C'est à partir de la vision d'une peinture qui l'a bouleversé - il s'agit du Saint Sébastien de Georges de La Tour - que le narrateur tente de cerner cela qui le hante et qui n'a pas de nom. L'inquiétude tenace qui le poursuit à travers l'oppression quotidienne de mille signes et, plus encore, à travers la présence d'une jeune fille nommée Laure, il essaie de l'exorciser par l'écriture et par la fuite : les falaises d'Etretat, les ardoises de Honfleur, les remparts ... >Voir plus