Michel LussaultPhilippe DescolaTim Ingold/5
4 notes
Résumé :
L’anthropologie a mis au jour que tous les êtres humains n’ont pas la même compréhension du monde ni de ce que signifie être au monde ; parmi ces ontologies, aucune ne surclasse les autres. Existe-t-il alors un point de vue neutre à partir duquel les étudier et les comparer ? Dans ces manières d’être et de « composer des mondes », quelle est la part du processus ? Quelle est la part de l’inscription de l’homme dans l’enchevêtrement des existences et celle de l’obser... >Voir plus
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critiques presse (1)
Un débat entre deux anthropologues d’horizons différents qui permet de réveiller l’aspect critique que toute anthropologie devrait préserver.
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Citations et extraits (2)
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P. Descola: Toutes les ontologies se valent parce que chacune propose une façon légitime et originale de discerner des continuités et des discontinuités dans la trame des choses.
Ma conviction est que le rôle de l’anthropologie consiste (...) à faire de la vie humaine elle-même une conversation.
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avec Louise BOLLACHE, sociologue, Philippe DESCOLA, professeur émérite au Collège de France, Ethnographies des mondes à venir (Seuil), Étienne WALKER, géographe, animé par Michel LUSSAULT, géographe
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Pas de sciences sans savoir (quiz complètement loufoque)
Présent - 1ère personne du pluriel :
Nous savons.
Nous savonnons (surtout à Marseille).
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