du héros et comment il a été adopté par de sympathiques prostituées (toutes les putes sont sympas et au grand coeur dans Scorpion), une nouvelle bombasse, que l'on n'avait qu'entrevue jusqu'alors, arrive sur le devant de la scène, j'ai nommé Ansea Latal, une représentante d'une des neuf familles Illuminati.
Tout comme Méjaï l'égyptienne, elle va passer son temps à faire les yeux doux à Scorpion avant de s'empresser de le trahir à la première occasion (toutes les bombasses sont des traîtresses dans Scorpion, mais à la manière d'un James Bond du siècle des lumières, il leur pardonne à chaque fois avec magnanimité).
Si Marini excelle à nous dépeindre les charmes de l'orient avec des couleurs toujours aussi chatoyantes, Desberg, à mon avis, rate la deuxième partie de son scénario, à savoir toute la phase de recherche et d'enquête à Istanbul, qui m'a paru bien confuse, comme s'il voulait beaucoup dire mais qu'il était pris par la place.
Commenter  J’apprécie          60


Lecteurs (541) Voir plus



Quiz Voir plus

6 questions pour voir si vous avez lu le Scorpion, tome 6:Le trésor du temple, moyen

comment s'appelle l'égyptienne, amoureuse de scorpion?

Réjaï
Méjaï
Thaï

6 questions
4 lecteurs ont répondu
Thème : Le Scorpion, tome 6 : Le Trésor du Temple de Stephen DesbergCréer un quiz sur ce livre

{* *}