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Critique de levri


Depuis le décès de son grand père David fait des cauchemars où celui-ci demande son aide, il a maintenant dix huit ans et sur les conseils de sa grand mère il entre à l'université de Cap Rock … dans le département de Parapsychologie où il espère développer ses dons afin de pouvoir secourir son grand père et se défendre face au Voleur d'Âmes.
Très vite nous côtoyons le surnaturel et aux cours normaux s'ajoutent des cours sur des domaines moins courants comme les perceptions extra-sensorielles, la psychokinèse et la décorporation, avec les travaux pratiques qui vont avec.


Dès l'arrivée à la fac David se joint à des amis afin de former "la Confrérie de l'invisible", tous les clichés sont au rendez-vous, Robert, beau gosse ténébreux qui roule en Porsche et a des fréquentations douteuses et un mystérieux paternel puissant, Louise, paraplégique intellectuelle et Alice, une superbe blonde qui a des affinités avec les éléments, sans oublier le scientifique mystérieux qui leur servira de mentor. Il y avait de quoi faire mais les personnages peinent à prendre de l'épaisseur et à la fin de ce premier tome nous ignorons toujours l'identité du père De Robert, que tout le monde semble connaître sauf les héros et quel est le problème d'Alice.
Côté action les fantômes, poltergeists et autres apparitions surnaturelles se multiplient et la science s'allie à l'occulte, tout coule de source un peu trop facilement, si on oubliait l'apport de sexe, drogues et alcool grâce à Robert on serait dans un roman ado classique.


L'écriture est simple et assez fluide, l'intrigue et les personnages restent convenus et superficiels, un livre commercial une fois de plus situé en Californie (décidément les auteurs français continuent à imaginer que c'est vendeur), de la littérature adolescent un peu encanaillée pour satisfaire les "Y.A", un roman de délassement sans prise de tête et sans grand intérêt.
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