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Vernon Subutex tome 2 sur 3
EAN : 9782253087670
408 pages
Le Livre de Poche (30/03/2016)
  Existe en édition audio
3.87/5   2910 notes
Résumé :
QUI EST VERNON SUBUTEX ?
Une légende urbaine.
Un ange déchu.
Un disparu qui ne cesse de ressurgir.
Le détenteur d’un secret.
Le dernier témoin d’un monde disparu.
L’ultime visage de notre comédie inhumaine.
Notre fantôme à tous.
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Critiques, Analyses et Avis (232) Voir plus Ajouter une critique
3,87

sur 2910 notes
L'on retrouve Vernon, cet ancien disquaire qui s'est retrouvé à la rue après avoir squatté à droite, à gauche chez des connaissances. du parc des Buttes-Chaumont où il a trouvé une planque, Paris paraît accueillante. Hallucinant d'une fièvre brûlante, il n'a émergé qu'au bout de plusieurs jours. Charles, un SDF bruyant et loufoque, a d'abord râlé en le voyant sur « son » banc puis s'est occupé de lui. Vernon s'est adapté à cette vie marginale. Laurent et Olga, deux autres SDF, lui sont toujours fidèles. Vernon ne sait toujours pas que ses amis sont après lui à propos de la cassette posthume d'Alex et pourraient bien se rapprocher de lui...

Après un premier tome accrocheur et réussi, le deuxième était, évidemment, attendu. Qu'est-il arrivé à Vernon et la ribambelle d'amis qui lui tournent autour? Tour à tour, ils prennent la parole et Virginie Despentes s'attarde sur chacun. de ces tranches de vie, elle dépeint une société amère, un peu frustrée, sachant se montrer aussi bien violente que généreuse. Vernon sert de fil conducteur à ce roman choral, il est d'ailleurs peut-être moins présent, l'auteur ne cherchant pas à mettre l'un ou l'autre de ses personnages en avant. Au contraire, chacun a bien sa place et elle s'y attarde longuement, nous offrant ainsi de très beaux portraits, généreux et profonds. Ce roman, plus politique, moins rock et moins sombre mais toujours aussi ancré dans notre société, nous offre de jolis portraits, de l'ancienne star du porno au SDF. L'écriture, quant à elle, est toujours aussi riche, dense et parfaitement maîtrisée.

Vernon Subutex, un être à part...

Merci Cécile...
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Dans la continuité du premier tome, la suite des aventures du disquaire déchu se lit avec autant de plaisir. Une fois raccrochés les wagons (bonne idée que le rappel de la distribution des personnages, pour peu que l'intervalle entre les 2 tomes dépasse quelques mois, ce qui est le cas quand on a sauté sur le premier et attendu le deuxième), on reprend vite le fil de l'histoire.
Vernon est toujours à la rue, et il s'y fait. Alors curieusement lorsque la bande se reconstitue autour d'un intérêt commun pour le fameux enregistrement sur cassettes d'Alex Bleach, que Vernon détenait jusqu'à ce que, confiées à Émilie , elles soient volées par la Hyène, ce sont les inclus qui se rassemblent autour de lui (les quelques propositions d'hébergement entre 4 murs lui ont donné un désagréable sentiment de claustrophobie).

Et ce qui suit est un curieux phénomème de groupe, que n'expliquent pas uniquement la solidarité et le souhait de venger le décès de Vodka Satana, qu'Alex Bleach considère comme un assassinat. La vengeance ne se fait guère attendre et les révélations arment des mains de jeunes femmes qui se prennent pour Lisbeth Salander.
L'agression dont avait été victime Xavier dans le premier tome a des conséquences dramatiques et c'est finalement ce qui va déclencher un mouvement collectif, dont le pacte est scellé dans un troquet miteux ou le champagne coule à flot.

Le diable est dans les détails, et c'est avec le même humour et un sens de l'observation particulièrement développé que l'auteur poursuit la saga des aventures de Vernon "dont le nom évoque un vieux matelas". Pas de complaisance pour les personnages, tous assez bruts de décoffrage, ce qui fait tout leur charme. Pas d'apitoiement non plus, leur destin est en marche, résultante de décisions personnelles dans un contexte social donné.

Malgré tout, l'ambiance est plutôt à la fête, et l'on s'attend à tout pour la suite....

Pas de déception donc pour ce deuxième tome, qui vaut bien le premier.

Lien : http://kittylamouette.blogsp..
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Dire que j'avais adoré le premier est un doux euphémisme. Mais le second plus on avance dans l'histoire est plus ça m'a gavé, j'ai fini par sauter quelques chapitres vers la fin. D'ailleurs l'histoire … Quelle histoire ? Des tranches de vies de personnages désoeuvrés ? Ne pas lire ce tome en écoutant Barbara alors que le brouillard envahi la place et que mes nuits sont plus longues que vos jours, c'est un coup à se mettre un pistolet sur la tempe.
Vernon Subutex, ancien disquaire, a élu domicile près des buttes-Chaumont. Il zone un peu, s'essayant au rôle de SDF. La plupart des connaissances de son ancienne vie le recherche. Il serait en possession de bande d'Alex Bleach, ancienne star à la mode, mort d'une OV dans un hôtel. Tous finissent par le retrouver et vont se mettre à graviter autour de lui. Tels des papillons autour d'un lampadaire ou d'un Jésus entouré de ses disciples. Chacun voudrait le sauver ...
Ici tout est pourriture et se conjugue avec no future. Heureusement qu'il y a la verve de Virginie Despentes qui sais de quoi elle parle. Difficile d'inventer une galerie de personnages plus vrai que nature. Mais trop c'est trop, pour moi il y a cent pages de trop. Et aucun espoir ne surgit de tout ce désespoir ambiant. Tout le monde en prend pour son grade, à la fin ça a fini par me lasser ... J'aime pas les gens qui passent leur temps à se plaindre.
L'autre truc qui me gave, c'est l'unanimité dithyrambique de la presse qu'on nous étale sur le quatrième de couverture … Grrrrrrrrrrr ! Déjà faut se les farcir à la téloche et la radio avec leur campagne de promo et en plus on t'en remet une couche histoire de bien te faire comprendre que s'y tu ne le lis pas t'es qu'un grosse merde.
A la médiathèque ils n'ont pas le trois … Tant mieux ça va me laisser le temps de digérer celui-ci.
Oui, j'ai tout de même mis quatre étoiles car je l'ai avalé presque aussi vite qu'un calva cul sec.
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C'est beau, Montmartre, la nuit.
C'est sinistre et effrayant, quand on y vit dehors, même l'été.
C'est ici que l'on retrouve Vernon. Tel qu'on l'avait laissé - pire, même, la rue n'est pas un bain de jouvence...

Alors, ce deuxième opus tant attendu est-il aussi excellent que le premier ? Virginie Despentes avait promis qu'il serait "le plus différent possible du tome 1, sans non plus "jump the shark", c'est à dire faire tout à fait n'importe quoi". (Obsküre Magazine, avril 2015)

Différent, il l'est.
Pas si sex & drug & rock'n roll. On sort des immeubles parisiens friqués/branchés avec coke et pipes à tous les étages. On est dans la rue, entre Montmartre et le superbe parc des Buttes-Chaumont, en galère, dans le monde de la précarité, de la débrouille et de la solidarité, au côté de Vernon et puis d'autres, vous verrez...
On suit Sélim, un papa aussi ordinaire que formidable en plein désarroi depuis que sa fille ado lui a échappé avec sa conversion religieuse.
On apprend assez rapidement ce qu'il y a sur les cassettes laissées par Alex, on n'attendra donc pas le troisième opus en piaffant. Même si bien sûr, on a envie de connaître le sort des deux personnes en fuite...

On retrouve tous les personnages du premier volet. N'ayez pas peur de vous y perdre, les quelques lignes de présentation consacrées à chacun en préambule vous montreront que vous ne les aviez pas oubliés. Mais alors qu'ils étaient éparpillés dans le précédent épisode, que les changements de narration pouvaient être fastidieux à suivre, cela semble plus simple ici - il faut dire qu'ils sont souvent regroupés, dans cette histoire.

L'ambiance est donc bien différente, je l'ai trouvée plus sombre. La savoureuse touche Despentes est là, pas de souci : c'est politiquement incorrect, percutant, grinçant, et drôle grâce au sens de la formule de l'auteur. A travers les voix de ses protagonistes, Virginie Despentes balance des réflexions tous azimuts sur la politique, la religion, la société, le couple, l'éducation, l'amitié... Ces idées sont parfois dérangeantes, surtout lorsqu'elles sont très argumentées - ça donne le tournis et bouscule nos petites certitudes, tout ça. Le ton m'a semblé encore plus virulent que dans le premier tome, est-ce l'effet "7 janvier" ? Despentes serait-elle encore moins complaisante ? Gratte-t-elle encore plus là où ça fait mal ? C'est ce que j'aime chez elle, même si ça rend le propos dense et la lecture parfois plombante.
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Dans ce tome 2 on retrouve un Vernon Subutex sdf, il est loin le temps où il était disquaire maintenant il squatte le parc des buttes-Chaumont.
Tous ses amis ont perdu sa trace, le remord les hante. Xavier, Emilie, Lydia Sylvie avec en tête de gondole la hyène partent en chasse, retrouver Vernon et les fameuses vidéos d'Alex Bleach.
Dans ce roman Virginie Despentes a mis un peu de couleurs dans le récit, le coté obscur a tiré sa révérence, la lumière réapparait, on retrouve ses personnages englués dans leurs mal-être, des femmes des hommes que la société rejette .
Un roman social donc ou l'on se retrouve vite exclus si on ne rentre pas dans le moule. Les sdf, le mouvement "LGBT" les émigrés.....
C'est vrai les personnages de Virginie Despentes ne sont pas des enfants de coeurs mais ils ont quelque chose de touchant, c'est leurs faiblesses que j'ai aimé, leurs désirs de rédemption.
On est vite happé par Vernon Subutex, on se retrouve au "Rosa-bonheur", on parle, on danse sur la musique de Vernon on fume on boit, on se découvre, on se touche, on s'aime, ce besoin d'être ensemble c'est " nuit debout" avant l'heure.
Si le coeur vous en dit rendez-vous au "Rosa-bonheur, ouvrez la porte du bar et venez partager un bon moment de lecture.
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critiques presse (5)
LaPresse
22 juillet 2015
On lit ce tome 2 avec autant de plaisir que le premier, même si le rythme est plus lent, l'intrigue, moins haletante. Et on a bien hâte de découvrir la fin de cette trilogie promise pour janvier.
Lire la critique sur le site : LaPresse
LaLibreBelgique
07 juillet 2015
"Vernon Subutex 2" redit que solidarité et groupe peuvent être des réponses.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Culturebox
23 juin 2015
Despentes excelle dans l'art de photographier le monde contemporain.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Culturebox
12 juin 2015
Ce deuxième tome est plus politique que le premier. Virginie Despentes parle davantage de la société française d’aujourd’hui qui va mal.
Lire la critique sur le site : Culturebox
Telerama
03 juin 2015
Nourri d'indignation et de mélancolie, le deuxième volet de la fresque sociale de la romancière captive par sa saisie aiguë de la réalité contemporaine.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (390) Voir plus Ajouter une citation
Page 73
Patrice
… Il attrape un journal abandonné sur une table voisine. « Le résultat des élections en Italie inquiète les marchés financiers. » Une giclée de colère à l’arrière du cortex, telle une langue de goudron brûlant. Comment osent-ils imprimer ça. On visse dans les cerveaux cette idée de la dette, aucun journaliste ne fait son travail : raconter ce qui se passe vraiment. Marquer la différence entre dette publique et dette privée, raconter l’histoire dans sa complexité – appeler un chat un chat, les riches ont déclaré la guerre au monde. Pas seulement aux pauvres. A la planète. Et avec l’appui complaisant des médias, on prépare l’opinion aux réformes sauvages. Ca le rend fou. Devant les casiers de tri, le matin, les gamins n’ont que le Front national à la bouche. Ça se distille par bribes, « Marine a raison sur l’euro, on s’est bien fait avoir », comme si elle ne faisait pas partie du sérail. Ca ne les choque pas de voir l’élite s’accommoder du Front national avec tant de facilité. « On est chez nous, quand même », qu’ils disent. Chez nous. Au centre de tri où il est en CDD, ils les font commencer à 4 heures 20 le matin, pour ne pas avoir à les traiter au régime de nuit. La fonction publique, c’est comme ailleurs : tout pour les cadres. Il a fallu en nommer de plus en plus, les payer de mieux en mieux, accumuler les privilèges, et tout ce qui leur a été octroyé a été volé aux agents d’en bas. Ceux qui font vraiment le travail. Bougres d’imbéciles, comment peuvent-ils ne pas comprendre qu’on les monte les uns contre les autres, quand on les chauffe à blanc pour qu’ils cognent sur leurs voisins de palier ? Les banques vident les caisses de l’Etat sous prétexte qu’elles ont fait des conneries, on collectivise leurs déficits, on privatise leurs bénéfices, et ces connards de citoyens réclament une raclée pour les Roms.

Mélenchon est meilleur que Marine, sur tous les plans. Son seul problème, pour plaire, c’est qu’il n’est pas raciste. Les gars se sont tellement fait nettoyer la tête, depuis dix ans, que le seul truc qui les obsède, c’est pouvoir dégueuler leur haine du bougnoule. On leur a confisqué toute la dignité que des siècles de lutte leur avaient conférée, il n’y a pas un moment dans la journée où ils ne se sentent pas traités comme des poulets qu’on plume, et la seule putain de combine qu’on leur a vendue pour se sentir moins nuls, c’est de brailler qu’ils sont blancs et qu’à ce titre ils devraient avoir le droit de mater du basané. Et de la même façon que les gamins de banlieue crament les voitures en bas de chez eux et n’attaquent jamais le XVIe, le Français précaire tape sur son voisin de transport en commun. Il reste docile même dans ses agacements : à la télé, la veille, on lui a fait savoir qu’il y avait plus dégradé que lui, plus endetté, plus misérable : le Noir qui pue, le musulman qui tue, le Rom qui vole. Tandis que ce qui constituait la véritable culture de ce peuple français, les acquis sociaux, l’Education nationale, les grandes théories politiques, a été démantelé, consciemment – le tour de force de cette dictature du nanti aura été sa manipulation des consciences. L’alliance banques-religions et multinationales a gagné cette bataille. Ils ont obtenu du citoyen sans patrimoine qu’il renonce à tous ses droits, en échange d’avoir accès à la nostalgie de son impérialisme. Là encore, camarade tu te fais avoir : si tu crois que le trésor des colonies était pour tout le monde, déjà à l’époque on ne t’octroyait que le droit de te sentir blanc, c’est-à-dire un peu mieux traité que ton collègue qui ne l’était pas. Du mineur au mouton qui pousse son caddie, on n’aura pas vécu longtemps sous le règne du citoyen instruit. Il faut dire, les riches étaient à bout de nerfs : ils n’en pouvaient plus d’être obligés d’aller jusqu’en Russie ou en Thaïlande pour chercher à voir de bons pauvres, du qui crève la faim, du qui ne sait pas lire, du qui marche pieds nus, du qui te fait sentir éduqué, privilégié, forcément envié. C’est une torture pour lui, ce début de siècle, la colère l’étouffe dès qu’il entend parler de ce qui se passe autour de lui.
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Elle n'est pas rentrée pleurer dans les bras de son père. Elle est allé en voir un autre. Est-ce que ce type t'a appris à nager est-ce qu'il a parcouru tous les magasins de la ville pour trouver le jouet que tu voulais est-ce qu'il a sacrifié ses soirées pour être sûr que tu connaissais ta récitation est-ce qu'il t'a appris à faire un exposé est-ce qu'il s'est cassé la tête le soir dans sa chambre pour rattraper son retard en mathématiques et pouvoir t'expliquer l'exercice le lendemain est-ce qu'il t'a regardé tourner dix fois de suite dans le froid sur le manège avec le petit éléphant qui te plaisait tellement est-ce qu'il t'a portée sur ses épaules pour que tu ne rates rien de la parade des princesses alors qu'il avait déjà mal au dos est-ce qu'il s'est relevé la nuit pour te donner de l'eau quand tu faisais des cauchemars est-ce qu' il t'a emmenée voir les dauphins sept fois de suite parce que tu les adorais est-ce qu'il a plié tes vêtements après les avoir repassés jusqu'à l'année dernière est-ce qu'il s'est demandé comment payer tes frais d'inscription quand ils ont augmenté est ce qu'il a fait la queue deux heures pour être sûr que tu verrais Lorie ?
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Les autres mères la démoralisent. " La mienne a marché à six mois, on est resté bouche bée quand on l'a vue traverser le salon". " La mienne parlait deux langues à deux ans". " Le mien a appris tout seul à lire à trois ans". "Le mien a été repéré en grande section de maternelle pour ses qualités de footballeur ". " J'ai ouvert un compte épargne pour la mienne, on m'a demandé si elle ne voulait pas faire une série de mode, moi je n'y tenais pas mais la petite adore ça , et depuis on la demande partout" . Et que je te dégaine le fil de ma progéniture en train de faire la roue, sur une poutre, de remonter un ordi les yeux bandés ou de reprendre un air d'opéra... Clara est un ange, mais pour frimer, elle ne sert à rien.
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Les mecs sont devenus tous identiques, on dirait qu'ils prennent des cours du soir pour se ressembler le plus possible. Si on pouvait ouvrir le cerveau de Laurent en deux pour lui regarder la mécanique, on y trouverait exactement le même arsenal de conneries que dans celui du cadre sup en détresse qui fait ses abdos à côté d'eux: des poulettes ultra light, de la verroterie Rolex et une grosse maison sur la plage. Que des rêves de connard.
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Si on veut se mettre en couple, l'important c'est d'être réaliste. Une fille mettable, qui fait à bouffer, qui n'a aucune habitude dégoutante et te supporte tel que tu es, sans chercher à te mettre au pas et te faire aimer les légumes verts, on ne peut pas en demander beaucoup plus à l'amour. A quelques détails près, c'est toujours la même histoire qu'on se raconte. L'important, c'est de ne pas s'acharner à chercher dans la vie de couple des choses qu'on n'y trouvera jamais.
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