Voilà Scorpion qui part pour l'Empire ottoman afin de mettre la main sur la véritable relique qui confondra l'ignoble cardinal Trebaldi, lui qui pendant ce temps fait le ménage par le vide dans la curie romaine pour accéder à la papauté.
Alors que quelques flashback nous renseignent sur le passé du héros et comment il a été adopté par de sympathiques prostituées (toutes les putes sont sympas et au grand coeur dans Scorpion), une nouvelle bombasse, que l'on n'avait qu'entrevue jusqu'alors, arrive sur le devant de la scène, j'ai nommé Ansea Latal, une représentante d'une des neuf familles Illuminati.
Tout comme Méjaï l'égyptienne, elle va passer son temps à faire les yeux doux à Scorpion avant de s'empresser de le trahir à la première occasion (toutes les bombasses sont des traîtresses dans Scorpion, mais à la manière d'un James Bond du siècle des lumières, il leur pardonne à chaque fois avec magnanimité).
Si Marini excelle à nous dépeindre les charmes de l'orient avec des couleurs toujours aussi chatoyantes,
Desberg, à mon avis, rate la deuxième partie de son scénario, à savoir toute la phase de recherche et d'enquête à Istanbul, qui m'a paru bien confuse, comme s'il voulait beaucoup dire mais qu'il était pris par la place.