Oliver Page est archéologue et il découvre une tombe bien étrange. L'homme enfermé dans le sarcophage porte une étrange blessure au crâne et pour seul mobilier funéraire un bien mystérieux trône.
Apres une courte introduction du futur, où l'on voit deux personnes traqués un dangereux parasite, nous arrivons à la fin du 19e siècle dur un terrain de fouille. Oliver va vite se rendre compte qu'ils n'ont pas ramené à Londres que des vieux vases funéraires mais aussi un dangereux parasite zombifiant ses victimes.
Bon ce premier ne m'a pas franchement convaincue. L'histoire de base est assez convenue et le scénario pas franchement bien ficelé. Il est à la fous trop rapide et confus. Et puis on n'y crois pas une seconde : Olivier comprend quasi instantanément que le "trone" est une machine à voyager dans le temps et comprend comment s'en servir dès la première utilisation...
Le dessin de Griffo a ce côté léger et romantique qui est agréable bien qu'il manque de rigueur et de détail.
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Emprunté sur un coup de tête, ce premier tome du diptyque mélange policier, fantastique et SF. Ca fait beaucoup à assimiler en peu de temps et pourtant, Oliver Page, notre archéologue va mettre moins de temps que moi à s'acclimater... Les dessins sont très beaux mais le contenu ne m'a pas convaincue. Un effet relatif au nombre d'éléments que les auteurs veulent mettre dans cette série et à la sensation de hâte. Si j'ai la foi, je me lance dans le prochain tome, juste pour terminer la série.
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Oliver Page est un jeune archéologue qui, en 1874, au centre de la Perse, pense avoir trouvé le tombeau d'Alexandre le Grand.
Les intuitions de sa consoeur Beatriz Bentham-Rose, pour laquelle il se découvre des sentiments beaucoup plus... romantiques, sont donc sur le point de se vérifier.
Mais au moment où ils sont rejoints par Sir James Prown,, commanditaire de l'expédition, pour lui laisser l'honneur de passer en premier les portes du mausolée, un doute s'empare de Beatriz sur l'occupant des lieux.
Une mise en garde assez explicite explique que ce "monstre" a été enterré vivant afin d'endiguer la malédiction qu'il répandait.
Malheur donc à ceux qui en forceront le tombeau.
Oliver a pénétré dans le tombeau la veille, et Sir Pown est sur le point de libérer la stèle funéraire....
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Habitué des thrillers et des séries historiques, Stephen Desberg se tourne depuis quelque temps vers l’écriture de récits plus courts. « Olivier Page » lui permet de signer une histoire d’aventure à la manière des pulps américains de l’entre-deux-guerres. Du Londres victorien à un lointain futur en ruines, Griffo nous régale avec ses images aux décors soignés riches en petits détails.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Une équipe talentueuse aux commandes de cette histoire fantastique classique mais efficace, Stephen Desberg et Griffo nous offre un voyage entre deux époques, un post apo futuriste sans espoir et une époque steampunk en danger. Le personnage cabotin d'Olivier Page est attachant et le parasite bien étrange.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Le scénariste Stephen Desberg réalise une histoire bien singulière, en deux tomes, qui se partage au travers des siècles, entraînant le lecteur dans une machinerie infernale. Avec un rythme haletant, la malédiction des tombes profanées resurgit de la plus belle des manières où le futur se mélange avec le passé.
Lire la critique sur le site : Auracan
À mi-parcours, Oliver Page & les tueurs de temps ne répond pas aux fortes attentes suscitées par l’association de ces pointures de la bande dessinée. Le second tome du diptyque, attendu dès le mois prochain, devra clôturer les intrigues et ralentir la balade temporelle au profit de l’examen des personnages.
Lire la critique sur le site : BDGest
Permettez-mpi de me présenter...
Oliver Page. Je suis beaucoup de choses. Aventurier, journaliste, coordinateur, entremetteur...
Je parle autant la langue des dockers de Londres que celle des porteurs fârsis, histoire de pouvoir me débrouiller dans toutes les situations...
et réussir quand on n'a pas eu la chance d'aller à l'université ou d'appartenir aux cercles fermés de la l'élite anglaise...
Le temps est un joueur avide qui gagne toujours à la fin.