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EAN : 9782211231008
320 pages
L'Ecole des loisirs (25/01/2017)
3.55/5   85 notes
Résumé :
En apprenant qu’il entrait en cinquième au collège des Museaux, Elliot avait trouvé le nom de l’établissement plutôt marrant, il s’était même dit qu’il allait pouvoir y changer de vie, en finir avec ses ennuis. Tu parles ! Il risque de trouver le temps long ici. Il n’y a pas de réseau et pas de WiFi. Des profs complètement barges, des élèves nourris au quinoa qui trouvent normal d’apprendre l’estonien en LV1 ou de grimper aux arbres en EPS. Sans parler de cette fill... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (34) Voir plus Ajouter une critique
3,55

sur 85 notes
Voici un titre qui rappelle quelque chose, dirait Annie Barrows. Mais ici il ne s'agit pas d'épluchures de patates...
C'est grâce à une masse critique « Jeunesse » que j'ai découvert ce livre.
Et c'est une belle découverte, j'ai passé un excellent moment à sa lecture.
Ce livre est classé « Littérature jeunesse », mais cela fait du bien aux adultes de se retrouver dans une ambiance de collège, mais si celui-ci est un peu particulier.

Elliot entre au collège des Museaux dans un internat réservé à des élèves ayant eu quelques difficultés dans leur jeune expérience. Il n'y a pas de réseau ni de wi-fi, pas de frites à la cantine, mais beaucoup de légumes inconnus, les punitions sont originales, mais pas autant que les profs.
Il y rencontrera d'autres élèves, d'autres pensionnaires plus ou moins fréquentables et se fera quelques amis, dont Péline, une jeune élève de sa classe, différente et volontaire, qui va l'aider à affronter certains ennuis liés aux fréquentations de sa mère. Cela n'ira pas sans la naissance de premiers émois amoureux.

L'histoire est prenante car le suspense est bien entretenu. D'autant que le style de l'auteur, tout en restant simple est agréable et fluide. L'auteur a vraiment su retrouver et transcrire l'ambiance de ces années de collège que nous avons vécues aussi. (Il faut dire qu'elle est elle-même enseignante)
« le collège des éplucheurs de citrouilles » est son premier roman. Cela me semble très prometteur et, qu'elle écrive pour les jeunes ou les moins jeunes, elle mérite que l'on s'intéresse à sa future production.
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Elliott, un jeune garçon, fait sa rentrée en tant qu'interne au collège des Museaux. Mais il ne s'attendait pas à ça : pas de WiFi, des professeurs bizarres et de l'estonien comme langue vivante ! Alors qu'il commence à s'intégrer, le collégien réalise qu'un de ses plus précieux objets a été volé. Il recherche alors le coupable aux côtés de Péline, et il pourrait bien y avoir des surprises !
le livre est très facile à lire et à suivre. Malheureusement ce n'est pas un coup de coeur car moi qui aime bien les livres d'action, il n'y en a que très peu et l'élément perturbateur n'arrive que très tard. J'ai aussi trouvé qu'il y avait trop de détails (souvent inutiles). C'est comme si l'histoire était un chemin où l'on s'arrête pour cueillir des fleurs de tous les côtés : on finit par s'égarer du sujet principal !
Sans tenir compte de ces détails, j'ai trouvé que Laure Deslandes a adapté le texte aux jeunes, avec du vocabulaire simple ce qui permet une lecture fluide et agréable.

Clélia

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On y suit deux personnages, qui sont attachants ; Péline, élève au collège des Museaux, vit dans la petite ville de Trégondern depuis son plus jeune âge. Elle vit avec sa mère, qui vit de petits boulots. Tout va bien pour Péline, elle a des amis et fait ses activités comme tout collégien de son âge. Mais à la rentrée, un groupe de jeunes citadins de quartiers difficiles arrive dans le collège qui propose un internat rural pour éloigner ces élèves difficiles de leur contexte familial pas toujours facile. Parmi ces jeunes, Elliott, qui est venu ici pour fuir Vince, son beau-père violent, qui vient de sortir de prison. Eliott souhaite cacher un bijou précieux dans ce nouveau collège qui lui rappelle son père, mais son beau-père veut s'en emparer. Péline se fait harceler par les nouveaux élèves car elle est un peu ronde et rousse, Elliott veux se démarquer des autres. Pour cela il est gentil et ne se préoccupe pas des différences des autres.

Manoah

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Ennuyeux... Franchement, ce livre "Le collège des éplucheurs de citrouilles," je ne veux plus en entendre parler. Il m'a beaucoup déplu... En lisant le titre, je ne m'attendais pas à quelque chose d'aussi bizarre... Il y a trop de détails qui sont assez inutiles et qui ne s'attachent pas vraiment au sujet principal. Sans mentir, je n'ai pas eu la force de finir le livre : il y avait trop de péripéties et je savais que je ne raterai rien en le terminant... Ce livre est un trou quand on commence à lire, on n'en ressort pas...
Il parle d'Elliot et Péline qui se rencontrent au collège des Eplucheurs de citrouilles, où il n'y pas de réseau, pas de WIFI, des profs bizarres et de l'Estonien en LV1!! Elliot lui voulait intégrer ce collège pour fuir son beau-père, je crois mais le regrettera quand un élément perturbateur se produit, qui arrive assez tard :on lui vole un objet qui lui est cher à ses yeux...
Clément
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Simple, voici l'adjectif qui pour moi qualifie le mieux ce roman.
Le livre parle d'Eliott un jeune garçon qui entre en tant qu'interne au collège Museaux. Dès son arrivée, tout lui semble étrange et bizarre: pas de wifi ni de nouvelles technologies, des professeurs surprenants, de l'Estonien comme langue vivante ou même des punitions improbables comme éplucher les légumes.
Une fois installé dans sa chambre, il ne perd pas de temps à cacher un objet de valeur auquel il tient beaucoup, mais peu de temps après, il retrouve sa chambre sans dessus dessous et se rend compte que son objet a disparu, Eliott à été volé !
Ce livre c'est comme un jeu que l'on ne peut pas arrêter en pleine partie. Bien qu'il soit facile à lire car en le lisant on ne rencontre aucune difficulté à comprendre les mots, et le fait qu'il se lise rapidement, ce n'est pas un livre que j'ai apprécié et que je recommande aux personnes qui aiment lire de l'action et du mouvement car je trouve qu'il n'y a pas d'action ou alors très peu et celle-ci arrive bien trop tard. de plus je trouve également que les descriptions sont beaucoup trop présentes et sont parfois inutiles car elles n'apportent rien au récit. Malgré tout le roman reste amusant.
Chloé
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auteur: Laure Deslandes
Genre :roman
Thème: collège, différence, environnement

Eliott, jeune garçon , fait sa rentrée dans un nouveau collège en cinquième, le collège des Museaux. En voyant le nom de l'établissement il se dit qu'il allait enfin avoir des vrais cours. Arrivé le lundi à son collège, épanoui et tout souriant il découvre par la directrice qu'il n'y a pas de wifi ni de réseau. Immédiatement, pour Eliott c'est une catastrophe. Il rencontre peu de temps après une fille bizarre à ses yeux qui se nomme ''Péline''. Par la suite il se méfie des jeunes qui dorment avec lui, car il s'est aperçu qu'ils fouillaient dans ses affaires de sa chambre, dans lequel un objet précieux était caché et qui lui rappelle son enfance et auquel il tient beaucoup.
Je n'ai pas aimé ce livre car même s'il était original par rapport aux autres romans je n'ai pas accroché et il y a des passages ou je me suis embrouillé. J'ai quand même compris le principal de l'histoire.
Ce livre, plein d'actions les aventures qui se passent dans le collège, est fantastique.

Lisa......................................................................................................

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Elliot et Péline sont des élèves de cinquième, Henrique lui est en sixième ( sa forte corpulence déterminerait autre chose et son QI autre chose encore, pourrait dire Péline).

L'aventure proposée par Laure Deslandes est volontairement peu fun et ceci va justement contribuer à garder ce récit dans la veine des romans ados avec des situations qui "craignent", tout en révélant la précieuse particularité du lieu de manière astucieuse.
Le collège des éplucheurs de citrouilles. Un titre qui force le déclic.
Ceux et celles qui se sont déja littéralement brisés le poignet à creuser une citrouille comprendront le non-sens.
Au collège des Museaux à Trégondern, lorsque l'on est puni, on est pas de corvée d'épluchures de patates mais plutôt de corvée de citrouille.
A Trégondern, on ne fait pas les choses comme ailleurs,
les habitants le taxent comme le grand oublié de l'Inspection de l'Education Nationale.

Eliott et Péline sont envoyés à cette école des tréfonds, selon Eliott, dans un internat en Bretagne, dans un lieu où les ondes du portable ne passent pas et où on ne capte pas la Wifi.
Une affaire qui commence mal pour ces ados addictes des jeux vidéos, d'internet et du téléphone portable.
Ils vont devoir se satisfaire des compagnies in situ, s'occuper aussi autrement qu'en pianotant un clavier.
Dur.
Laure Deslandes adopte une atmosphère un peu "Bobo" bourgeois bohème, qu'elle développe, grossit et dont elle fait sourire.
C'est une couleur qui fera la drôlerie subtile et décalée du roman.
Au collège des Museaux, on enseigne en première langue vivante l'Estonien,
on se retrouve au sommet des arbres pour changer du montée de corde ou parce que l'on craint les "bêtes qui circulent et on vit très très Bio.
Les professeurs se montrent tout aussi originaux mais sans clownerie exagérée.
C'est un mode de vie qui ne sera pas complètement étranger à Péline, dont la mère Solène, non conformiste, un peu baba cool dans l'inspiration,
célèbre le Yoga, le recyclage, les composts et la nourriture Bio.
Pour Elliot, cela sera un peu plus la scolarité en territoire inconnu
et la seconde chance d'avoir une scolarité calme et un suivi sans absentéisme.
Sa vie familiale est beaucoup moins légère.
Les deux vont un peu se trouver, Péline va surtout le chercher un peu,
intrigué par le jeune homme réservé.
Ils vont être quelque peu chahuté par Henriqué et Brandon, Péline en aura pour son grade pour sa rousseur et sa rondeur mais elle ne sera pas en reste pour corriger les indélicatesses.
Elliot cache des choses dont elle va vite prendre connaissance.
Le jeune ado vit dans l'obsession d'être visité par son beau-père, il cache un bijou précieux, un colibri serti de pierres précieuses dont il ne cesse de changer la cachette au collège puis chez sa nouvelle amie Péline.
Au fil des chapitres, Eliott passera plus de temps à Trégondern que chez lui, ce qui laissera le temps au personnage et au lecteur de goûter à la turbulente stabilité bretonne du lieu.
L'affaire du colibri va prendre de la place, contrastera avec les temps de quotidien presque "ordinaire" comme cela peut l'être à l'internat.
Les grossiers Henriqué et Brandon, le reste de la classe, vont être un rempart entre Eliott et son drôle de "beau-père". le temps que la tempête cède au calme, que la mère d'Eliott entende ce qu'il se passe.
Solène se montrera d'une aide solaire et nature pour détendre l'atmosphère.
La petite amourette Péline/ Eliott va se tresser progressivement et promettra des moments tendres, Péline est aussi brillante, exubérante et pétillante qu'Eliott est doux, posé et moyen élève.
Elle va lui faire découvrir les jeux et les fêtes du coin (Péline n'a pas la télévision).

A la lecture des premiers chapitres, on ne peut que peut-être supposer un décalage entre le style d'écriture et le jeune âge des ados héros.
A comparer à d'autres romans actuels d'un lectorat collège de 12 ans, le niveau de ce roman ci se montrerait plus exigeant, l'épaisseur ne promet pas de l'aventure vite lue de fantastique, "Le collège des éplucheurs de citrouilles" n'est pas difficile pour autant mais est probablement à recommander pour de bons lecteurs de 12 ans ou des ados un poil plus grand, qui ne seraient pas encore intéressés par les récits tendance sur la puberté.
Des dialogues francs, des personnages sans fards, quelques bourrades et deux-trois embrassades dont profiteront les lecteurs plutôt agréablement avec cette scolarité au grand air du nord-Ouest.
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Cet internat est à mille lieux de ce qu'on attendrait de l'Education Nationale : nourriture bio et plats pour le moins surprenants, pas d'ordi, un programme plus ou moins (moins) suivi... Mais des méthodes qui font leurs preuves : TIG en cuisine, autonomie, construction... Rien de tel pour remettre sur le droit chemin des petites racailles. Sauf quand le passé de l'un d'eux les rattrape.
Bon, la partie là, franchement, on y croit moyen.
Mais tout le reste, franchement, c'est assez drôle. Toute cette petite communauté un peu hippie, probablement pauvre (et pas seulement les personnages principaux. Non, la campagne n'empêche pas la pauvreté) le lecteur voit se former petit à petit un réseau de solidarité entre des ados qui ne se connaissaient pas, n'avaient rien en commune et dont la cohabitation n'était vraiment pas gagnée. Et le tout sans qu'ils ne s'en rendent compte...
C'est frais, c'est enlevé, ça met de la bonne humeur dans ses lectures !
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L'histoire se passe principalement dans un collège faisant aussi internat. Elliot est un interne qui rentre en 5ème. Péline, elle, est une habituée du collège rentrant dans la même classe qu' Elliot. Une histoire d'amour se lie entre eux.
Pour commencer la critique, déjà, quand j'ai lu le résumé du livre, j'ai cru que ce serai un livre comique et non d'amour. Je ne trouve pas ça très fair-play de la part de l'auteur(e), mais bon, si le peu d'humour était bien fait ça irai. Ce fut encore un échec car uje n'ai pas rigolé une seule fois.
Je vous l'avoue j'ai été extrêmement déçu car quand j'ai pris ce livre je ne m'attendais pas à cela. Je me suis dit que peut-être l'amour serait bien fait, mais là aussi une grande déception car tout est super prévisible, tout est attendu et il n'y arien de transcendant à part l'histoire avec le beau père d' Elliot qui est bien et le caractère des internes du collège ( comme Enrique,…).
Mais là encore ce n'est pas super, je trouve ça basique et sans grand intérêt. Les seuls points positifs que le livre est écrit gros et on ne peine pas à lire. C'est un livre pour se détendre mais je n'ai pas accroché et je ne conseille pas de lire ce livre à par pour ceux qui rigolent facilement etc qui aiment les histoires banales et prévisibles.
En tout cas le truc qui m'a le plus déçu c'est que la quatrième de couverture est archi-fausse car le résume m'a induit en erreur. C'est normal que tous les livres ne me plaisent pas mais je n'aime pas quand on me ment ou qu'on m'arnaque.

critique de Antoine


Dans le livre que j'ai lu: «le collège des éplucheurs de citrouille» il y avait un personnage principal: Eliot son père est mort, il a un beau père : Vince celui ci est méchant,il a déjà fait de la prison est il veut voler le bijoux de sa mère, un bijoux de très grande valeur étant disparue,Vince ne supportant pas Eliot le met dans un internat perdu dans la campagne. avant ma lecture je voulais choisir ce livre car la quatrième de couverture m' avait inspirée,ça semblait un livre drôle (comique)
quand j'ai lu le livre,au début du livre il n 'y avait pas d'action,mais avec le temps cela a changé,les points négatifs de ce roman sont: qu'il met longtemps à commencer et je n 'ai pas compris pourquoi à l' internat il n'y avait pas de filles, par le suite il y aura une histoire d'amitié,puis d'amour,quand il va rentrer dans l'internat il connait personne et va devoir s’intégrer dans un nouveaux collège,avec des nouveaux prof plus bizarre les un que les autres, avec leurs règles adaptées à leurs environnements: 
« en sport apprendre à monter dans les arbre » Eliot a pris le bijoux de famille avec lui,dans l'internat afin que Vince ne s'en empare pas.mais le beau père est a la traque du bijoux ,donc aussi d' Eliot, Vince s'emparera t-il du bijoux?
Comment cacher le bijoux sans que Vince s'en empare ?
Ce roman ma pris deux semaines a lire est mystérieux,mais attention quand tu commence a le lire tu ne peux plus t'arrêter, même moi qui déteste lire
Critique d' Amandine
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critiques presse (1)
Ricochet
01 juin 2017
Alors, oui, cette histoire de colibri caché ne tient pas vraiment la route mais on s'en moque complètement ! Plaisir de lecture garanti.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
Vingt garçons sont réunis dans le hall d'accueil, leurs bagages à leurs pieds. Certains semblent se connaître. Elliot observe sans surprise qu'il est l'un des plus petits. Il ne peut s'empêcher de dévisager les autres internes comme s'ils étaient les participants d'un grand jeu de télé-réalité : Des adolescents coupés du monde. Mais il n'y a pas de caméra. Ils sont laids, tous. Normal. S'ils se trouvent là, c'est que leur histoire s'est fracassée quelque part. Dans l'enfance ou au cours de l'été qui s'achève. Ici, c'est l'«alternative». L'alternative à quoi ? «Une chance pour toi, tu verras», a dit son éducateur.
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Ulysse, resté en arrière, se met à crier :
- Je sphaigne, madame !
Il a barbouillé d'encre rouge son pouce qu'il tient dans sa main gauche, le visage crispé par la douleur.
- Mais c'est pas vrai, il a le calembour vissé au corps, c'te pauvre gosse, soupire Mme Carette. (p.272)
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En effet, cinq minutes après, tandis qu'il déambule entre des concrétions boueuses de céramique au milieu de plantes en pot anarchiques, Elliot a le loisir d'observer du coin de l’œil l'espèce de véranda décrépite qui sert de lieu d'exposition à la belle saison.
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Au dessert, elle fait le geste de quelqu'un qui n'a plus faim et donne son bol de riz au lait à l'huile essentielle de lavande à Elliot qui le bâfre en trois secondes malgré la sensation déroutante de mâcher une chemise de nuit de grand-mère. (p.230)
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“Il veut rester dans son orbite dorée, ses grains de poussière en suspension, son parfum de pommes tombées dans le gazon de fin d’été”
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